Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 février 1932 01 février 1932
Description : 1932/02/01 (A25,N275)-1932/02/28. 1932/02/01 (A25,N275)-1932/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474883c
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Études générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 258
- Statistiques - Rapports:
- .......... Page(s) .......... 331
- Ile de la Réunion: La population en 1931
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 337
- .......... Page(s) .......... 339
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 349
- .......... Page(s) .......... 352
- .......... Page(s) .......... 360
âl8 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÊRALE DES COtONtES
mettrai à MM. le Ministre des Colonies et le Gouverneur géné-
ral de l'Indochine.
Des pourparlers tendant au même but seront engagés avec
M. le Gouverneur général des Indes néerlandaises.
Il n'est plus besoin de démontrer que les immigrants
indochinois et javanais se plaisent chez nous, parce qu'ils
y sont bien traités et qu'ils apprécient tous les avantages que
leur offre le pays. Ils sont satisfaits et le demeureront grâce
au* garanties qui les entourent.
Au cours de la discussion du budget des colonies, la' Cham-
bre des Députés, en sa séance du 23 février dernier, a bi,en
voulu reconnaître la oonditiofi irréprochable de la main-d'œuvre
dans notre Pacifique austral. C'est, pour la colonisation fran-
çaise, en ces territoires, un titre de fierté.
L'allégement des charges d'établissement initial et le tinan-
cement du programme agraire. — J'ai le ferme espoir que nous
pourrons les assurer par cet ensemble de dispositions dues a
la prévoyance de M. le Ministre des Colonies et à la sollicitude
du Parlement pour notre œuvre coloniale.
Crédit agricole local; réduction des taux de l'intérêt et
des crédits d'escompte; avances du Crédit colonial et du Crédit
national agricole; soutien financier de l'Office national du
Combattant pour l'établissement des colons anciens combattants.
Dès le 7 juillet dernier, j'ai prié les Chambres d'Ag ri ci-iltur,"
et de Commerce d'ouvrir des enquêtes pour déterminer la"
mesure dans laquelle les entreprises privées auraient à recourir
au Crédit colonial.
Aussitôt que j'en aurai les résultats, j'en saisirai le dépar-
tement.
Nous n'avons connu, que ,ces jours derniers le vote paf
la Chambre du projet de loi autorisant des avances ou ouver-
tures de crédits aux colonies jusqu'à concurrence de 100 mil"
lions, par la Caisse nationale de Crédit agricole.
En prévision du vote prochain de ce projet par le Sén3^
je me suis empressé de faire appel, une fois de plus, aU
vif intérêt que nous porte M. le Ministre des Colonies, ell !tH
demandant de comprendre notre groupe — Nouvelle-Calécloni0
et Nouvelles-Hébrides — dans la première répartition de <:£s
avances.
Qu'on ne croie pas — parce que je n'ai pas expressém61^'
nommé — que j'oublie l'élevage et ses soucis actuels. U t
mettrai à MM. le Ministre des Colonies et le Gouverneur géné-
ral de l'Indochine.
Des pourparlers tendant au même but seront engagés avec
M. le Gouverneur général des Indes néerlandaises.
Il n'est plus besoin de démontrer que les immigrants
indochinois et javanais se plaisent chez nous, parce qu'ils
y sont bien traités et qu'ils apprécient tous les avantages que
leur offre le pays. Ils sont satisfaits et le demeureront grâce
au* garanties qui les entourent.
Au cours de la discussion du budget des colonies, la' Cham-
bre des Députés, en sa séance du 23 février dernier, a bi,en
voulu reconnaître la oonditiofi irréprochable de la main-d'œuvre
dans notre Pacifique austral. C'est, pour la colonisation fran-
çaise, en ces territoires, un titre de fierté.
L'allégement des charges d'établissement initial et le tinan-
cement du programme agraire. — J'ai le ferme espoir que nous
pourrons les assurer par cet ensemble de dispositions dues a
la prévoyance de M. le Ministre des Colonies et à la sollicitude
du Parlement pour notre œuvre coloniale.
Crédit agricole local; réduction des taux de l'intérêt et
des crédits d'escompte; avances du Crédit colonial et du Crédit
national agricole; soutien financier de l'Office national du
Combattant pour l'établissement des colons anciens combattants.
Dès le 7 juillet dernier, j'ai prié les Chambres d'Ag ri ci-iltur,"
et de Commerce d'ouvrir des enquêtes pour déterminer la"
mesure dans laquelle les entreprises privées auraient à recourir
au Crédit colonial.
Aussitôt que j'en aurai les résultats, j'en saisirai le dépar-
tement.
Nous n'avons connu, que ,ces jours derniers le vote paf
la Chambre du projet de loi autorisant des avances ou ouver-
tures de crédits aux colonies jusqu'à concurrence de 100 mil"
lions, par la Caisse nationale de Crédit agricole.
En prévision du vote prochain de ce projet par le Sén3^
je me suis empressé de faire appel, une fois de plus, aU
vif intérêt que nous porte M. le Ministre des Colonies, ell !tH
demandant de comprendre notre groupe — Nouvelle-Calécloni0
et Nouvelles-Hébrides — dans la première répartition de <:£s
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Qu'on ne croie pas — parce que je n'ai pas expressém61^'
nommé — que j'oublie l'élevage et ses soucis actuels. U t
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