à 1 a prospé't' COntino- rI e de la colonie. Cette situation est due au bentement La Marti' hectolI"t lllque JOUIt d'un contingent annuel de 88.915 ectolitres cl)alcool pur, le degré des rhums exportés étant en en Fr de 60 011 peut admettre qu'elle introduit annuellement ance au
en pr 06 aU régime de faveur environ 148.500 hectolitres II) marchand. D. d, rhu ^IIlarc^lan(l- Depuis l'établissement de ce régime nos de qu O?s dans la Métropole ont toujours excédé ce chiffre antItes Pl
de quantités us ou moins importantes (43.949 hectolitres en 1927 52609 hectolitres en 1928) provenant de l'expédition de ors conti t .t
rhum h 1*8 ngen soumis à leur arrivée sur le territoire c non cOnr a a surtaxe spéciale. A ces quantités de rhum d'ajout lUgentés dirigés sur les entrepôts de France il y a lieu 1er les env
"jouter les erivois aux autres colonies et à l'étranger ainsi que les pr de ^ord. Les plus fortes exportations pour ces Ions ont été .¡.o , hl ^estinat10QS °n* faites en lf*26, elles s'élevaient à 2.425 hl.
Pour j S colonies et 245 hectolitres pour l'étranger et les ons de b d
Pr°visiç)de b°rd- En 1927 elles ont atteint respectivement e 110 h
1.414 7 110 hectolitres et en 1928 elles sont de 629 et 113 hl.
de la co) e cacao est encore la principale denrée secondaire de la e(), ollie. exportation a atteint en 1928 391.552 kilos d'un a eUr de? 592 9 ^'une v ]eUï^ francs. La moyenne d'avant guerre IS¡salt ent - s^tablis .« re 600 et 700 tonnes. Les cours sont trop peu ^^Unéra9 eurs- Les quelques petits planteurs qui ont conservé des Cac ers sur leurs exploitations font la récolte du cacao Iïla^s ne eveloppent pas leurs plantations.
Qh - eXPOrté Le cacao de la Martinique n'est pas seulement 1 sous for d nstaUées d me de cacao en fèves. Deux chocolateries sont Se 1 ans la col' f ., Il eIIle t colonie et fournissent des produits appréciés non en à la Consoiïlmationlocale mais aussi aux colonies fran Ç^ises df» * ntillesftdel,°céanie.
Il en est export' , c allIe. 1 en est e--porté également de petites quantités dans les colo- s' baIses av , Il les anglaise' avoisinantes et ce commerce pourrait être intensifié ac a nego t. , d,.
Si dans Cla Ion à intervenir pour la conclusion d'un de f rnrnercial l
apeorci "Oinlereial avec les colonies de la couronne, un régime e ait acc d.
Or e aux chocolats martiniquais.
t Ûaf(--Le f' CafterG Ca^ ^e la Martinique autrefois si réputé a presque tlQn ISparu 0 1 t saUr l Cs h aut. On rencontre encore quelques petites planta- Uo*sSUrles auteurs du Vauclin et du Morne-Rouge.
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