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- SOMMAIRE
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- Table des Matières
- I. STATISTIQUES MONDIALES
- A. - Culture
- B. - Commerce du café
- .......... Page(s) .......... 768
- .......... Page(s) .......... 769
- .......... Page(s) .......... 770
- .......... Page(s) .......... 771
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- .......... Page(s) .......... 772
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- .......... Page(s) .......... 773
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- .......... Page(s) .......... 775
- .......... Page(s) .......... 776
- IV. - INDOCHINE
- A. - Culture
- B. - Commerce du café
- .......... Page(s) .......... 793
- .......... Page(s) .......... 794
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- .......... Page(s) .......... 795
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- .......... Page(s) .......... 797
- .......... Page(s) .......... 797
- C. - Aide de l'administration aux planteurs de caféiers en Indochine
- .......... Page(s) .......... 804
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VOYAGE D'ÉTUDES FORESTIÈRES EN AFRIQUE
(KENYA, CONGO BELGE, GABON, COTE D'IVOIRE)
Les enseignements d'un voyage d'études sont toujours utiles. Ils le sont
tout particulièrement en matières de forêts tropicales.
Sous tous les climats, les expériences forestières demandent, en effet, des
dizaines d'années avant de fournir leur conclusion, et il ne faut pas né-
gliger tout ce qui, par l'observation de résultats obtenus dans d'autres
pays, permet d'éviter de coûteux tâtonnements. Mais c'est surtout en cli-
mat tropical que ce besoin de documentation se fait sentir, car les techni-
ques de mise en valeur y sortent à peine de leur période d'essais. Et même
lorsqu'elles commencent à se préciser, l'évolution rapide des diverses con-
ditions locales oblige à les modifier constamment.
D'autre part, dans le cadre même de l'Empire Français, il n'existe guère,
entre les différentes colonies de liaison technique, en ce qui concerne les
questions forestières.
Il a donc paru intéressant de mettre l'Indochine à même de profiter
des tentatives faites en Afrique ; et le principal but de notre voyage fut
d'examiner sur place l'état d'avancement des méthodes de mise en valeur
forestière, appliquées en Afrique Occidentale Française et en Afrique
Équatoriale Française.
Nos investigations ont surtout porté sur la Côte d'Ivoire et le Gabon,
les deux territoires qui sont actuellement les plus importants au point de
vue forestier.
Il nous sembla utile, en outre, de profiter de cette rare occasion d'un
voyage direct d'Indochine en Afrique pour étendre cette recherche de
documentation à certaines colonies étrangères dont la traversée n'allongeait
guère le voyage. C'est ainsi que l'itinéraire a comporté la visite de l'Afri-
que Orientale Anglaise (principalement du Kenya), des territoires belges
du Ruanda-Urundi, et d'une partie du Congo Belge (Katanga et Kasai).
Cette mission n'a pas eu un but de recherche scientifique. Il s'agissait
avant tout d'un voyage d'information et d'actualité, destiné à enrichir l'In-
dochine d'une documentation portant sur des questions susceptibles de
donner lieu à des applications réalisables dans un avenir immédiat.
Au point de vue botanique, on ne trouvera ci-après que quelques énu-
mérations très sommaires des principales espèces pouvant donner à des
forestiers une idée générale de la végétation. Il existe d'ailleurs sur ce sujet
des ouvrages très complets qui pourront être consultés avec profit.
(KENYA, CONGO BELGE, GABON, COTE D'IVOIRE)
Les enseignements d'un voyage d'études sont toujours utiles. Ils le sont
tout particulièrement en matières de forêts tropicales.
Sous tous les climats, les expériences forestières demandent, en effet, des
dizaines d'années avant de fournir leur conclusion, et il ne faut pas né-
gliger tout ce qui, par l'observation de résultats obtenus dans d'autres
pays, permet d'éviter de coûteux tâtonnements. Mais c'est surtout en cli-
mat tropical que ce besoin de documentation se fait sentir, car les techni-
ques de mise en valeur y sortent à peine de leur période d'essais. Et même
lorsqu'elles commencent à se préciser, l'évolution rapide des diverses con-
ditions locales oblige à les modifier constamment.
D'autre part, dans le cadre même de l'Empire Français, il n'existe guère,
entre les différentes colonies de liaison technique, en ce qui concerne les
questions forestières.
Il a donc paru intéressant de mettre l'Indochine à même de profiter
des tentatives faites en Afrique ; et le principal but de notre voyage fut
d'examiner sur place l'état d'avancement des méthodes de mise en valeur
forestière, appliquées en Afrique Occidentale Française et en Afrique
Équatoriale Française.
Nos investigations ont surtout porté sur la Côte d'Ivoire et le Gabon,
les deux territoires qui sont actuellement les plus importants au point de
vue forestier.
Il nous sembla utile, en outre, de profiter de cette rare occasion d'un
voyage direct d'Indochine en Afrique pour étendre cette recherche de
documentation à certaines colonies étrangères dont la traversée n'allongeait
guère le voyage. C'est ainsi que l'itinéraire a comporté la visite de l'Afri-
que Orientale Anglaise (principalement du Kenya), des territoires belges
du Ruanda-Urundi, et d'une partie du Congo Belge (Katanga et Kasai).
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