Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1928-07-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3487 Nombre total de vues : 3487
Description : 01 juillet 1928 01 juillet 1928
Description : 1928/07/01 (FASC2,VOL3)-1928/07/31. 1928/07/01 (FASC2,VOL3)-1928/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64605150
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 105
- .......... Page(s) .......... 120
- .......... Page(s) .......... 129
- EXTRAITS ET ANALYSES
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 138
- .......... Page(s) .......... 139
- .......... Page(s) .......... 140
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 144
- .......... Page(s) .......... 146
- .......... Page(s) .......... 147
- .......... Page(s) .......... 149
- .......... Page(s) .......... 150
- .......... Page(s) .......... 154
- .......... Page(s) .......... 156
- TRAVAUX DE LA SECTION DES COTONS
- NOTES ECONOMIQUES
- .......... Page(s) .......... 187
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
- .......... Page(s) .......... 199
LA « JOUBNIII-E DU COTON » A 101*
Des observations du plus haut intérêt ont été exposées
Par M. DUCELLIER, professeur à l'Institut agricole de Mai-
son-Carrée, sur le mode de fructification du cotonnier et la
distinction entre les rameaux végétatifs et les rameaux à fruits
de cette malvacée. S'appuyant sur les constatations qu'il a
faites, M. DUCELLIER a tiré les conclusions suivantes : en
raison des difficultés d'appliquer, en temps opportun, l'ébour-
geonnage, le pinçage et parfois l'écimage du cotonnier, la
Meilleure méthode à appliquer pour limiter, dans la mesure
désirable, la végétation du cotonnier d'Egypte, consiste à
réduire l'écartement des pieds sur la ligne, afin de n 'obtenir
que des plantes à tige unique ou ne présentant qu'un nombre
hmité de rameaux végétatifs.
Une des questions d'ordre cultural ayant provoqué une
discussion d'une certaine ampleur a été celle du recépage
du cotonnier. Ainsi que l'a rappelé le distingué rapporteur,
M. E. MIÈGE, le recépage est une pratique déjà ancienne
qui a été adoptée, puis abandonnée dans la plupart des pays
de grande culture cotonnière.
Dans l'Afrique du Nord, le recépage est effectué en
général à la fin de l'hiver, peu de temps avant le départ de
la végétation. La tige principale de la plante est coupée de
10 a 20 centimètres au-dessus du sol.
Techniciens et praticiens ont tous été d'accord pour dé-
conseiller le recépage dans les régions à climat humide, où
des gelées peuvent avoir lieu au printemps, ainsi que dans les
terres compactes, à sous-sol peu perméable, dans lesquelles
de nombreux pieds se dessèchent complètement peu après le
recépage.
Au sujet de la multiplication des parasites du cotonnier,
M. MIÈGE a rappelé que plusieurs pays, entre autres
l'Egypte, une partie des Etats-Unis, le Nyassaland, ont
Prohibé rigoureusement le recépage en vue de limiter la mul-
hplication de ces parasites. Il n'a pas été prouvé jusqu'à pré-
sent, en Algérie et au Maroc, que les cultures de cotonnier
fecépées aient été plus atteintes par la chenille de l'Earias
lnsulana ou la punaise (Oxpcarenus) que les semis de l'année.
Des observations du plus haut intérêt ont été exposées
Par M. DUCELLIER, professeur à l'Institut agricole de Mai-
son-Carrée, sur le mode de fructification du cotonnier et la
distinction entre les rameaux végétatifs et les rameaux à fruits
de cette malvacée. S'appuyant sur les constatations qu'il a
faites, M. DUCELLIER a tiré les conclusions suivantes : en
raison des difficultés d'appliquer, en temps opportun, l'ébour-
geonnage, le pinçage et parfois l'écimage du cotonnier, la
Meilleure méthode à appliquer pour limiter, dans la mesure
désirable, la végétation du cotonnier d'Egypte, consiste à
réduire l'écartement des pieds sur la ligne, afin de n 'obtenir
que des plantes à tige unique ou ne présentant qu'un nombre
hmité de rameaux végétatifs.
Une des questions d'ordre cultural ayant provoqué une
discussion d'une certaine ampleur a été celle du recépage
du cotonnier. Ainsi que l'a rappelé le distingué rapporteur,
M. E. MIÈGE, le recépage est une pratique déjà ancienne
qui a été adoptée, puis abandonnée dans la plupart des pays
de grande culture cotonnière.
Dans l'Afrique du Nord, le recépage est effectué en
général à la fin de l'hiver, peu de temps avant le départ de
la végétation. La tige principale de la plante est coupée de
10 a 20 centimètres au-dessus du sol.
Techniciens et praticiens ont tous été d'accord pour dé-
conseiller le recépage dans les régions à climat humide, où
des gelées peuvent avoir lieu au printemps, ainsi que dans les
terres compactes, à sous-sol peu perméable, dans lesquelles
de nombreux pieds se dessèchent complètement peu après le
recépage.
Au sujet de la multiplication des parasites du cotonnier,
M. MIÈGE a rappelé que plusieurs pays, entre autres
l'Egypte, une partie des Etats-Unis, le Nyassaland, ont
Prohibé rigoureusement le recépage en vue de limiter la mul-
hplication de ces parasites. Il n'a pas été prouvé jusqu'à pré-
sent, en Algérie et au Maroc, que les cultures de cotonnier
fecépées aient été plus atteintes par la chenille de l'Earias
lnsulana ou la punaise (Oxpcarenus) que les semis de l'année.
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