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- TRAVAUX DE LA SECTION DES COTONS
- NOTES ECONOMIQUES
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
EXTHAITS KT ANALYSES .]!)
marque que la longueur du lint, qui peut être constante pour certaines
variétés cultivées dans des conditions agrologiques différentes, est par-
fois très différente dans certaines années et constante à d'autres.
'■ James TuRNER. — The foundation of yarn-strength and yarn-
extension. (La base de la résistance et de l'élasticité des filés.) Indian
Central Cotton Committee, Bombay, bul. n° 12, se n° 7, mars 1928.
La rupture des fils se produit soit par rupture des fibres ou par
glissement de celles-ci. Ce mémoire étudie ces deux causes et envisage
les raisons diverses qui modifient la résistance des fils indépendam-
ment de la résistance propre des fibres.
CULTURE ET PRODUCTION DANS LES DIVERS PAYS
COTONNIERS.
A. STOCKDALE. — Cotton in Ceylan. (La culture cotonnière
dans l'île de Ceylan.) The Emp. Cotton Grow. Rev., vol. VI, n° 2,
avril 1929, pp. 101-108.
La culture cotonnière avait été entreprise dans les régions nord et
ouest de l'île, où elle fut compromise par l'irrégularité pluviométrique
et les invasions parasitaires.
C'est dans le sud, dans le district d'Hambantota à Ambalantota,
qu'une Station expérimentale fut créée en 1921. La chute des pluies
de septembre à février inclus a été de 500 m/m. à 900 m/m. pour
ces sept dernières années. Une seule cueillette est faite de mars à
avril.
De nombreuses variétés de diverses origines ont été mises en cul-
ture, mais les rendements décroissent considérablement les années sui-
vantes. La variété « Ambodia » est la plus commune. L'attention a
été retenue par les variétés hâtives de « Durango » que l'on cherche
à sélectionner, surtout en vue de la résistance à la Jasside; on lutte
avec du vert de Paris contre Cosmophila erosa.
Pour les essais d'assolement, voir cette rubrique.
Le rendement brut est de 185 à 900 kilos à l'hectare en culture
indigène. -
marque que la longueur du lint, qui peut être constante pour certaines
variétés cultivées dans des conditions agrologiques différentes, est par-
fois très différente dans certaines années et constante à d'autres.
'■ James TuRNER. — The foundation of yarn-strength and yarn-
extension. (La base de la résistance et de l'élasticité des filés.) Indian
Central Cotton Committee, Bombay, bul. n° 12, se n° 7, mars 1928.
La rupture des fils se produit soit par rupture des fibres ou par
glissement de celles-ci. Ce mémoire étudie ces deux causes et envisage
les raisons diverses qui modifient la résistance des fils indépendam-
ment de la résistance propre des fibres.
CULTURE ET PRODUCTION DANS LES DIVERS PAYS
COTONNIERS.
A. STOCKDALE. — Cotton in Ceylan. (La culture cotonnière
dans l'île de Ceylan.) The Emp. Cotton Grow. Rev., vol. VI, n° 2,
avril 1929, pp. 101-108.
La culture cotonnière avait été entreprise dans les régions nord et
ouest de l'île, où elle fut compromise par l'irrégularité pluviométrique
et les invasions parasitaires.
C'est dans le sud, dans le district d'Hambantota à Ambalantota,
qu'une Station expérimentale fut créée en 1921. La chute des pluies
de septembre à février inclus a été de 500 m/m. à 900 m/m. pour
ces sept dernières années. Une seule cueillette est faite de mars à
avril.
De nombreuses variétés de diverses origines ont été mises en cul-
ture, mais les rendements décroissent considérablement les années sui-
vantes. La variété « Ambodia » est la plus commune. L'attention a
été retenue par les variétés hâtives de « Durango » que l'on cherche
à sélectionner, surtout en vue de la résistance à la Jasside; on lutte
avec du vert de Paris contre Cosmophila erosa.
Pour les essais d'assolement, voir cette rubrique.
Le rendement brut est de 185 à 900 kilos à l'hectare en culture
indigène. -
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