Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1907-09-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 30 septembre 1907 30 septembre 1907
Description : 1907/09/30 (A8,N75). 1907/09/30 (A8,N75).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65235619
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
- Aller à la page de la table des matières257
- SOMMAIRE
- ÉTUDES ET DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE (Cours, Statistiques, Débouchés, etc.)
- .......... Page(s) .......... 274
- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 276
- .......... Page(s) .......... 277
- .......... Page(s) .......... 278
- .......... Page(s) .......... 279
- .......... Page(s) .......... 280
- .......... Page(s) .......... 281
- .......... Page(s) .......... 281
- .......... Page(s) .......... 283
- ACTUALITÉS (Correspondance, Informations, Extraits, etc.)
- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE (sur papier bleu)
- Livres nouveaux, §§ 1401-1413. - Culture du riz. - Effets des dépôts laissés par les eaux d'irrigation. - Culture du coton dans l'Afrique occidentale française. - Déboisement. - Monographie des forêts du Béloutchistan. - Rapport agricole de Porto-Rico (canne à sucre, coton, sisal, oranger, bananier, ananas). - Culture du bananier. - Culture du Céleri aux Etats-Unis. - Culture du haricot. - Résultats des expériences horticoles faites dans la North Louisiana
N° 75 — SEPTEMBRE 19D7 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 265
Le semis apparaît donc comme le seul
moyen propre à la reconstitution des terres
à Guayules; ce n'est que par les recherches
expérimentales et les essais méthodiques
que l'on pourra indiquer s'il convient de
semer sur place plutôt qu'en pépinière et
déterminer tous les détails de la culture
depuis la sélection et la récolte des graines
jusqu'à la mise en exploitation. Il est bien
évident que les plantes accélèrent leur dé-
veloppement dans les milieux frais, mais
a-t-on étudié les effets de l'irrigation sur
le rendement en caoutchouc et considéré
l'opération au point de vue économique?
1: ,..
Dans cet important problème, il faut
avant tout observer les deux facteurs prin-
cipaux, le sol et le climat. Le Guayule,
dit M. ENDLICH, demande un sol pourvu de
20 à 30 0 d'élément calcaire; la présence
d'une certaine proportion d'humus atténue
l'évaporation et favorise beaucoup la végé-
tation. Nous avons indiqué plus haut les
conditions climatériques dont on devra se
rapprocher pour s'assurer toutes chances
de réussite dans cette culture, qui intéres-
sera sans doute d'autres régions plus ou
moins stériles lorsqu'elle aura été reconnue
avantageuse. 0. LABROY.
L'Exposition coloniale de 1907 à Nogent=sur=Marne
Aperçu général. — Agrandissement du Jardin colonial. — Les pavillons de l'Indo-Chine, de l'Afrique
occidentale, de Madagascar. — Produits et collections. — Un village laotien.
Le génie rural à l'Exposition. — Les attractions.
; t>,; Par M. F. MAIN.
L'Exposition coloniale qui va fermer ses
portes la semaine prochaine est la troi-
sième qui ait eu lieu dans le cadre du
Jardin colonial. En 1905, un timide essai
d'une huitaine de jours avait été fait, et le
succès qu'il avait rencontré avait engagé
les organisateurs à faire une exposition
plus sérieuse qui, en juillet 1905, avait reçu
pendant un mois de nombreux visiteurs.
On pouvait craindre cette année que
l'Exposition de Nogent succédant à celle
de Marseille à peine fermée, la durée de
quatre mois, et le transfert à Nogent d'une
- partie des produits ayant déjà figuré à
Marseille, ne fussent un obstacle sérieux
à la réussite de cette nouvelle tentative.
Il n'en a rien été, car les deux expositions
ne visant pas exactement le même public,
on a pu prendre les précautions néces-
saires pour attirer les visiteurs qu'on avait
en vue, et pour prévenir toute supposition
d'une rivalité qui n'existait pas en fait;
nous avons en vue, pour ce dernier point,
certain étiquetage des produits, sur lequel
nous reviendrons plus loin.
Une visite trop rapide, faute des loisirs
suffisants, ne nous permet pas de nous
étendre, comme nous l'aurions désiré, sur
les détails de cette exposition. Nous nous
bornerons à en retracer les grandes lignes,
notant au passage les points les plus mar-
quants, et nous efforçant d'éviter une énu-
mération toujours aride.
