Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1926-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 avril 1926 01 avril 1926
Description : 1926/04/01 (A19,N214)-1926/04/30. 1926/04/01 (A19,N214)-1926/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460468s
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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576 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
nous demandions à nos colonies de faire l'effort nécessaire pOU:
augmenter leur production dans un laps de temps le plus
possible. Certes, le climat et certaines des terres du Tchad,
Niger, de Tahiti, de Madagascar, du Maroc, etc., sont propree
à la culture du coton; mais* une question préjudicielle se P
qui est celle de la main-d'oeuvre, qu'il faudrait s'attache t
résoudre, en utilisant de plus en plus la traction mécano et
la traction animale, en introduisant dans le pays un mate
culture perfectionné et en favorisant l'élevage et l'empio des
animaux de trait.
En cette matière la question se pose de suite : doit. avoir
recours à la culture indigène ou est-il préférable de fane g
ploitation sur une grande échelle. Il est bien évident que ter-
bien des cas, la culture indigène ne pourra se faire qu eIld'cau
rain sec, en raison de l'éloignement des fleuves ou e ours d'e'd
susceptibles de fournir le volume d'eau nécessaire auX irr, Oa,
tions, généralement fort coûteuses d'ailleurs comme inqtallatioll;
le coton ainsi produit est généralement court et de ep
lité inférieure mais il serait possible cependant de l'ame
distribuant aux indigènes des graines sélectionnées et en (J'ène
quant la politique des engrais. Il faudrait encore que ^in ^é"
ait l'assurance de pouvoir vendre sa récolte à un prix re at¿riel
rateur, payé soit en espèces soit en marchandises, en IUt oove
A se r
agricole notamment, et que le fabricant, de son cote, s'O trouve
en présence d'un produit bien conditionné. laisse
Il convient en conséquence que l'administration jaisse
sortir de la colonie que des cotons qui 3oient conformeS
sortir de la colonie que des cotons qui soient confor
ou l'autre des qualités types déterminées par les intei anisa"
mêmes en accord avec elle. Il y a donc là toute une or anisa,
tion à créer dont doit dépendre en partie le succès de la cU]tuJ"e
indigène. 's daP
L'exploitation en grand peut être adaptée avec sUe d'un
les régions facilement irrigables où elle est suscep
t de Ine
meilleur rendement en cotons à longues soies et de jjjeiire
qualité ; mais la pénurie de main-d'œuvre sera li ont, temps eint Coïe
A 'd Prob ('
la pierre d'achoppement : c'est donc ce côté du pr0 ne qù,1.1i
faut s'attacher à résoudre en tout premier lieu. recours
'b'l't' d'avoIr a
La Section a envisagé un moment la possibilité d av rrecolirS
à la main-d'œuvre chinoise qui, par ailleurs, a donn de Si bons
résultats, avec cet inconvénient cependant, que le
de la main-d'œuvre pour l'étranger se fait gen, ,,ffli
nous demandions à nos colonies de faire l'effort nécessaire pOU:
augmenter leur production dans un laps de temps le plus
possible. Certes, le climat et certaines des terres du Tchad,
Niger, de Tahiti, de Madagascar, du Maroc, etc., sont propree
à la culture du coton; mais* une question préjudicielle se P
qui est celle de la main-d'oeuvre, qu'il faudrait s'attache t
résoudre, en utilisant de plus en plus la traction mécano et
la traction animale, en introduisant dans le pays un mate
culture perfectionné et en favorisant l'élevage et l'empio des
animaux de trait.
En cette matière la question se pose de suite : doit. avoir
recours à la culture indigène ou est-il préférable de fane g
ploitation sur une grande échelle. Il est bien évident que ter-
bien des cas, la culture indigène ne pourra se faire qu eIld'cau
rain sec, en raison de l'éloignement des fleuves ou e ours d'e'd
susceptibles de fournir le volume d'eau nécessaire auX irr, Oa,
tions, généralement fort coûteuses d'ailleurs comme inqtallatioll;
le coton ainsi produit est généralement court et de ep
lité inférieure mais il serait possible cependant de l'ame
distribuant aux indigènes des graines sélectionnées et en (J'ène
quant la politique des engrais. Il faudrait encore que ^in ^é"
ait l'assurance de pouvoir vendre sa récolte à un prix re at¿riel
rateur, payé soit en espèces soit en marchandises, en IUt oove
A se r
agricole notamment, et que le fabricant, de son cote, s'O trouve
en présence d'un produit bien conditionné. laisse
Il convient en conséquence que l'administration jaisse
sortir de la colonie que des cotons qui 3oient conformeS
sortir de la colonie que des cotons qui soient confor
ou l'autre des qualités types déterminées par les intei anisa"
mêmes en accord avec elle. Il y a donc là toute une or anisa,
tion à créer dont doit dépendre en partie le succès de la cU]tuJ"e
indigène. 's daP
L'exploitation en grand peut être adaptée avec sUe d'un
les régions facilement irrigables où elle est suscep
t de Ine
meilleur rendement en cotons à longues soies et de jjjeiire
qualité ; mais la pénurie de main-d'œuvre sera li ont, temps eint Coïe
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la pierre d'achoppement : c'est donc ce côté du pr0 ne qù,1.1i
faut s'attacher à résoudre en tout premier lieu. recours
'b'l't' d'avoIr a
La Section a envisagé un moment la possibilité d av rrecolirS
à la main-d'œuvre chinoise qui, par ailleurs, a donn de Si bons
résultats, avec cet inconvénient cependant, que le
de la main-d'œuvre pour l'étranger se fait gen, ,,ffli
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