Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 novembre 1930 01 novembre 1930
Description : 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30. 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748997
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
- Aller à la page de la table des matières885
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 978
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 1000
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 1003
- .......... Page(s) .......... 1005
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 1007
ÉTUDES GÉNÉRALES 955
caAPIRE V. - L'usinage et l'étude technique des bois
coloniaux. - Rôle et fonctionnement des organismes
chargés de l'étude et de la vulgarisation.
d L'usinage. - Les bois coloniaux ont souffert jusqu'à ces
(je niers tempç et souffrent encore, au point de vue de leur usinage,
Une assez mauvaise réputation. Réputation imméritée, du reste,
s ils ont provoqué des mécomptes, donné lieu à des difficultés
Parfois assez sérieuses, c'était surtout par suite de l'utilisation
d'un outillage qui n'était pas adapté à ces bois, qui ne répondait
Pas à leurs propriétés respectives.
fI' On ne scie pas de la même façon, en ce qui concerne nos bois
ançals, les cormiers, les chênes, les sapins et les peupliers. Il
en est de même des bois coloniaux. Il ne faut pas vouloir les débiter
tome on débite nos bois indigènes et, au surplus, ne pas vouloir
débiter tous de la même façon, avec les mêmes outils.
A la suite des observations et indications publiées à ce sujet
ar un ingénieur civil, M. PETITPAS collaborateur bénévole du
ervice des Bois coloniaux et du Comité national des Bois colo-
laux, de très intéressants résultats ont été obtenu,«fun peu partout,
cet égard, tant par les fabricants d'outillage que par les entre-
Preneurs de sciage et dès maintenant l'on débite correctement la
Plupart des essences coloniales.
1 Des progrès plus complets encore pourront être obtenus
lorsque M. PETITPAS aura achevé et mis au point ses travaux;
arnrnent en ce qui concerne l'utilisation des scies à ruban (1).
et ingénieur au dévouement et à la sagacité de qui il convient de
endre hommage, a basé ses recherches à la fois sur des principes
d éoriques, d'après la densité, la dureté et la résistance à l'outil
des différentes essences, et sur des expériences pratiques effectuées
tant à la Station d'essais du Service des Bois à Nogent-sur-Marne,
que dans de grandes usines de débitage.
Il y a pour toutes les scies en général, mais surtout pour les
scies à 4 ruban, une question de denture, c'est-à-dire de forme, de
Position angulaire et d'espacement des dents ; il y a aussi une
----- de vitesse de rotation des lames. Certains bois sont
(1) fi h Uvrage de M. PETITPAS,
Les a c es e l'Annexe B indiquent du reste pour chaque essence les caractéris-
tiques a PProximatives du sciage au ruban.
caAPIRE V. - L'usinage et l'étude technique des bois
coloniaux. - Rôle et fonctionnement des organismes
chargés de l'étude et de la vulgarisation.
d L'usinage. - Les bois coloniaux ont souffert jusqu'à ces
(je niers tempç et souffrent encore, au point de vue de leur usinage,
Une assez mauvaise réputation. Réputation imméritée, du reste,
s ils ont provoqué des mécomptes, donné lieu à des difficultés
Parfois assez sérieuses, c'était surtout par suite de l'utilisation
d'un outillage qui n'était pas adapté à ces bois, qui ne répondait
Pas à leurs propriétés respectives.
fI' On ne scie pas de la même façon, en ce qui concerne nos bois
ançals, les cormiers, les chênes, les sapins et les peupliers. Il
en est de même des bois coloniaux. Il ne faut pas vouloir les débiter
tome on débite nos bois indigènes et, au surplus, ne pas vouloir
débiter tous de la même façon, avec les mêmes outils.
A la suite des observations et indications publiées à ce sujet
ar un ingénieur civil, M. PETITPAS collaborateur bénévole du
ervice des Bois coloniaux et du Comité national des Bois colo-
laux, de très intéressants résultats ont été obtenu,«fun peu partout,
cet égard, tant par les fabricants d'outillage que par les entre-
Preneurs de sciage et dès maintenant l'on débite correctement la
Plupart des essences coloniales.
1 Des progrès plus complets encore pourront être obtenus
lorsque M. PETITPAS aura achevé et mis au point ses travaux;
arnrnent en ce qui concerne l'utilisation des scies à ruban (1).
et ingénieur au dévouement et à la sagacité de qui il convient de
endre hommage, a basé ses recherches à la fois sur des principes
d éoriques, d'après la densité, la dureté et la résistance à l'outil
des différentes essences, et sur des expériences pratiques effectuées
tant à la Station d'essais du Service des Bois à Nogent-sur-Marne,
que dans de grandes usines de débitage.
Il y a pour toutes les scies en général, mais surtout pour les
scies à 4 ruban, une question de denture, c'est-à-dire de forme, de
Position angulaire et d'espacement des dents ; il y a aussi une
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Les a c es e l'Annexe B indiquent du reste pour chaque essence les caractéris-
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