Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies

Presse et revues

94 pages

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SOMMAIRE
- Influence de divers facteurs: époque de la récolte, irrigation, recépage, sur la qualité des fibres du cotonnier, par F. HEIM DE BALSAC et MIÈGE
  .......... Page(s) .......... 93
- La culture du cotonnier dans l'Inde britannique. - La production dans les diverses régions, par Ray.-C.-P. BOONE
  .......... Page(s) .......... 105
- La production cotonnière dans les Colonies françaises. Etat actuel et chances d'avenir de la culture du coton au Cambodge, par HEIM DE BALSAC et SIBERT
  .......... Page(s) .......... 145
- EXTRAITS ET ANALYSES
  - Biologie des cotonniers,
    .......... Page(s) .......... 159
  - Sélection,
    .......... Page(s) .......... 160
  - Maladies cryptogamiques,
    .......... Page(s) .......... 160
  - Insectes nuisibles,
    .......... Page(s) .......... 163
  - Sol, engrais,
    .......... Page(s) .......... 167
  - Méthodes culturales,
    .......... Page(s) .......... 168
  - Récolte,
    .......... Page(s) .......... 168
  - Stations expérimentales et fermes,
    .......... Page(s) .......... 169
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
  - Standards du coton
    .......... Page(s) .......... 179
  - Culture et production dans les divers pays cotonniers
    .......... Page(s) .......... 181

EXTHA1TS ET ANALYSES 165

était la Thrips Tabaci LIND. Les jeunes plantes souffrent beaucoup de
ses attaques, mais peuvent aisément les surmonter, la plus légère amé-
lioration des éléments nutritifs du sol augmente considérablement le
pouvoir de résistance de la plante. L'auteur recommande les amélio-
rations culturales du cotonnier plutôt que la lutte directe contre les
Thrips.

L'invasion de Tetranychus telarius affaiblit gravement les plants,
mais des expériences, dont les résultats sont donnés, montrent que cer-
taines variétés de cotonniers sont plus résistantes que d'autres, et que
les engrais chimiques augmentent considérablement la récolte. Le
meilleur moyen de protéger le coton serait de cultiver des variétés
résistantes et de développer l'usage des engrais, car la rapide repro-
duction des acariens rend inefficaces les mesures directes prises contre
elles.

Quand, cependant, la culture convenable a été négligée, on re-
commande d'arroser les fleurs avec du soufre, au taux d'environ
14 kg. 528 pour 40 ares; il tue environ 50 des acariens, tandis
qu'aux taux de 145 kg. ils assure la destruction complète. Le meilleur
moment pour le traitement est avant 9 heures du matin et après 5 heures
du soir.

Pour prévenir la migration de l'Aphis Gossypii du coton aux
champs voisins de courges, ces derniers devraient être arrosés d'une
solution de savon, ou de savon et de nicotine, ou de préférence de
nicotine et de chaux fraîchement éteinte.

V. YAKHOUTOV. — The cotton cicada. (La cigale du coton.)
En russe. Khlop. Delo., VIII, 7. Moscou 1929.

Résumé des observations sur Cicadata ochreata MEL, qui a causé
un tort considérable au coton à Bokhara, durant ces deux ou trois
dernières années. La distribution de cette cicadide dans la région est
indiquée et tous ses stades sont décrits. Le seul dommage causé au
coton vient du fait des piqûres causées par la ponte des œufs puisque
les larves et les adultes se nourrissent sur d'autres plantes. La ponte
des œufs commence environ 15 jours après la sortie des adultes. Quel-
quefois 52 piqûres profondes apparaissent sur la tige d'une plante de
coton, probablement faites par différentes femelles; on vit certains
individus faire de 11 à 14 piqûres successives. La femelle dépose 10 à

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