tous P r améliorer- les conditions de travail et de vie de tous ceulC q , dans la grande forêt les tous ceux qui liaient chercher dans la grande forêt les ric}le0S d e la Guyane : or, balata, bois de rose. Eux-mêmes, ^'ailleurS> a^ant souvent' gagné très vite de grosses sommes, trouv • s, ayant souvent' gagné très vite de grosses sommes, dans lent normal de venir les dépenser aussi rapidement belles les bourgs accueillants de la Côte. Mais maintenant les belles trouvailles deviennent très rares et le labeur quotidien subvient a peine aux besoins de chaque jour; il faut donc s'étabiir ,a demeure sur le terrain ; il faut y vivre des mois, des nees.
années.
rieur donc maintenant que le défaut d'organisation de l'inté- se fait
labori fait sentIr et qu'il convient de donner à ces familles laborieilg SeS ^6S conditions de vie rendues meilleures par la sécu- , a crea ti d
la rea^°n de voies de communication, l'aménagement des villageg Igrabes et sains, l'assistance médicale, l'instruction des eûfan^+o s> la justice.
Le 1\,r'
cipe d a bien voulu non seulement approuver le prin- aIde fi nancièrIsa Ion, mais encore me laisser espérer une aide fi ^âUciè' rp pour en réaliser les commencements.
Ces ^r°grès ne peuvent manquer d'avoir une répercussion Se SUI' 1 t
Sur le travail des orpailleurs.
e l'or ement sur le développement des exploitations de l'or par Procédés industriels puissants auxquels la Société l' acers de S
*U'e plac - de Saint-Elie, Adieu-Vat a actuellement recours et et OIera égaleIn t 1 1 ,
Indust egalement la Société Franco-Équatoriale minière le b rlelIe dès qu 1 ., d et -"dustrielle dès que a piste automobilisable prévue joindra le PlIa région de PI- pour raisons j estime que la production de l'or doit nor- malement ns J estIme que la production de l'or dOIt nor- Je ne b n er ans un avenir assez proche.
d saUrais e d,
e l'ose et d en dire de même de celle de l'essence de bois La cuIt u balata qui est appelée à disparaitre.
La cuit de la <;anne à sucre par contre, s'intensifie.
La culture de la canne à sucre, par contre, s'intensifie, ltude de l'oct .Iers temps un gros aléa pesait sur elle : l'incer- tI, tude de l'octroi du Contingent spécial. Mais le ministre, averti de la hon de la 1 ,
de la si. tuation dela Colonie, a pu non sans avoir à vaincre tion lfficultés f. '1 d..
de la faire mettre définitivement, à la disposi- COntingent uyane, par décret du 22 juin 1929, la totalité du fi, ont Il dis'
Cotltinge^ °nt il posaIt, soit 700 hectos.
de apprécia t 1
cette n à sa valeur les avantages pour la colonie un lrlsure'" b, t 6 Ce^e ^SUre> J avais demandé encore au département u contingent très important et fait valoir les
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