Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 novembre 1930 01 novembre 1930
Description : 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30. 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748997
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 978
- .......... Page(s) .......... 999
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- .......... Page(s) .......... 1000
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- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 1007
HO BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
autre ! On estima, en effet, que les forêts coloniales, par l:U:
superficies, leur densité, leur rapidité de végétation aIlalC
pouvoir, du jour au lendemain, nous fournir des millions e
mètres cubes et alimenter en bois non seulement la France, 1
encore la plupart des pays européens dont la production
déficitaire. Il ne s'agissait pour cela que d'organiser la prospec
méthodique et l'exploitation (1).
C'est ainsi que furent envoyées les Missions BERTIN et SAÏ*g
en Afrique Équatoriale et Occidentale et BETTENFELD à la Guyan
missions dont les travaux firent avancer sérieusement la
connaissance des principaux bois exploitables des forêts pt s
pectées, sinon leur vulgarisation dans l'industrie, car ces
travaux ne se traduisirent nullement, comme on l'avait. esp
par un accroissement immédiat et sensible, en quantités et eO
'variétés, par rapport aux arrivages d'avant-guerre, du tOnnar
de bois coloniaux reçu par notre pays. On avait compte sans la
routine des industriels et aussi, il faut bien le dire, sans1
difficultés inhérentes à l'usinage et à l'emploi de bois très diffe"
rents à tous égards de ceux que l'on avait coutume d'utiliser*
surplus, le nombre d'essences retenues (plus de 150 poUl S
seules colonies prospectées par les missions) et préconisées -
études techniques approfondies, était beaucoup trop conS1
rable. Il y avait de quoi dérouter les meilleures volontéS,
Les ouvrages publiés à la suite de ces missions euren;
néanmoins du retentissement. Leurs conclusions ont pu P
par excès d'optimisme, mais il convient de rendre à leurs au
le juste hommage qu'ils méritent. -
- &
Depuis, les forêts coloniales sont - entrées plus réelle flt
dans la période d'exploitation. Leur étude s'est d'a atre part
poursuivie, lentement, sans doute, et sans bruit, mais méthO or
quement. Et, s'il nous reste encore beaucoup à apprendre S r
leur composition, les conditions de leur formation et de leOe
é 't. d et uO
régénération, du moins possédons-nous déjà sur ce 8UJ et
documentation assez importante.
La valeur industrielle des massifs. — Nous avons dit au début
.a va eur'z.n ustr'lelle des ma.'sifs. - Nous avonR 1 a t
de cette étude que les massifs boisés de nos colonies couvre
approximativement 90 millions d'hectares. ----
(1) Les premières exploitations avaient été suspendues pendant la guerre
était à reprendre.
autre ! On estima, en effet, que les forêts coloniales, par l:U:
superficies, leur densité, leur rapidité de végétation aIlalC
pouvoir, du jour au lendemain, nous fournir des millions e
mètres cubes et alimenter en bois non seulement la France, 1
encore la plupart des pays européens dont la production
déficitaire. Il ne s'agissait pour cela que d'organiser la prospec
méthodique et l'exploitation (1).
C'est ainsi que furent envoyées les Missions BERTIN et SAÏ*g
en Afrique Équatoriale et Occidentale et BETTENFELD à la Guyan
missions dont les travaux firent avancer sérieusement la
connaissance des principaux bois exploitables des forêts pt s
pectées, sinon leur vulgarisation dans l'industrie, car ces
travaux ne se traduisirent nullement, comme on l'avait. esp
par un accroissement immédiat et sensible, en quantités et eO
'variétés, par rapport aux arrivages d'avant-guerre, du tOnnar
de bois coloniaux reçu par notre pays. On avait compte sans la
routine des industriels et aussi, il faut bien le dire, sans1
difficultés inhérentes à l'usinage et à l'emploi de bois très diffe"
rents à tous égards de ceux que l'on avait coutume d'utiliser*
surplus, le nombre d'essences retenues (plus de 150 poUl S
seules colonies prospectées par les missions) et préconisées -
études techniques approfondies, était beaucoup trop conS1
rable. Il y avait de quoi dérouter les meilleures volontéS,
Les ouvrages publiés à la suite de ces missions euren;
néanmoins du retentissement. Leurs conclusions ont pu P
par excès d'optimisme, mais il convient de rendre à leurs au
le juste hommage qu'ils méritent. -
- &
Depuis, les forêts coloniales sont - entrées plus réelle flt
dans la période d'exploitation. Leur étude s'est d'a atre part
poursuivie, lentement, sans doute, et sans bruit, mais méthO or
quement. Et, s'il nous reste encore beaucoup à apprendre S r
leur composition, les conditions de leur formation et de leOe
é 't. d et uO
régénération, du moins possédons-nous déjà sur ce 8UJ et
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La valeur industrielle des massifs. — Nous avons dit au début
.a va eur'z.n ustr'lelle des ma.'sifs. - Nous avonR 1 a t
de cette étude que les massifs boisés de nos colonies couvre
approximativement 90 millions d'hectares. ----
(1) Les premières exploitations avaient été suspendues pendant la guerre
était à reprendre.
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