Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-12-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 décembre 1930 01 décembre 1930
Description : 1930/12/01 (A23,N262)-1930/12/31. 1930/12/01 (A23,N262)-1930/12/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474900f
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
- Aller à la page de la table des matières1013
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages- Études générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 1195
- Statistiques - Rapports commerciaux:
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 1210
- .......... Page(s) .......... 1213
- .......... Page(s) .......... 1215
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 1220
- .......... Page(s) .......... 1222
- .......... Page(s) .......... 1224
1 1048 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
conservation délicate un commencement de sec age
• «pctes
préparation les immunisant contre la fermentation ou les insec
parasites, et de n'importer que des bois parfaits, prêts a
employés.
En tout cas, il ne faut plus se borner à les offrir en billes à'
la clientèle. Car tant qu'ils seront offerts exclusivement
billes, leur marché restera restreint ; les importations ne se
pas régulières, nombre d'essences ne pourront être importee
en quantités intéressantes et l'écoulement, au surplus, re8
difficile. Les employeurs se soucient peu en effet, d'une façon
générale, d'avoir à faire débiter des bois, puis à les faire se
avant de les utiliser. Ils se soucient moins encore de van
'on
qu'ils ne trouvent pas couramment sur le marché et qui Il
pas de cours bien établis.
s de
C'est pour ces différents motifs que les Commission 1
standardisation ont refusé jusqu'ici d'admettre les bois c
niaux (exception faite de l'Acajou et de l'Okoumé) dans
Séries de prix des architectes.
C'est pour ces motifs également que l'Etat ne peut, 'cr
ses cahiers des charges d'adjudications publiques, iIllPO:;
l'emploi des bois coloniaux et doit se borner à en auto1
l'utilisation en remplacement de bois plus connus.
.i.n(3 l's
Que ces bois existent comme les btfis français, en E,to;s
débités et séchés constamment renouvelés, dans les principe
dimension3 admises par 1 commerce, que 1 qualité soi.t , stlivie,
dimensions admises par le commerce, que la qualité son 13
que les prix soient raisonnables et stables, immédiatement la
question chang-cra d'aspect ; la vulgarisation, la vente dCVIC t
dront facilcs. La demande dépassera probablement J 011
très rapidement.
Principales essences dont il y a lieu de recolurnander
l'exploitation et l'importation. — Après dix ans d etu
d'obsetvations et d'expériences de toutes sortes, nous soi'1
, pc l
amené à dire que le nombre de ces essences est encore tié» 1
élevé, surtout si l'on fait abstraction de celles qui sont recherch1
exclusivement, pour le placage et pour lesquelles n'entre
ligne de compte, ni les propriétés physiques et mécano rit
conservation délicate un commencement de sec age
• «pctes
préparation les immunisant contre la fermentation ou les insec
parasites, et de n'importer que des bois parfaits, prêts a
employés.
En tout cas, il ne faut plus se borner à les offrir en billes à'
la clientèle. Car tant qu'ils seront offerts exclusivement
billes, leur marché restera restreint ; les importations ne se
pas régulières, nombre d'essences ne pourront être importee
en quantités intéressantes et l'écoulement, au surplus, re8
difficile. Les employeurs se soucient peu en effet, d'une façon
générale, d'avoir à faire débiter des bois, puis à les faire se
avant de les utiliser. Ils se soucient moins encore de van
'on
qu'ils ne trouvent pas couramment sur le marché et qui Il
pas de cours bien établis.
s de
C'est pour ces différents motifs que les Commission 1
standardisation ont refusé jusqu'ici d'admettre les bois c
niaux (exception faite de l'Acajou et de l'Okoumé) dans
Séries de prix des architectes.
C'est pour ces motifs également que l'Etat ne peut, 'cr
ses cahiers des charges d'adjudications publiques, iIllPO:;
l'emploi des bois coloniaux et doit se borner à en auto1
l'utilisation en remplacement de bois plus connus.
.i.n(3 l's
Que ces bois existent comme les btfis français, en E,to;s
débités et séchés constamment renouvelés, dans les principe
dimension3 admises par 1 commerce, que 1 qualité soi.t , stlivie,
dimensions admises par le commerce, que la qualité son 13
que les prix soient raisonnables et stables, immédiatement la
question chang-cra d'aspect ; la vulgarisation, la vente dCVIC t
dront facilcs. La demande dépassera probablement J 011
très rapidement.
Principales essences dont il y a lieu de recolurnander
l'exploitation et l'importation. — Après dix ans d etu
d'obsetvations et d'expériences de toutes sortes, nous soi'1
, pc l
amené à dire que le nombre de ces essences est encore tié» 1
élevé, surtout si l'on fait abstraction de celles qui sont recherch1
exclusivement, pour le placage et pour lesquelles n'entre
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