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- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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INFORMATIONS 411
4° Un corps de soixante-huit agronomes, chargés de diriger
les stations expérimentales, de visiter les cultures des indigènes
de donner des conseils pour l'amélioration. des cultures et des
élevages, de distribuer des semences de plantes nouvelles ou de
variétés améliorées ;
5° Deux stations pour la sélection des graines de plantes
alimentaires ou industrielles (maïs, riz, coton, etc.) ;
6° Un corps de huit médecins-vétérinaires, chargés de la
surveillance de l'hygiène des animaux domestiques et des abat-
toirs des villes ;
7° Des laboratoires et services d'études scientifiques agricoles:
a) Un laboratoire de bactériologie vétérinaire, actuellement
etabli provisoirement à Kisenyi. sur le lac Kivu ;
b) Un laboratoire vétérinaire en création, près de Kilo;
c) Deux laboratoires d'analyses agricoles et commerciales, à
BOUla et Elisabethville ;
d) Trois entomologistes, chargés de l'étude des insectes nui-
sibles ;
e) Un mycologiste, étudiant les champignons nuisibles ;
8° Un chef des services agricoles à Boma et quatre agronomes
provinciaux, dirigeant les services agricoles des provinces ;
s' 9 A Bruxelles, une direction de l'agriculture (7, rue Théré-
lenne), chargée de donner des renseignements relalifs à l'agri-
ulture -de la colonie et de la publication du Bulletin agricole du
Ongo belge.
Les maladies du cacaoyer à la Gold Coast.
C l Nos lecteurs savent quel prodigieux développement a pris la
tre du cacaoyer, à la Gold Coast, grâce à la ténacité de l'ad-
l'a nlstration locale qui a employé le meilleur procédé : encou-
va 1* la petite culture indigène. Si d'excellents résultats ont été
rus* obtenus, la contre-partie existe maintenant. L'autochtone
qui a. beaucoup planté dans l'espoir, réalisé, d'une bonne rému-
°û> suit mal, ou même pas du tout, les conseils des services
th les, quand il s'agit de défendre ses cultures contre les
a es qui gagnent depuis quelques années.
à Cette question a été agitée à la conférence mycologique, tenue
ndres, en juillet dernier.
mi les maladies les plus graves du cacaoyer sévissant en
G.1 COast, il y a lieu de citer la « Trachysphara fructigena » et
4° Un corps de soixante-huit agronomes, chargés de diriger
les stations expérimentales, de visiter les cultures des indigènes
de donner des conseils pour l'amélioration. des cultures et des
élevages, de distribuer des semences de plantes nouvelles ou de
variétés améliorées ;
5° Deux stations pour la sélection des graines de plantes
alimentaires ou industrielles (maïs, riz, coton, etc.) ;
6° Un corps de huit médecins-vétérinaires, chargés de la
surveillance de l'hygiène des animaux domestiques et des abat-
toirs des villes ;
7° Des laboratoires et services d'études scientifiques agricoles:
a) Un laboratoire de bactériologie vétérinaire, actuellement
etabli provisoirement à Kisenyi. sur le lac Kivu ;
b) Un laboratoire vétérinaire en création, près de Kilo;
c) Deux laboratoires d'analyses agricoles et commerciales, à
BOUla et Elisabethville ;
d) Trois entomologistes, chargés de l'étude des insectes nui-
sibles ;
e) Un mycologiste, étudiant les champignons nuisibles ;
8° Un chef des services agricoles à Boma et quatre agronomes
provinciaux, dirigeant les services agricoles des provinces ;
s' 9 A Bruxelles, une direction de l'agriculture (7, rue Théré-
lenne), chargée de donner des renseignements relalifs à l'agri-
ulture -de la colonie et de la publication du Bulletin agricole du
Ongo belge.
Les maladies du cacaoyer à la Gold Coast.
C l Nos lecteurs savent quel prodigieux développement a pris la
tre du cacaoyer, à la Gold Coast, grâce à la ténacité de l'ad-
l'a nlstration locale qui a employé le meilleur procédé : encou-
va 1* la petite culture indigène. Si d'excellents résultats ont été
rus* obtenus, la contre-partie existe maintenant. L'autochtone
qui a. beaucoup planté dans l'espoir, réalisé, d'une bonne rému-
°û> suit mal, ou même pas du tout, les conseils des services
th les, quand il s'agit de défendre ses cultures contre les
a es qui gagnent depuis quelques années.
à Cette question a été agitée à la conférence mycologique, tenue
ndres, en juillet dernier.
mi les maladies les plus graves du cacaoyer sévissant en
G.1 COast, il y a lieu de citer la « Trachysphara fructigena » et
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