Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 novembre 1930 01 novembre 1930
Description : 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30. 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748997
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 978
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 1000
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 1003
- .......... Page(s) .......... 1005
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 1007
ÉTUDES GÉNÉRALES 911
Les ter 't
dési territoires coloniaux plus ou moins boisés et que l'on
désigne COrnrtiunéraent sous le nom de- brousse, ne sont pas
PriS dans cette superficie. Cependant, dans les 90 millions
d'b'Ictl,res indiqués, il est certainement des parties assez impor-
tarltes qui il ont pas le caractère forestier de massifs exploitables
densesrlellernent. Il est d'autre part, parmi les boisements
denses, es zones considérables qui, trop éloignées de la mer
°U deVo'es économiques d'évacuation, ne sont guère à considérer
1)
act(i eiûent pour une production intensive de bois en vue de
1 , oftation.
l'ens on adniet toutefois que pour l'exploitation industrielle,
l'ellsenlbl6 doive être diminué de 40 %, il reste encore
être rn' ec ares (1). Or si ces 54 millions d'hectares pouvaient
nos fa ê valeur rationnellement, totalement, comme le sont
PUissa ce, 1 s seraient susceptibles, étant donnée la
fourn' végétation que l'on observe en zone tropicale, de
ailtlllellement une masse formidable de bois d'œuvre,
plus de cQnt millions de mètres cubes certainement.
loiQ en la' , bien entendu, pure hypothèse. Nous sommes très
d'abord effetde Pouvoir exploiter totalement ces massifs. Ils sont
POUssent OUs excessivement hétérogènes. Des centaines d'essences
Plus des nous l'avons dit, les unes à coté des autres et il en est
ICIllent u x tIers qui, pour des raisons diverses, sont diffici-
essenc U^^Sa^^6S par l'industrie européenne. Notons que ces
essenceS Sont ég-alement différentes de colonie à colonie. Il n'est
Cette
Utilisabl 0 que de rares exceptions. Enfin, parmi les essences
GS en Europe, l'exploitant recherche exclusivement celles
dont i"e°°ulement est facile, dont la valeur commerciale est
considé e, dont la vente assure des bénéfices certains. Les frais
trop BOUra les qui grèvent actuellement les expéditions enlèvent
Plus Co Venten effet tout avantage à l'exploitation d'essences
co rïlUnes» excellentes parfois pour nombre d'usages, mais
revient p acernent reste pratiquement impossible, si le prix de
Illent Utlt égal ou supérieur à celui de bois similaires couram-
utilisés.
suf~g SOlnineS très loin aussi de disposer d'une main-d'œuvre
Su^8ante Pour répondre aux besoins d'une exploitation vrai-
îïient ensive des forêts coloniales.
Pour l'exp Ilhons d hecta..e¡¡ tout au plus pouvant être exploités ImmMIa-
Ortatlon.
Les ter 't
dési territoires coloniaux plus ou moins boisés et que l'on
désigne COrnrtiunéraent sous le nom de- brousse, ne sont pas
PriS dans cette superficie. Cependant, dans les 90 millions
d'b'Ictl,res indiqués, il est certainement des parties assez impor-
tarltes qui il ont pas le caractère forestier de massifs exploitables
densesrlellernent. Il est d'autre part, parmi les boisements
denses, es zones considérables qui, trop éloignées de la mer
°U deVo'es économiques d'évacuation, ne sont guère à considérer
1)
act(i eiûent pour une production intensive de bois en vue de
1 , oftation.
l'ens on adniet toutefois que pour l'exploitation industrielle,
l'ellsenlbl6 doive être diminué de 40 %, il reste encore
être rn' ec ares (1). Or si ces 54 millions d'hectares pouvaient
nos fa ê valeur rationnellement, totalement, comme le sont
PUissa ce, 1 s seraient susceptibles, étant donnée la
fourn' végétation que l'on observe en zone tropicale, de
ailtlllellement une masse formidable de bois d'œuvre,
plus de cQnt millions de mètres cubes certainement.
loiQ en la' , bien entendu, pure hypothèse. Nous sommes très
d'abord effetde Pouvoir exploiter totalement ces massifs. Ils sont
POUssent OUs excessivement hétérogènes. Des centaines d'essences
Plus des nous l'avons dit, les unes à coté des autres et il en est
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Cette
Utilisabl 0 que de rares exceptions. Enfin, parmi les essences
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dont i"e°°ulement est facile, dont la valeur commerciale est
considé e, dont la vente assure des bénéfices certains. Les frais
trop BOUra les qui grèvent actuellement les expéditions enlèvent
Plus Co Venten effet tout avantage à l'exploitation d'essences
co rïlUnes» excellentes parfois pour nombre d'usages, mais
revient p acernent reste pratiquement impossible, si le prix de
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utilisés.
suf~g SOlnineS très loin aussi de disposer d'une main-d'œuvre
Su^8ante Pour répondre aux besoins d'une exploitation vrai-
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Pour l'exp Ilhons d hecta..e¡¡ tout au plus pouvant être exploités ImmMIa-
Ortatlon.
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