Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1926-11-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 novembre 1926 01 novembre 1926
Description : 1926/11/01 (FASC3,VOL1)-1926/11/30. 1926/11/01 (FASC3,VOL1)-1926/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460510x
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE
- I.
- .......... Page(s) .......... 168
- .......... Page(s) .......... 172
- .......... Page(s) .......... 180
- .......... Page(s) .......... 191
- .......... Page(s) .......... 191
- .......... Page(s) .......... 193
- .......... Page(s) .......... 195
- .......... Page(s) .......... 198
- .......... Page(s) .......... 200
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- .......... Page(s) .......... 203
- .......... Page(s) .......... 205
- .......... Page(s) .......... 207
- .......... Page(s) .......... 209
- II.
L'INDUSTRIE TEXTILE ET LA PRODUCTION DU COTON 163
ductives des régions actuellement arides et qui, spécialement
à l'égard du coton, permettra seule la production massive
dont a besoin l'industrie française. Enfin, si les quantités de
coton importées de nos colonies sont encore très faibles (moins
de 2 de notre consommation en 1925), elles n'en témoi-
gnent pas moins d'une progression qui ne peut manquer de se
développer encore au cours des prochaines années, en raison
de la faveur croissante dont jouissent auprès des milieux ban-
caires, industriels et gouvernementaux, les sociétés d'achat ou
de culture de coton colonial, qui se multiplient toujours da-
vantage.
Ces constatations sont importantes, et l'expérience ainsi
acquise n'a été rendue possible que par des recherches
Patientes et des efforts considérables; mais elles mettent évi-
rnment en lumière que sous le rapport des réalisations pro-
prement dites et d concours apporté par nos co l onies à
prement dites et du concours apporté par nos co l onies a
approvisionnement de nos filateurs en matière première, nous
sornmes encore à pied d' oeuvre. Il est donc naturel que le
public d d. l,. d.., d r
Public se deman d e si l' in d ustrie cotonnière ne peut pas donner
Une arnpleur nouvelle à la production du coton colonial en
Opérant désormais d'une manière plus directe à une tâche
dont le 'l'" h f
°nt le succès l' intéresse au premier chef.
D Cette question ne se pose pas seulement devant le public.
es Personnalités autorisées de l'industrie cotonnière, ainsi
que * .f l'fi' 1 t
que les organismes corporati fs qualifiés pour la représenter,
ont d'" 1
l'ont déjà placée au premier plan de leurs préoccupations.
l' IS eUe est complexe, délicate, et ne saurait être tranchée
égèrem T ff 1 A
c'. ent. Tout effort encouragé par les principa l es Asso-
à syn d ica l es de l' in d ustrie cotonnière en vue d assurer
ét d groupe important de filateurs le contrôle plus ou moins
£ tçn U d'une Société d'achat ou de culture du coton doit
ré Ussir' Parce que son échec éventuel aurait singu l ièrement
réussir, parce que son échec éventuel aura1 it s1 ngul1'èrement
D1 u de Portée que l' éc h ec d'une entreprise particu l ière et
Prod :aIt les mêmes effets que la propagande à rebours la
Plu d ésastreuse. Or, pour réunir les meilleures chances de
réussite .11' Il
lte' Une pareille tentative ne peut nature l lement pas se
Prod "lre" dans n' Importe quel lieu, à n importe quel moment,
ductives des régions actuellement arides et qui, spécialement
à l'égard du coton, permettra seule la production massive
dont a besoin l'industrie française. Enfin, si les quantités de
coton importées de nos colonies sont encore très faibles (moins
de 2 de notre consommation en 1925), elles n'en témoi-
gnent pas moins d'une progression qui ne peut manquer de se
développer encore au cours des prochaines années, en raison
de la faveur croissante dont jouissent auprès des milieux ban-
caires, industriels et gouvernementaux, les sociétés d'achat ou
de culture de coton colonial, qui se multiplient toujours da-
vantage.
Ces constatations sont importantes, et l'expérience ainsi
acquise n'a été rendue possible que par des recherches
Patientes et des efforts considérables; mais elles mettent évi-
rnment en lumière que sous le rapport des réalisations pro-
prement dites et d concours apporté par nos co l onies à
prement dites et du concours apporté par nos co l onies a
approvisionnement de nos filateurs en matière première, nous
sornmes encore à pied d' oeuvre. Il est donc naturel que le
public d d. l,. d.., d r
Public se deman d e si l' in d ustrie cotonnière ne peut pas donner
Une arnpleur nouvelle à la production du coton colonial en
Opérant désormais d'une manière plus directe à une tâche
dont le 'l'" h f
°nt le succès l' intéresse au premier chef.
D Cette question ne se pose pas seulement devant le public.
es Personnalités autorisées de l'industrie cotonnière, ainsi
que * .f l'fi' 1 t
que les organismes corporati fs qualifiés pour la représenter,
ont d'" 1
l'ont déjà placée au premier plan de leurs préoccupations.
l' IS eUe est complexe, délicate, et ne saurait être tranchée
égèrem T ff 1 A
c'. ent. Tout effort encouragé par les principa l es Asso-
à syn d ica l es de l' in d ustrie cotonnière en vue d assurer
ét d groupe important de filateurs le contrôle plus ou moins
£ tçn U d'une Société d'achat ou de culture du coton doit
ré Ussir' Parce que son échec éventuel aurait singu l ièrement
réussir, parce que son échec éventuel aura1 it s1 ngul1'èrement
D1 u de Portée que l' éc h ec d'une entreprise particu l ière et
Prod :aIt les mêmes effets que la propagande à rebours la
Plu d ésastreuse. Or, pour réunir les meilleures chances de
réussite .11' Il
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Prod "lre" dans n' Importe quel lieu, à n importe quel moment,
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