Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1926-10-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 octobre 1926 01 octobre 1926
Description : 1926/10/01 (A19,N218)-1926/11/30. 1926/10/01 (A19,N218)-1926/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64744511
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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ÉTUDES GÉNÉBALES 1263
de l' çu sur la façon dont se comportent les descendances
de œis » montre avec quelle prudence il faut faire le choix
prjmiti1 f des rorte-graines. Les formes péricarpiques sont dange-
les t' par SUite de l'état d'avancement de leur dégénérescence ;
rs f S primitives sont trop éloignées de la période de richesse
en Pr0(*uits utiles. C'est parmi les Palmiers arrivés à un
Pél" lcarpime laire, notablement plus rapproché de la forme
pérjc ^Ue que du type sauvage, que le choix doit s'exercer.
La division en groupes, qui a été adoptée par la Station de la Mé,
"te cette OPération, ,,n lui donnant plus de clarté par son
d'être o:rnent, purement arbitraire d'ailleurs. Tout ce qui vient
VUe cI dit prouve, en effet, qu'on ne peut, pas plus au point de
vue classification qu'au point de vue groupement, espérer établir
Ull COnipartiiiientagCDe réel et sincère. La file ininterrompue des
forn, es de l' <<: Eloeis » est comme une balustrade régulière,
l'éca tep ace en place par des poteaux de soutien, dont
Sontr ement est purement artificiel, et qui, dans le cas présent,
effet représelltés par les limites des groupes. On observe, en
des requemment, que des Palmiers voisins des extrêmes
SUivoroupes se classent tantôt dans le précédent, tantôt dans le
Su'vant '1 S obéissent aux variations saisonnières. Aussi,
rllue udes faites par la Station, depuis son début, ont été beaucoup
l' s ab d
plUg on antes sur les formes du premier groupe les plus
lSIUes d d
vois' CS du deuxième groupe et sur celles du deuxième groupe,
c'esj. -dire sur les Palmiers dont la coque oscille autour de 20.
SUffiJt la recherche du type 60-20-20, qui ne s'est présentée avec
arnrne t d, 1
aiïiment d'approximation que dans le n° 9.
Les elassifications botaniques ne pouvaient donner d'indi-
co'nPlé,-nentaires ; elles sont soumises aux mêmes défauts
ce le C^°*Sonnernent mathématique par groupes, et les variétés
tout eren ne paraissent pas avoir la fixité qui en ferait
toute la valeur ; elles ne peuvent s'adresser qu'à des états
cl'u le évolution continue et ne constituent, par suite, que des
eres descriptifs.
d'ap pendant, dès le début, les recherches ont été orientées
d'aprs des données botaniques.
Heeu .Us ^es Palmiers étudiés appartiennent à 1' « Elœis gui-
* JAUQ., sous espèce « nigrescens » A. CHEV., dans son
eh apelet ininterrompu de formes allant du type primitif au type
PartK n°carpic[ue absolu.
l'a sous-espèce « virescens », qui présente les mêmes échelon-
de l' çu sur la façon dont se comportent les descendances
de œis » montre avec quelle prudence il faut faire le choix
prjmiti1 f des rorte-graines. Les formes péricarpiques sont dange-
les t' par SUite de l'état d'avancement de leur dégénérescence ;
rs f S primitives sont trop éloignées de la période de richesse
en Pr0(*uits utiles. C'est parmi les Palmiers arrivés à un
Pél" lcarpime laire, notablement plus rapproché de la forme
pérjc ^Ue que du type sauvage, que le choix doit s'exercer.
La division en groupes, qui a été adoptée par la Station de la Mé,
"te cette OPération, ,,n lui donnant plus de clarté par son
d'être o:rnent, purement arbitraire d'ailleurs. Tout ce qui vient
VUe cI dit prouve, en effet, qu'on ne peut, pas plus au point de
vue classification qu'au point de vue groupement, espérer établir
Ull COnipartiiiientagCDe réel et sincère. La file ininterrompue des
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Sontr ement est purement artificiel, et qui, dans le cas présent,
effet représelltés par les limites des groupes. On observe, en
des requemment, que des Palmiers voisins des extrêmes
SUivoroupes se classent tantôt dans le précédent, tantôt dans le
Su'vant '1 S obéissent aux variations saisonnières. Aussi,
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l' s ab d
plUg on antes sur les formes du premier groupe les plus
lSIUes d d
vois' CS du deuxième groupe et sur celles du deuxième groupe,
c'esj. -dire sur les Palmiers dont la coque oscille autour de 20.
SUffiJt la recherche du type 60-20-20, qui ne s'est présentée avec
arnrne t d, 1
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Les elassifications botaniques ne pouvaient donner d'indi-
co'nPlé,-nentaires ; elles sont soumises aux mêmes défauts
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tout eren ne paraissent pas avoir la fixité qui en ferait
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cl'u le évolution continue et ne constituent, par suite, que des
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Heeu .Us ^es Palmiers étudiés appartiennent à 1' « Elœis gui-
* JAUQ., sous espèce « nigrescens » A. CHEV., dans son
eh apelet ininterrompu de formes allant du type primitif au type
PartK n°carpic[ue absolu.
l'a sous-espèce « virescens », qui présente les mêmes échelon-
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