Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1934-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 juillet 1934 01 juillet 1934
Description : 1934/07/01 (A23,N199)-1934/12/31 (A23,N204). 1934/07/01 (A23,N199)-1934/12/31 (A23,N204).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6523566c
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
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- SOMMAIRE
- TABLE DES MATIÈRES.
- TABLE PAR NOMS D'AUTEURS.
- .......... Page(s) .......... 14
- .......... Page(s) .......... 33
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 87
- CRAMOIS (A.). - Voir TARDY (L.) et CRAMOIS (A.).
- .......... Page(s) .......... 110
- .......... Page(s) .......... 65
- .......... Page(s) .......... 120
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 54
- .......... Page(s) .......... 55
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 97
- .......... Page(s) .......... 114
- .......... Page(s) .......... 140
- .......... Page(s) .......... 148
- ROEHRICH (O.). - Voir DANTZER et ROEHRICH.
- .......... Page(s) .......... 81
- TABLE DES SUJETS TRAITÉS.
- .......... Page(s) .......... 59
- .......... Page(s) .......... 59
- .......... Page(s) .......... 60
- .......... Page(s) .......... 151
- .......... Page(s) .......... 151
- .......... Page(s) .......... 152
- .......... Page(s) .......... 186
- .......... Page(s) .......... 54
- .......... Page(s) .......... 14
- .......... Page(s) .......... 148
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 97
- .......... Page(s) .......... 114
- .......... Page(s) .......... 81
- .......... Page(s) .......... 170
- .......... Page(s) .......... 110
- .......... Page(s) .......... 140
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 33
- .......... Page(s) .......... 110
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 55
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 93
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 65
- TABLE DES FIGURES.
- .......... Page(s) .......... 43
'23* ANNÉE. AOÛT 193A. N° 200
ÉTUDES ET MÉMOIRES.
RECHERCHES SUR LE ROUISSAGE DU JUTE,
PAR
R. CERIGHELLI,
Docteur ès sciences, Ingénieur agronome.
Il y a quelques années, en Cochinchine, j'ai eu l'occasion d'étu-
dier le rouissage du jute pour le compte d'une société de planta-
tions. On m'avait proposé de résoudre ce problème parce qu'on
pensait qu'une des raisons qui empêchait l'extension de la culture
industrielle du jute était la grande quantité de main-d'œuvre
nécessaire au rouissage des tiges en eau courante. D'où l'idée
d'abandonner le rouissage naturel et de le remplacer par le rouis-
sage chimique.
Je vais rapporter, ici, les quelques essais que j'ai faits, mais
auparavant, je crois utile d'envisager, dans son ensemble, la
préparation des fibres à partir des tiges récoltées. Cela me per-
mettra de montrer que la question de main-d'œuvre n'est pas
essentielle dans l'opération du rouissage naturel.
Au point de vue qui nous occupe, la tige de jute peut être
considérée comme formée par trois parties principales : une partie
centrale, entièrement lignifiée, qui forme le squelette de la tige;
une zone moyenne de quelques millimètres d'épaisseur qui ren-
ferme les faisceaux de fibres et une couche externe, mince pelli-
cule de cellules plus ou moins subérifiées.
Sur les tiges fraîches ou sèches, on peut séparer mécanique-
ment, avec plus ou moins de facilité, le bois central des deux par-
ties externes qui forment ce qu'on appelle vulgairement les
lanieres. Cette opération constitue le décorticage. Dans l'ouest de la
Cochinchine, les tiges sont décortiquées à l'état frais, et les lanières,
après séchage au soleil, sont employées telles quelles, sans subir
aucune autre préparation.
L'AGRONOMIE COLONIALB. - Août 1934. 3
ÉTUDES ET MÉMOIRES.
RECHERCHES SUR LE ROUISSAGE DU JUTE,
PAR
R. CERIGHELLI,
Docteur ès sciences, Ingénieur agronome.
Il y a quelques années, en Cochinchine, j'ai eu l'occasion d'étu-
dier le rouissage du jute pour le compte d'une société de planta-
tions. On m'avait proposé de résoudre ce problème parce qu'on
pensait qu'une des raisons qui empêchait l'extension de la culture
industrielle du jute était la grande quantité de main-d'œuvre
nécessaire au rouissage des tiges en eau courante. D'où l'idée
d'abandonner le rouissage naturel et de le remplacer par le rouis-
sage chimique.
Je vais rapporter, ici, les quelques essais que j'ai faits, mais
auparavant, je crois utile d'envisager, dans son ensemble, la
préparation des fibres à partir des tiges récoltées. Cela me per-
mettra de montrer que la question de main-d'œuvre n'est pas
essentielle dans l'opération du rouissage naturel.
Au point de vue qui nous occupe, la tige de jute peut être
considérée comme formée par trois parties principales : une partie
centrale, entièrement lignifiée, qui forme le squelette de la tige;
une zone moyenne de quelques millimètres d'épaisseur qui ren-
ferme les faisceaux de fibres et une couche externe, mince pelli-
cule de cellules plus ou moins subérifiées.
Sur les tiges fraîches ou sèches, on peut séparer mécanique-
ment, avec plus ou moins de facilité, le bois central des deux par-
ties externes qui forment ce qu'on appelle vulgairement les
lanieres. Cette opération constitue le décorticage. Dans l'ouest de la
Cochinchine, les tiges sont décortiquées à l'état frais, et les lanières,
après séchage au soleil, sont employées telles quelles, sans subir
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