Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1926-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 février 1926 01 février 1926
Description : 1926/02/01 (A19,N212)-1926/02/28. 1926/02/01 (A19,N212)-1926/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460466z
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 192
- Informations, Bibliographie, Statistiques, etc. (Voir sommaire détaillé, page 161.)
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
Pages- .......... Page(s) .......... 163
- Informations:
- .......... Page(s) .......... 237
- .......... Page(s) .......... 237
- .......... Page(s) .......... 238
- .......... Page(s) .......... 239
- .......... Page(s) .......... 240
- .......... Page(s) .......... 244
- .......... Page(s) .......... 246
- .......... Page(s) .......... 248
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- .......... Page(s) .......... 250
- .......... Page(s) .......... 251
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- .......... Page(s) .......... 258
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- .......... Page(s) .......... 260
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- .......... Page(s) .......... 269
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- .......... Page(s) .......... 272
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- .......... Page(s) .......... 274
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- .......... Page(s) .......... 277
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- .......... Page(s) .......... 285
- Statistiques. Rapports commerciaux:
INFORMATIONS 257
ton article de M. l'administrateur des Colonies , A. BAUDON, sur « les
cultures vivrières indigènes des régions forestières de l'A. E. F».
Apres avoir énuméré les divers maniocs doux et amers cultivés
Par les indigènes, M. BANDON écrit :
Il est assez difficile de préciser la durée de végétation de ces
divers maniocs ainsi que leur rendement. En effet, au bout de
six mois, neuf mois pour certain, les tubercules sont assez
développés pour être consommés et les indigènes suivant leurs
besoins, attendent plus ou moins longtemps pour les récolter.
Dans tous les prélèvements que nous avons faits, nous avons
trouvé un poids de G à 8 kilos de tubercules par pied, ce qui, en
Panant comme intervalle moyen entre les plants 1 m.30, donne
Un rendement d'environ 25.000 kilos à l'hectare. Si on tient
Compte que le même terrain a porté simultanément environ
• OOObananiers, qu'il adonné soit une récolte de maïs, soit une
rcolte de cucurbitacées, on voit que le rendement de terrains cul-
tivés par des méthodes primitives peut être considéré comme
Satisfaisant. L'énumération sommaire des variétés de manioc culti-
Vees a montré les possibilités que présenterait pour une culture
lllethodique l'adoption de celles plus particulièrement aptes au
but que l'on voudrait' atteindre. Précocité, gros rendements,
UbercUles gros et nombreux, se présentent couramment parmi
l sortes douces, les plus recherchées pour la consommation à
etat frais, alors que ce sont les variétés amères que les indi-
nes Préfèrent pour la dessication et la fabrication de farine.
Nous avons dit que les cultures étaient faites sans soins, elles
6n effet, le plus souvent virtuellement abandonnées lorsque
la egetation des jeunes plantes est assurée ; comme conséquence
e Ce manque d'entretien, le rendement est forcément inférieur
HU il pourrait être. Dans certains terrains particulièrement
nIChes on voit les plants de manioc abandonnés à eux-mêmes,
tr re comme des lianes en s'appuyant aux supports qu'ils
tro Vent et atteindre 5 à 6 mètres, et même plus, de hauteur;
CUI: éVidemment au préjudice du développpement des tuber-
cule s. Le manque de soins dans le choix des boutures n'est pas,
ltl.n.on Plus, sans présenter des inconvénients ; en effet partout,
aie SUr une grande échelle dans certains parages, les plants de
l0C Sont atteints d'une maladie — sorte de frisure des feuilles
gi: décoloration partielle du limbe qui est d'origine physiolo-
cQu e. Cette affection paraît avoir pris une grande extension au
l's de ces dernières années et elle doit retenir l'attention car elle
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ton article de M. l'administrateur des Colonies , A. BAUDON, sur « les
cultures vivrières indigènes des régions forestières de l'A. E. F».
Apres avoir énuméré les divers maniocs doux et amers cultivés
Par les indigènes, M. BANDON écrit :
Il est assez difficile de préciser la durée de végétation de ces
divers maniocs ainsi que leur rendement. En effet, au bout de
six mois, neuf mois pour certain, les tubercules sont assez
développés pour être consommés et les indigènes suivant leurs
besoins, attendent plus ou moins longtemps pour les récolter.
Dans tous les prélèvements que nous avons faits, nous avons
trouvé un poids de G à 8 kilos de tubercules par pied, ce qui, en
Panant comme intervalle moyen entre les plants 1 m.30, donne
Un rendement d'environ 25.000 kilos à l'hectare. Si on tient
Compte que le même terrain a porté simultanément environ
• OOObananiers, qu'il adonné soit une récolte de maïs, soit une
rcolte de cucurbitacées, on voit que le rendement de terrains cul-
tivés par des méthodes primitives peut être considéré comme
Satisfaisant. L'énumération sommaire des variétés de manioc culti-
Vees a montré les possibilités que présenterait pour une culture
lllethodique l'adoption de celles plus particulièrement aptes au
but que l'on voudrait' atteindre. Précocité, gros rendements,
UbercUles gros et nombreux, se présentent couramment parmi
l sortes douces, les plus recherchées pour la consommation à
etat frais, alors que ce sont les variétés amères que les indi-
nes Préfèrent pour la dessication et la fabrication de farine.
Nous avons dit que les cultures étaient faites sans soins, elles
6n effet, le plus souvent virtuellement abandonnées lorsque
la egetation des jeunes plantes est assurée ; comme conséquence
e Ce manque d'entretien, le rendement est forcément inférieur
HU il pourrait être. Dans certains terrains particulièrement
nIChes on voit les plants de manioc abandonnés à eux-mêmes,
tr re comme des lianes en s'appuyant aux supports qu'ils
tro Vent et atteindre 5 à 6 mètres, et même plus, de hauteur;
CUI: éVidemment au préjudice du développpement des tuber-
cule s. Le manque de soins dans le choix des boutures n'est pas,
ltl.n.on Plus, sans présenter des inconvénients ; en effet partout,
aie SUr une grande échelle dans certains parages, les plants de
l0C Sont atteints d'une maladie — sorte de frisure des feuilles
gi: décoloration partielle du limbe qui est d'origine physiolo-
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