Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1912-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 décembre 1912 31 décembre 1912
Description : 1912/12/31 (A12,N138). 1912/12/31 (A12,N138).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6446837x
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
No 137 — Nov. 1912 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 173
et pour lesquelles nous renvoyons le lecteur à
l'ouvrage lui-même. ]
2504. Sampaio (A. J. de) : Diccionario illustrado
tlas plantas uteis do Brazil. 19 p., 18 fig. Sao
Paulo, 1911. [Ce n'est qu'un court exposé de ce
que sera l'œuvre complète de M. de Sampaio. Il
explique dans ces quelques pages comment il
conçoit ce dictionnaire, et en donne à la fois une
notice et un spécimen. Le plan nous paraît judi-
cieux, les dessins qui montrent la plante avec ses
rameaux, ses feuilles et ses Heurs, ainsi que la
coupe des organes intéressants, sont fort bien
exécutés, et nous ne doutons pas que cet ouvrage
ne rencontre un plein succès auprès des agricul-
teurs et des botanistes. Mentionnons qu'il doit
paraître dans notre confrère Chacarus c Quintacs. J
2505. Hope (G. D.) et Antram (C. B.) : Damage by
beetles in tea cbest woods. — ln-So, 13 p., Cal-
cutta, 1912. Publié par l'Indian Tea Association.
[Des membres de différentes familles d'insectes
attaquent le bois mort ou dépérissant. Ceux qui
détériorent le bois des caisses de thé sont surtout
des coléoptères ; d'autres, qui se rencontrent aussi
dans les caisses attaquées, y sont venus pour vivre
aux dépens des premiers ou pour chercher un
abri. Les bois sont d'autant plus susceptibles d'être
envahis, qu'ils sont réunis en masse plus considé-
rable et qu'ils sont remués moins fréquemment.
Les caisses et planches sont donc plus sérieuse-
ment endommagées pendant leur séjour dans les
scieries ou les factoreries que durant le transport
par voie de fer ou sur les cours d'eau. Les bois
plus tendres sont généralement plus atteints que
les bois durs; il y a lieu pourtant de considérer
une susceptibilité spécifique : le bois de pip, par
exemple, reste relativement indemne ; au contraire,
le Simul (Bombax malabaricum) a beaucoup à
souffrir de dégàts dus aux xylophages. Après
exposition convenable à la pluie et à la chaleur,
les bois sont plus résistants aux attaques de leurs
parasites. A. V.]
2506. Darchicourt (M.) et Renard (Il.) : Un nou-
veau système d'exploitation forestière dans les
contrées intertropicales. In-16, 16 p., 3 fig., Paris,
1912, en vente à « Colonia ». — [Les auteurs pré-
conisent le groupement sur un chaland automo-
teur de tous les appareils nécessaires à l'équar-
rissage des grumes ainsi que les organes- de
manutention, de halage, etc., permettant l'exploi-
tation des forais, sur les rives des cO.l's d'eau, sur
un rayon qui ne dépasse guère 1 km. L'idée est
intéressante, mais ne paraît pas devoir être appli-
cable à toutes les régions. Le système a été conçu
en vue de l'exploitation des forêls de la Guyane, et
pourrait probablement-aussi être essayé dans cer-
taines contrées de l'Afrique. Mais il aurait le grave
inconvénient, du reste prévu par les auteurs, de
pousser au déboisement des rives, et de plus, il
nécessite des cours d'eau navigables pour un cha-
land ayant un tirant d'eau nun négligeable. Eu fin,
les dimensions du chaland nous paraissent malgré
tout un peu exiguës pour pouvoir y grouper tout
le matériel qu'on a en vue. Malgré ces objections,
discutables d'ailleurs, te projet de MM. Darchicourt
et Renard n'est pas sans intérêt. — F. M.J.
2507. Guillochon (L.) : Le Cotonnier en Afrique
du Nord. — In-16, 8 p. (Extrait du Journal de
la Société Nationale d'Horticulture, avril 1912.)
Paris, 1912. [La question du cotonnier en Tunisie
est plus nouvelle qu'en Algérie. Bien que déjà con-
seillée et essayée il y a une douzaine d'années, elle
ne fit l'objet d'une tentative sérieuse qu'en 1906.
En 1911, on peut compter qu'une soixantaine
d'hectares étaient cultivés en coton, mais il ne
s'agissait en réalité que d'essais répartis entre une
vingtaine d'agriculteurs, ayant ensemencé chacun
de 1/2 à 10 hectares. Il est probable que la super-
ficie de 1912 est sensiblement plus importante.
