Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1926-07-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 juillet 1926 01 juillet 1926
Description : 1926/07/01 (FASC2,VOL1)-1926/07/31. 1926/07/01 (FASC2,VOL1)-1926/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64605098
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE
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- .......... Page(s) .......... 159
LA CULTUHK DU COTONNIER EN SVHIE 95
ADAOUY, cherchaient à résoudre le problème posé par l' ap-
htude de la zone côtière à produire du coton.
Dans l'Etat des Alaouites, le Général BILLOTTE qui,
durant qu'il remplissait les fonctions de gouverneur de cet
Etat, exerça une action énergique en faveur du développe-
ment de l'agriculture, fit entreprendre des essais au Centre
Agricole de Bouka, proche de Lattaquieh, et dans un petit
champ d'expérience installé à Djebelé, à quelques kilomètres
au Sud de la capitale de l'Etat des Alaouites.
* Au Centre agricole de Bouka, les essais portèrent prin-
clPalement sur le coton « Baladi ». Les semis furent exé-
cutés à une époque avancée et les plantes, trop abondam-
ment irriguées, développèrent un système foliacé exubérant,
ne donnant que quelques fleurs et quelques capsules qui ne
parvinrent pas à maturité. A proprement parler, les résultats
furent nuls.
A Djebelé, il en fut autrement; diverses variétés, surtout
des variétés égyptiennes, furent essayées et semées en temps
Opportun, dans le courant du mois de mars. Bien que le sol
du champ d'expériences, qui n'était pas d'une grande fertilité,
n ait reçu qu'une préparation peu soignée, les plantes, îrri-
guees sans exagération, se développèrent dans de bonnes
conditions et mûrirent toutes leurs capsules. La récolte ne
fut pesée ni pour chacune des variétés prises séparément, ni
Pour l'ensemble des variétés; mais ce « lapsus », bien que
regrettable, n'avait cependant pas une grande importance,
étant donné le but de l'expérience.
Dans l'Etat du Grand Liban, les essais furent organisés
Par la Direction de l'Agriculture, dans une pépinière dont
elle disposait et qui était située à peu de distance, au Nord,
de 1 embouchure du N. el Kelb; ils portèrent sur sept variétés
égyptiennes, qui furent semées sur des parcelles de terrain
de faible étendue, variant de 9 à 1 70 m2 de superficie.
Quoique semées tardivement — le 23 avril — alors que
SUr la côte les conditions climatériques permettent d'effectuer
les semis dès le début du mois de mars, les graines mises
en terre donnèrent des plantes qui, sous une irrigation modé-
ree, végétèrent normalement et mûrirent entièrement leur ré-
ADAOUY, cherchaient à résoudre le problème posé par l' ap-
htude de la zone côtière à produire du coton.
Dans l'Etat des Alaouites, le Général BILLOTTE qui,
durant qu'il remplissait les fonctions de gouverneur de cet
Etat, exerça une action énergique en faveur du développe-
ment de l'agriculture, fit entreprendre des essais au Centre
Agricole de Bouka, proche de Lattaquieh, et dans un petit
champ d'expérience installé à Djebelé, à quelques kilomètres
au Sud de la capitale de l'Etat des Alaouites.
* Au Centre agricole de Bouka, les essais portèrent prin-
clPalement sur le coton « Baladi ». Les semis furent exé-
cutés à une époque avancée et les plantes, trop abondam-
ment irriguées, développèrent un système foliacé exubérant,
ne donnant que quelques fleurs et quelques capsules qui ne
parvinrent pas à maturité. A proprement parler, les résultats
furent nuls.
A Djebelé, il en fut autrement; diverses variétés, surtout
des variétés égyptiennes, furent essayées et semées en temps
Opportun, dans le courant du mois de mars. Bien que le sol
du champ d'expériences, qui n'était pas d'une grande fertilité,
n ait reçu qu'une préparation peu soignée, les plantes, îrri-
guees sans exagération, se développèrent dans de bonnes
conditions et mûrirent toutes leurs capsules. La récolte ne
fut pesée ni pour chacune des variétés prises séparément, ni
Pour l'ensemble des variétés; mais ce « lapsus », bien que
regrettable, n'avait cependant pas une grande importance,
étant donné le but de l'expérience.
Dans l'Etat du Grand Liban, les essais furent organisés
Par la Direction de l'Agriculture, dans une pépinière dont
elle disposait et qui était située à peu de distance, au Nord,
de 1 embouchure du N. el Kelb; ils portèrent sur sept variétés
égyptiennes, qui furent semées sur des parcelles de terrain
de faible étendue, variant de 9 à 1 70 m2 de superficie.
Quoique semées tardivement — le 23 avril — alors que
SUr la côte les conditions climatériques permettent d'effectuer
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en terre donnèrent des plantes qui, sous une irrigation modé-
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