ÉTRANGER
Les Industries agricoles à l'Ile Maurice.
Le sort de la colonie anglaise de l'Ile Maurice est indisso-
lublement lié , on le sait, à l'industrie sucrière. Les possibilités
de créer des industries agricoles, autres que la canne, afin de
rendre ce territoire moins dépendant d'une industrie unique, ont
Cependant attiré l'attention de l'Administration locale. Tous les
intérêts de la colonie, indique M. H. A. TEMPANY, Directeur de
"Agriculture à Port-Louis, dans une excellente notice qu'il a
Publiée sur l'île, sont liés à l'industrie sucrière, et il est malaisé
d'éveiller un sentiment réel en faveur des cultures subsidiaires.
JusqU'ici, les seules industries agricoles secondaires, dignes de la
me -
Iïleûtion, sont la Furcroea gigantea connue sous le nom local
d aloès ou fibre de Maurice, la vanille, le coco, le thé, le maïs,
le tabac et les plantes vivrières. De toutes, l'industrie de l'aloès
st de beaucoup la plus importante. La plante est cultivée à très
On compte et, quand les marchés sont favorables, l'industrie fait
excellents profits. Des expériences sont en cours pour démon-
trer si le sisal, cultivé convenablement, est capable de remplacer
rageusement l'aloès. Grâce à l'initiative de sir IIESKEHT BELL,
a Plus grande attention a été, pendant ces dernières années,
donnée à la culture du tabac. Des expériences d'une certaine
ampleur ont été entreprises avec succès; des tentatives sont faites
Ctuellement pour lancer cette industrie sur une petite échelle.
OUr l'instant, l'attention est concentrée sur la production d'un
ac pour le marché local. Il existe aussi une petite industrie
de l'élevage qui a pris des développements pendant ces dernières
nnées en raison des efforts systématiques du Gouvernement pour
t enCOurager, en même temps que des tentatives de quelque impor-
Ce étaient faites, tant par le Gouvernement que par l'initia-
le Privée, pour améliorer les races de vaches laitières et les
ItIOns dans lesquelles le lait est produit.
Les Industries agricoles à l'Ile Maurice.
Le sort de la colonie anglaise de l'Ile Maurice est indisso-
lublement lié , on le sait, à l'industrie sucrière. Les possibilités
de créer des industries agricoles, autres que la canne, afin de
rendre ce territoire moins dépendant d'une industrie unique, ont
Cependant attiré l'attention de l'Administration locale. Tous les
intérêts de la colonie, indique M. H. A. TEMPANY, Directeur de
"Agriculture à Port-Louis, dans une excellente notice qu'il a
Publiée sur l'île, sont liés à l'industrie sucrière, et il est malaisé
d'éveiller un sentiment réel en faveur des cultures subsidiaires.
JusqU'ici, les seules industries agricoles secondaires, dignes de la
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Iïleûtion, sont la Furcroea gigantea connue sous le nom local
d aloès ou fibre de Maurice, la vanille, le coco, le thé, le maïs,
le tabac et les plantes vivrières. De toutes, l'industrie de l'aloès
st de beaucoup la plus importante. La plante est cultivée à très
On compte et, quand les marchés sont favorables, l'industrie fait
excellents profits. Des expériences sont en cours pour démon-
trer si le sisal, cultivé convenablement, est capable de remplacer
rageusement l'aloès. Grâce à l'initiative de sir IIESKEHT BELL,
a Plus grande attention a été, pendant ces dernières années,
donnée à la culture du tabac. Des expériences d'une certaine
ampleur ont été entreprises avec succès; des tentatives sont faites
Ctuellement pour lancer cette industrie sur une petite échelle.
OUr l'instant, l'attention est concentrée sur la production d'un
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