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- SOMMAIRE
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- EXTRAITS ET ANALYSES
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- NOTES ECONOMIQUES
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
EXTRAITS ET ANALYSES 151
Chancre du collet. — Provoqué par Neacosmospora vasinfecta
et se manifestant par une fanaison rapide de la plante et la formation
d'un chancre brunâtre au collet. Ce même parasite aurait une action
plus grave lorsqu'il infecte les capsules après piqûres des Dysdercus.
Ce rapport est complété par diverses considérations sur l'état des
cultures dans ces régions. La négligence des travailleurs indigènes serait
la cause de la dégénérescence des cotonniers et du développement des
parasites. La désinfection des graines se montre insuffisante, 1 emploi
de la chloropicrine (30 gr. par m,f) ou de l'acide sulfurique à 640 Bé
est nettement conseillé.
lNSEC TES NUISIBLES.
O. EDDY. — Cotton flea hopper studies of 1927 and 1928.
(Etudes sur le « flea hopper » du cotonnier en 1927 et 1928.)
South Curolina Sta. Bul. 1928, 18 p.
Les premiers dégâts dans cet Etat se sont manifestés en 1924 et
se sont accrus depuis, surtout en 1926.
Un résumé est donné de la biologie du « flea hopper » (Psallus
seriatus). L'emploi du soufre pour le détruire est recommandé. On
associe cette lutte à celle du charançon (boll weevil) en mélangeant
deux livres de soufre pour une d'arséniate de calcium.
H. AIRLIE TAVARES. — A broca do algodào. (Un insecte
mineur du cotonnier au Brésil.) Revista de Agricultura, II, 2-3,
1927, p. 1-3. Piracicaba, Brésil.
Il s'agit d'un mineur de la racine (Gasterocercodes gossypii) dont
l'action s'étend de plus en plus depuis quelques années. Il y a lieu
de croire que ce parasite a été introduit en même temps que le coton-
nier « Caravonica » importé d'Australie, vers 1910.
La larve creuse des galeries dans les racines, ce qui est particulière-
ment grave sur les jeunes plants. La plante entière est alors détruite.
On estime les dégâts à 30 et pouvant atteindre 70 L'arrachage
et la combustion des pieds atteints, pas plus que l'emploi des insecti-
Chancre du collet. — Provoqué par Neacosmospora vasinfecta
et se manifestant par une fanaison rapide de la plante et la formation
d'un chancre brunâtre au collet. Ce même parasite aurait une action
plus grave lorsqu'il infecte les capsules après piqûres des Dysdercus.
Ce rapport est complété par diverses considérations sur l'état des
cultures dans ces régions. La négligence des travailleurs indigènes serait
la cause de la dégénérescence des cotonniers et du développement des
parasites. La désinfection des graines se montre insuffisante, 1 emploi
de la chloropicrine (30 gr. par m,f) ou de l'acide sulfurique à 640 Bé
est nettement conseillé.
lNSEC TES NUISIBLES.
O. EDDY. — Cotton flea hopper studies of 1927 and 1928.
(Etudes sur le « flea hopper » du cotonnier en 1927 et 1928.)
South Curolina Sta. Bul. 1928, 18 p.
Les premiers dégâts dans cet Etat se sont manifestés en 1924 et
se sont accrus depuis, surtout en 1926.
Un résumé est donné de la biologie du « flea hopper » (Psallus
seriatus). L'emploi du soufre pour le détruire est recommandé. On
associe cette lutte à celle du charançon (boll weevil) en mélangeant
deux livres de soufre pour une d'arséniate de calcium.
H. AIRLIE TAVARES. — A broca do algodào. (Un insecte
mineur du cotonnier au Brésil.) Revista de Agricultura, II, 2-3,
1927, p. 1-3. Piracicaba, Brésil.
Il s'agit d'un mineur de la racine (Gasterocercodes gossypii) dont
l'action s'étend de plus en plus depuis quelques années. Il y a lieu
de croire que ce parasite a été introduit en même temps que le coton-
nier « Caravonica » importé d'Australie, vers 1910.
La larve creuse des galeries dans les racines, ce qui est particulière-
ment grave sur les jeunes plants. La plante entière est alors détruite.
On estime les dégâts à 30 et pouvant atteindre 70 L'arrachage
et la combustion des pieds atteints, pas plus que l'emploi des insecti-
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