Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 août 1930 01 août 1930
Description : 1930/08/01 (A23,N259)-1930/09/30. 1930/08/01 (A23,N259)-1930/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474897d
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
ÉTUDES GÉNÉRALES 680
un Peu colonie, parfois en peuplements
hnporta partout dans la colome, parfOIs en peuplements
^Portants et dont les fruits renferment beaucoup d'huile. A
ten;é:es re ^ri"eS' la fabrication industrielle de cette huile fut
Par u UIS abandonnée. Elle a été reprise tout récemment
L'A.drni jeuCayeanais en vue de la préparation du savon.
tlVe. a al e et aidera le plus possible cette initia-
qUI P t "-
tante ^ui peut être le point de départ d'une exploitation impor-
non Pas S 1 '.,
tante non eu ement pour la consommation intérieure,
COre po l,
lilais encorA Pour exportatIOn.
Le rapide examen que je vien de faire de la situation éco-
qUe n Ue et deS de la Guyane démontre que la crise
nous ersons peut être surmontée par le travail de tous,
es a§*riculteu le travail de ceux qui créent de la richesse:
pri cipalernent *rava^ de ceux qui créent de la richesse :
les aerie Ultelirs, les éleveurs, les exploitants de mine ou fores-
ls
je vou rneropole, d'aiIleurs, va nous venir en aide pour cela;
, S al d'"
je vous ai, déjà depuis un certain temps, fait connaître les
ons du 1I.r-' t. l
lritentions X n^stre à ce sujet - et, pour ma part, je lui
a(^resse ICI au noin de la Guyane,
ettiercieiïlen^ nom de la Guyane, mes plus vifs et respectueux
, ar Un rad'
re £ u hier soir, Je ministre me confirme les
lllèllle tlOIlS prises en faveur de la Guyane mais il insiste en
colonie de nom du Gouvernement, sur l'obligation pour la
Parallèle. faIre de son côté immédiatement un effort fiscal
, A. la
cable le la veille de la session ordinaire du Conseil général,
l" llllnlstre' bl
parl e ministre, Je vous prie de souligner à cette assemblée
l'importance d l, Gouvernement demande au
llQlPortance e. effort que le Gouvernement demande au
Par les pnonu, r 1930, malgré charges élevées déjà supportées
Par i s Autres e-Olonies, notamment pour les sinistrés.
aise da le ouvernernent désire vivement aider la Guyane fran-
rè ns SOn l'el'
1. Se dans son evement par une subvention ayant pour objet le
effort Parall pasif et faciliter sa mise en valeur, il exige qu'un
du passif et faciliter sa mise en valeur, il exige qu'un
« Parallèle UJe lat et continu soit fait par la colonie.
élue COnséq ,
e: consé quence je vous prie de demander à l'assemblée
« 1° L
tion e Vote il11 'd' ,. l :
V d'iln Ille lat des augmentations de tarifs et la créa-
I..l'i l.pôts ~x demandés et chin'rés par la mission
tions d'impôts nouveaux demandés et chiffrés par la mission
g 8ï)ection à ^irOnO.OOO francs;
t*
1 20 La 4 SiOn rapide de l'Hôpital colonial et de l'Hôpital
BU11- 259 32'
32*
un Peu colonie, parfois en peuplements
hnporta partout dans la colome, parfOIs en peuplements
^Portants et dont les fruits renferment beaucoup d'huile. A
ten;é:es re ^ri"eS' la fabrication industrielle de cette huile fut
Par u UIS abandonnée. Elle a été reprise tout récemment
L'A.drni jeuCayeanais en vue de la préparation du savon.
tlVe. a al e et aidera le plus possible cette initia-
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tante ^ui peut être le point de départ d'une exploitation impor-
non Pas S 1 '.,
tante non eu ement pour la consommation intérieure,
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lilais encorA Pour exportatIOn.
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Par les pnonu, r 1930, malgré charges élevées déjà supportées
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1. Se dans son evement par une subvention ayant pour objet le
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g 8ï)ection à ^irOnO.OOO francs;
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