blissement de Pondichéry d'une ligne de courant à haute tension destinée à permettre aux communes de s'assurer le courant électrique dans des conditions à déterminer.
Si ce projet aboutissait, non seulement les communes avoisi- nantes pourraient être éclairées électriquement, mais les syndicats agricoles et les cultivateurs auraient la possibilité d'améliorer l'irrigation de leurs terres dans des conditions de rendement et de prix dont ils ne se doutent guère et qu'ils apprécieraient vite.
Avec une installation suffisante et bien comprise, on distri- buerait le courant à Villenour, Bahour, etc., voire, j'en ai acquis la certitude, à Cuddalore.
Le projet soumis à vos délibérations sommeille du fait même que celui de la Municipalité de Pondichéry est en suspens.
Je vais me renseigner, et si la défaillance de la Société d'élec- trification industrielle est définitive je prendrai toutes dispositions pour, d'accord avec vous, arriver au résultat que nous désirons tous.
L'amélioration de l'irrigation des terres au moyen d'électro- pompes m'amène à vous parler de l'irrigation elle-même.
Vous savez mieux que moi, parce que vous les connaissez et que vous vous y intéressez depuis plus longtemps, que nos Eta- blissements du sud de l'Inde sont essentiellement agricoles et que pour obtenir une production nécessaire à l'alimentation et aux frais de l'existence des habitants, il est indispensable que les terres soient suffisamment et convenablement irriguées.
Cette question a attiré et retenu tout particulièrement mon attention. C'est pourquoi j'ai envisagé la venue ici d'un Ingénieur de l'hydraulique agricole, qui étudiera et nous permettra de réaliser une irrigation rationnelle qui s'impose et qui sera profi- table à tous les intéressés, partant au pays lui-même.
Dans sa séance du 27 octobre dernier, la Chambre d'agri- culture a rappelé la nécessité d'avoir un vétérinaire le plus rapi- dement possible. Je partage d'autant plus sa manière de voir que j'ai été surpris de constater l'absence d'un tel praticien dans un pays où bovins, ovins et caprins sont si nombreux.
Un premier étudiant avait été envoyé à Madras pour y suivre des cours spéciaux. Il en est revenu sans avoir fréquenté l'école très longtemps. Un autre étudiant vient de le remplacer. Il est à souhaiter que cette seconde expérience ne soit pas aussi déce- vante que la première.
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.63%.
Facebook
Twitter