Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1928-10-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 octobre 1928 01 octobre 1928
Description : 1928/10/01 (A21,N237)-1928/10/31. 1928/10/01 (A21,N237)-1928/10/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6473502k
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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- .......... Page(s) .......... 1107
- .......... Page(s) .......... 1108
ÉTUDES GÉNÉRALES 1035
L expérience montre que le diamètre aplati véritable s'obtient
en divisant le diamètre mercerisé par 0,8.
D Mais il s'agit de connaître l'épaisseur des parois de ce cylindre.
6Ux cotons, de même diamètre originel peuvent avoir, l'un, des
irois épaissies, l'autre, des parois minces ; le premier est lourd
0 deuxième est léger.
Cette épaisseur de parois se mesure par la pesée du centimètre
Jan de la fibre. Un faisceau de fibres étant tendu, on en
tl'anch-e le centimètre médian, à l'aide de deux lames de rasoirs
acees de 10 mm. exactement. On compte un certain nombre de
Ces bouts de 1 cm., selon la précision de la balance employée,
l~t 0q Pèse ainsi une longueur connue de fibre.
On déduit :
Le poids de dix mètres de fibres ;
Le numéro de fibre. Nm ;
ét La surface de matière à la section, la densité de la cellulose
de 1,5.
d'autre part, on construit un cercle sur le diamètre aplati,
d ppellera coefficient de maturation, le rapport entre la surface
de matière et la surface du cercle construit sur ce grand diamètre.
l Autrement dit, un coton parfaitement nourri, presque circu-
paIre, remplirait ce cercle, tandis qu'un coton sans maturation, à
pa 0,8 minces, simple ruban aplati, n'en occupera qu'une faible
l ortion. Ce coefficient si important, dont dépendent la ténacité,
et rI lagc, l'élasticité, le lustre, les déchets, évolue entre 36 p. 100
1 60 p. 100. On peut dire que de 36 à 40, il indique un coton
Qaut'
r QlS, de 41 à 45, un coton médiocre ou passable, de 46 à 50,
d ez bon, de 51 à 55, bon, de 56 à 60, très bon. La détermination
Ce coefficient est un des points essentiels de la nouvelle
ethode.
111. — Ténacité.
4 On cherche, comme toujours, la ténacité de la fibre indivi-
Uelle 1-lierche, comme toujours, la ténal-ité, de la flbre indivi-
1 >soit Fg. On en tire la longueur de rupture, en kilomètres,
Ct gUeur de fibre, supposée continue, provoquant la rupture de
te fibre sous son propre poids :
lO.ila densité du coton étant 1,5, on en déduit la résistance au
lb.etre carré, en kilogrammes :
R = Ld
Bull. 23 37
L expérience montre que le diamètre aplati véritable s'obtient
en divisant le diamètre mercerisé par 0,8.
D Mais il s'agit de connaître l'épaisseur des parois de ce cylindre.
6Ux cotons, de même diamètre originel peuvent avoir, l'un, des
irois épaissies, l'autre, des parois minces ; le premier est lourd
0 deuxième est léger.
Cette épaisseur de parois se mesure par la pesée du centimètre
Jan de la fibre. Un faisceau de fibres étant tendu, on en
tl'anch-e le centimètre médian, à l'aide de deux lames de rasoirs
acees de 10 mm. exactement. On compte un certain nombre de
Ces bouts de 1 cm., selon la précision de la balance employée,
l~t 0q Pèse ainsi une longueur connue de fibre.
On déduit :
Le poids de dix mètres de fibres ;
Le numéro de fibre. Nm ;
ét La surface de matière à la section, la densité de la cellulose
de 1,5.
d'autre part, on construit un cercle sur le diamètre aplati,
d ppellera coefficient de maturation, le rapport entre la surface
de matière et la surface du cercle construit sur ce grand diamètre.
l Autrement dit, un coton parfaitement nourri, presque circu-
paIre, remplirait ce cercle, tandis qu'un coton sans maturation, à
pa 0,8 minces, simple ruban aplati, n'en occupera qu'une faible
l ortion. Ce coefficient si important, dont dépendent la ténacité,
et rI lagc, l'élasticité, le lustre, les déchets, évolue entre 36 p. 100
1 60 p. 100. On peut dire que de 36 à 40, il indique un coton
Qaut'
r QlS, de 41 à 45, un coton médiocre ou passable, de 46 à 50,
d ez bon, de 51 à 55, bon, de 56 à 60, très bon. La détermination
Ce coefficient est un des points essentiels de la nouvelle
ethode.
111. — Ténacité.
4 On cherche, comme toujours, la ténacité de la fibre indivi-
Uelle 1-lierche, comme toujours, la ténal-ité, de la flbre indivi-
1 >soit Fg. On en tire la longueur de rupture, en kilomètres,
Ct gUeur de fibre, supposée continue, provoquant la rupture de
te fibre sous son propre poids :
lO.ila densité du coton étant 1,5, on en déduit la résistance au
lb.etre carré, en kilogrammes :
R = Ld
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