Ceux de nos lecteurs qui ont visité
l'Exposition de 1905 savent dans quel cadre
l'Exposition est installée. Bornons-nous à
indiquer qu'à cette occasion l'étendue du'
Jardin colonial a été très augmentée, un
peu plus que doublée, autant qu'on peut
l'estimer sur un terrain couvert de plan-
tations, d'arbres et de pavillons. L'aspect
général est très attrayant, surtout dans les
chaudes journées de l'été, les nombreux
arbres du bois sur lequel ont été pris
les agrandissements ayant été respectés
et couvrant des allées ombreuses, bor-
dées autant que possible d'arbustes tro-
picaux.
Un des premiers pavillons qui s'offrent
aux regards, et 1 un des Plurimportant s,
t"' rR'CA'r.
Le semis apparaît donc comme le seul
moyen propre à la reconstitution des terres
à Guayules; ce n'est que par les recherches
expérimentales et les essais méthodiques
que l'on pourra indiquer s'il convient de
semer sur place plutôt qu'en pépinière et
déterminer tous les détails de la culture
depuis la sélection et la récolte des graines
jusqu'à la mise en exploitation. Il est bien
évident que les plantes accélèrent leur dé-
veloppement dans les milieux frais, mais
a-t-on étudié les effets de l'irrigation sur
le rendement en caoutchouc et considéré
l'opération au point de vue économique?
1: ,..
Dans cet important problème, il faut
avant tout observer les deux facteurs prin-
cipaux, le sol et le climat. Le Guayule,
dit M. ENDLICH, demande un sol pourvu de
20 à 30 0 d'élément calcaire; la présence
d'une certaine proportion d'humus atténue
l'évaporation et favorise beaucoup la végé-
tation. Nous avons indiqué plus haut les
conditions climatériques dont on devra se
rapprocher pour s'assurer toutes chances
de réussite dans cette culture, qui intéres-
sera sans doute d'autres régions plus ou
moins stériles lorsqu'elle aura été reconnue
avantageuse. 0. LABROY.
L'Exposition coloniale de 1907 à Nogent=sur=Marne
Aperçu général. — Agrandissement du Jardin colonial. — Les pavillons de l'Indo-Chine, de l'Afrique
occidentale, de Madagascar. — Produits et collections. — Un village laotien.
Le génie rural à l'Exposition. — Les attractions.
; t>,; Par M. F. MAIN.
L'Exposition coloniale qui va fermer ses
portes la semaine prochaine est la troi-
sième qui ait eu lieu dans le cadre du
Jardin colonial. En 1905, un timide essai
d'une huitaine de jours avait été fait, et le
succès qu'il avait rencontré avait engagé
les organisateurs à faire une exposition
plus sérieuse qui, en juillet 1905, avait reçu
pendant un mois de nombreux visiteurs.
On pouvait craindre cette année que
l'Exposition de Nogent succédant à celle
de Marseille à peine fermée, la durée de
quatre mois, et le transfert à Nogent d'une
- partie des produits ayant déjà figuré à
Marseille, ne fussent un obstacle sérieux
à la réussite de cette nouvelle tentative.
Il n'en a rien été, car les deux expositions
ne visant pas exactement le même public,
on a pu prendre les précautions néces-
saires pour attirer les visiteurs qu'on avait
en vue, et pour prévenir toute supposition
d'une rivalité qui n'existait pas en fait;
nous avons en vue, pour ce dernier point,
certain étiquetage des produits, sur lequel
nous reviendrons plus loin.
Une visite trop rapide, faute des loisirs
suffisants, ne nous permet pas de nous
étendre, comme nous l'aurions désiré, sur
les détails de cette exposition. Nous nous
bornerons à en retracer les grandes lignes,
notant au passage les points les plus mar-
quants, et nous efforçant d'éviter une énu-
mération toujours aride.
Ceux de nos lecteurs qui ont visité
l'Exposition de 1905 savent dans quel cadre
l'Exposition est installée. Bornons-nous à
indiquer qu'à cette occasion l'étendue du'
Jardin colonial a été très augmentée, un
peu plus que doublée, autant qu'on peut
l'estimer sur un terrain couvert de plan-
tations, d'arbres et de pavillons. L'aspect
général est très attrayant, surtout dans les
chaudes journées de l'été, les nombreux
arbres du bois sur lequel ont été pris
les agrandissements ayant été respectés
et couvrant des allées ombreuses, bor-
dées autant que possible d'arbustes tro-
picaux.
Un des premiers pavillons qui s'offrent
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