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- EXTRAITS ET ANALYSES
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- TRAVAUX DE LA SECTION DES COTONS
- NOTES ECONOMIQUES
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
KXTHAITS ET ANALYSES 37
cotonnier se fanaient peu de temps après leur floraison, en raison de
l'absence de déhiscence des anthères, causant ainsi une non-féconda-
tion de la fleur.
On avait attribué ceci à un excès d'humidité de l'atmosphère, ce
qui ne semble pas devoir être, puisque la floraison des cotonniers a lieu
normalement en période humide, et que des anthères mises expéri-
mentalement dans une atmosphère sèche ne s'ouvrent pas.
L'examen du pollen, provenant d'anthères ne s'ouvrant pas na-
turellement, montre chez celui-ci un aspect anormal de développement
insuffisant.
L'Auteur pense pouvoir attribuer à cet arrêt dans la croissance
des grains de pollen la non-déhiscence des anthères du cotonnier, celle-
ci devant alors se produire par pression du pollen normalement consti-
tué.
SELECTION.
;¡.:(.:{. — Metholds of selfing cotton flowers. (Moyens d'assurer
l'autofécondation des fleurs de cotonnier.) The Emp. Cotton Grow.
Rev., vol. VI, n" 1, janv. 1929, pp. 44-49.
Une enquête a été faite par l'« Empire Cotton Growing Corpo-
ration » auprès des Stations expérimentales pour déterminer les diffé-
rents procédés employés pour assurer l'autofécondation des fleurs de
cotonnier.
On peut lier l'extrémité du bouton floral avec un fil fin, un fil
de fer ou de laine. En Rhodésie, on pince les pétales avec un petit
ressort; au Nyassaland, on plonge le bouton floral dans une gomme à
dessication rapide; ce procédé a l'avantage d'être économique et de
ne pas blesser la plante.
Un fil de cuivre en spirale peut être fixé sur le bouton et retenu
avec un fil. On peut aussi coudre les pétales avec un fil et une aiguille.
Enfin, on peut ensacher dans des sacs de papier ou de gaze que l'on
serre avec un fil d'aluminium. Ce procédé plus onéreux est cependant
Préférable, lorsque les indigènes sont très inhabiles.
cotonnier se fanaient peu de temps après leur floraison, en raison de
l'absence de déhiscence des anthères, causant ainsi une non-féconda-
tion de la fleur.
On avait attribué ceci à un excès d'humidité de l'atmosphère, ce
qui ne semble pas devoir être, puisque la floraison des cotonniers a lieu
normalement en période humide, et que des anthères mises expéri-
mentalement dans une atmosphère sèche ne s'ouvrent pas.
L'examen du pollen, provenant d'anthères ne s'ouvrant pas na-
turellement, montre chez celui-ci un aspect anormal de développement
insuffisant.
L'Auteur pense pouvoir attribuer à cet arrêt dans la croissance
des grains de pollen la non-déhiscence des anthères du cotonnier, celle-
ci devant alors se produire par pression du pollen normalement consti-
tué.
SELECTION.
;¡.:(.:{. — Metholds of selfing cotton flowers. (Moyens d'assurer
l'autofécondation des fleurs de cotonnier.) The Emp. Cotton Grow.
Rev., vol. VI, n" 1, janv. 1929, pp. 44-49.
Une enquête a été faite par l'« Empire Cotton Growing Corpo-
ration » auprès des Stations expérimentales pour déterminer les diffé-
rents procédés employés pour assurer l'autofécondation des fleurs de
cotonnier.
On peut lier l'extrémité du bouton floral avec un fil fin, un fil
de fer ou de laine. En Rhodésie, on pince les pétales avec un petit
ressort; au Nyassaland, on plonge le bouton floral dans une gomme à
dessication rapide; ce procédé a l'avantage d'être économique et de
ne pas blesser la plante.
Un fil de cuivre en spirale peut être fixé sur le bouton et retenu
avec un fil. On peut aussi coudre les pétales avec un fil et une aiguille.
Enfin, on peut ensacher dans des sacs de papier ou de gaze que l'on
serre avec un fil d'aluminium. Ce procédé plus onéreux est cependant
Préférable, lorsque les indigènes sont très inhabiles.
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