Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 janvier 1932 01 janvier 1932
Description : 1932/01/01 (A25,N274)-1932/01/31. 1932/01/01 (A25,N274)-1932/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474882z
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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- SOMMAIRE
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- Bibliographie, Statistiques, etc...
- (Voir sommaire détaillé, p. 1.)
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
ÉTUDES GÉNÉRALES 39
Vancouver, amènent en un flot ininterrompu,canalisé et régularisé,
les touristes à Yokohama, d'où ils se répandent dans tout le
Japon et l'Extrême-Orient, sous la conduite de guides spécialisés,
répartis par groupes importants pour, de là, se rendre en partie
à Java.
C'est donc de ces firmes qu'il convient d'obtenir qu'elles se
rendent en Indochine, qu'elles comprennent notre colonie dans
la « marchandise », c'est le mot, qu'elles débitent couramment,
comme l'épicier débite des kilos de sucre. Mais ces firmes n'inter-
viendront qu'autant qu'elles auront pu connaître à fond ce
champ nouveau qu'elles connaissent peu ou mal encore
aujourd'hui.
Il y aurait donc lieu de reprendre la proposition faite jadis
d'entrer en rapports avec elles sur le terrain des affaires, c'est-
à-dire en faisant ressortir l'intérêt qu'elles ont à incorporer
dans leurs billets actuels un nouveau billet, non encore exploité
auprès de leur immense clientèle, compte tenu de ce que celle-ci
supporte à l'heure actuelle les conséquences de la crise mondiale :
facteur circonstanciel dont on ne saurait tenir compte lorsqu'il
s'agit de formuler des principes généraux intéressant davantago
encore l'avenir que le présent.
Il serait indispensable que ces firmes envoient, - soit
collectivement, soit individuellement, un ou plusieurs inspecteurs
autorisés, à qui l'on fera visiter l'Indochine commercialement
exploitable sous le rapport touristique, en se bornant à ce
champ que l'on peut concevoir limité à Saïgon, Angkor, Dalat,
Hué; et, de là, par la route et le rail, Hanoï; facultativement
Yunnan-Sen, enfin, la hiie d'Along et Haïphong. Ces inspecteurs
jugeront de l'importance et de la périodicité des caravanes
susceptibles d'être dirigées vers l'Indochine, en harmonie avec
la conjonction de nos services maritimes Japon-Indochine et par
prolongement Indochine-Java : ce qui nous est une occasion de
mentionner une fois de plus l'intérêt que présenterait
l'établissement, à Camranh de préférence, d'un port d'escales
internationales sur la côte est de la colonie. Ils précise-
raient les capacités actuelles de réceptivité de l'industrie
hôtelière, de manière à éviter le « trop », ou le « trop peu »
dans la combinaison des cavavanes et ils détermineraient, d'accord
avec les autorités compétentes, les aménagements à prévoir, en
rapport avec cet afflux : aménagements pour lesquels il importe
que nous nous basions sur les méthodes hollandaises, les seules
Vancouver, amènent en un flot ininterrompu,canalisé et régularisé,
les touristes à Yokohama, d'où ils se répandent dans tout le
Japon et l'Extrême-Orient, sous la conduite de guides spécialisés,
répartis par groupes importants pour, de là, se rendre en partie
à Java.
C'est donc de ces firmes qu'il convient d'obtenir qu'elles se
rendent en Indochine, qu'elles comprennent notre colonie dans
la « marchandise », c'est le mot, qu'elles débitent couramment,
comme l'épicier débite des kilos de sucre. Mais ces firmes n'inter-
viendront qu'autant qu'elles auront pu connaître à fond ce
champ nouveau qu'elles connaissent peu ou mal encore
aujourd'hui.
Il y aurait donc lieu de reprendre la proposition faite jadis
d'entrer en rapports avec elles sur le terrain des affaires, c'est-
à-dire en faisant ressortir l'intérêt qu'elles ont à incorporer
dans leurs billets actuels un nouveau billet, non encore exploité
auprès de leur immense clientèle, compte tenu de ce que celle-ci
supporte à l'heure actuelle les conséquences de la crise mondiale :
facteur circonstanciel dont on ne saurait tenir compte lorsqu'il
s'agit de formuler des principes généraux intéressant davantago
encore l'avenir que le présent.
Il serait indispensable que ces firmes envoient, - soit
collectivement, soit individuellement, un ou plusieurs inspecteurs
autorisés, à qui l'on fera visiter l'Indochine commercialement
exploitable sous le rapport touristique, en se bornant à ce
champ que l'on peut concevoir limité à Saïgon, Angkor, Dalat,
Hué; et, de là, par la route et le rail, Hanoï; facultativement
Yunnan-Sen, enfin, la hiie d'Along et Haïphong. Ces inspecteurs
jugeront de l'importance et de la périodicité des caravanes
susceptibles d'être dirigées vers l'Indochine, en harmonie avec
la conjonction de nos services maritimes Japon-Indochine et par
prolongement Indochine-Java : ce qui nous est une occasion de
mentionner une fois de plus l'intérêt que présenterait
l'établissement, à Camranh de préférence, d'un port d'escales
internationales sur la côte est de la colonie. Ils précise-
raient les capacités actuelles de réceptivité de l'industrie
hôtelière, de manière à éviter le « trop », ou le « trop peu »
dans la combinaison des cavavanes et ils détermineraient, d'accord
avec les autorités compétentes, les aménagements à prévoir, en
rapport avec cet afflux : aménagements pour lesquels il importe
que nous nous basions sur les méthodes hollandaises, les seules
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