Dans sa brochure, M. Guillochon expose ce que
doit être la culture du cotonnier en Tunisie, où les
variétés à employer sont les variétés Egyptiennes
ou le Mississipi. Il estime que cette culture doit
être encouragée en Tunisie, surtout si l'on consi-
dère qu'il s'agit d'une culture annuelle, qui, comme
telle n'exige pas de mise de fonds importante
devant être abandonnée si les cours venaient à
baisser outre mesure, comme cela s'est présenté
parfois pour la vigne, sans compter que l'on n'est
pas près de voir baisser les cours du coton, si l'on
en juge par l'état du marché depuis quelques
années. ]
2508. Allen (W. J.) : Fruit-drying. —In-8°, 22 p.,
18 fig. Publié comme Farmer's Bulletin n° 52 du
Département of Agriculture of New South Wales.
Sydney, 1911. [Il n'est pas question en réalité du
séchage dans cette intéressante brochure, mais des
précautions à prendre dans la récolte et la prépa-
ration des fruits destinés au séchage pour la con-
servation. Bien qu'il ne s'agisse que de fruits de
régions tempérées, abricots, pêches, raisins,
prunes, etc., nous y trouvons des conseils pré-
cieux ; le matériel dont on doit disposer pour la
récolte et le transport est exposé en détail, puis
on examine les soins qu'on doit apporter au décou-
page des fruits qui ne doivent pas être séchés en
entier. Pour les fruits durs, poires et pommes, on
se sert de machines à peler, qui, aujourd'hui, fonc-
tionnent dans la perfection, et enlèvent la peau et
les pépins, en même temps qu'elles découpeut le
fruit en tranches minces, qui favorisent un séchage
uniforme. Les trempages dans diverses solutions
avant le séchage, qui s'imposent dans certains cas,
sont également mentionnés.]
2509. Griffiths [David) : The thornless pricky
pears. — In-8°, 20 p., 4 fig. Publié comme
Farmcr's Bulletin, n° 483, U. S. Department of
Agriculture. Washington, 1912. [La signature seule
suffirait à attirer l'attention sur cette brochure,
qui expose qu'il n'y a pas à proprement parler
d'espèce sans épines, mais que les individus sans
épines appartiennent plus ou moins à quatre
ou cinq espèces épineuses, dont ils ne sont que
des formes tératologiques, bien qu'à caractère
permanent. Au point de vue de la valeur nu-
tritive, l'auteur ne donne pas de comparaison
entre ces formes et les cactus épineux, ce qui
Voir la suite page 175
et pour lesquelles nous renvoyons le lecteur à
l'ouvrage lui-même. ]
2504. Sampaio (A. J. de) : Diccionario illustrado
tlas plantas uteis do Brazil. 19 p., 18 fig. Sao
Paulo, 1911. [Ce n'est qu'un court exposé de ce
que sera l'œuvre complète de M. de Sampaio. Il
explique dans ces quelques pages comment il
conçoit ce dictionnaire, et en donne à la fois une
notice et un spécimen. Le plan nous paraît judi-
cieux, les dessins qui montrent la plante avec ses
rameaux, ses feuilles et ses Heurs, ainsi que la
coupe des organes intéressants, sont fort bien
exécutés, et nous ne doutons pas que cet ouvrage
ne rencontre un plein succès auprès des agricul-
teurs et des botanistes. Mentionnons qu'il doit
paraître dans notre confrère Chacarus c Quintacs. J
2505. Hope (G. D.) et Antram (C. B.) : Damage by
beetles in tea cbest woods. — ln-So, 13 p., Cal-
cutta, 1912. Publié par l'Indian Tea Association.
[Des membres de différentes familles d'insectes
attaquent le bois mort ou dépérissant. Ceux qui
détériorent le bois des caisses de thé sont surtout
des coléoptères ; d'autres, qui se rencontrent aussi
dans les caisses attaquées, y sont venus pour vivre
aux dépens des premiers ou pour chercher un
abri. Les bois sont d'autant plus susceptibles d'être
envahis, qu'ils sont réunis en masse plus considé-
rable et qu'ils sont remués moins fréquemment.
Les caisses et planches sont donc plus sérieuse-
ment endommagées pendant leur séjour dans les
scieries ou les factoreries que durant le transport
par voie de fer ou sur les cours d'eau. Les bois
plus tendres sont généralement plus atteints que
les bois durs; il y a lieu pourtant de considérer
une susceptibilité spécifique : le bois de pip, par
exemple, reste relativement indemne ; au contraire,
le Simul (Bombax malabaricum) a beaucoup à
souffrir de dégàts dus aux xylophages. Après
exposition convenable à la pluie et à la chaleur,
les bois sont plus résistants aux attaques de leurs
parasites. A. V.]
2506. Darchicourt (M.) et Renard (Il.) : Un nou-
veau système d'exploitation forestière dans les
contrées intertropicales. In-16, 16 p., 3 fig., Paris,
1912, en vente à « Colonia ». — [Les auteurs pré-
conisent le groupement sur un chaland automo-
teur de tous les appareils nécessaires à l'équar-
rissage des grumes ainsi que les organes- de
manutention, de halage, etc., permettant l'exploi-
tation des forais, sur les rives des cO.l's d'eau, sur
un rayon qui ne dépasse guère 1 km. L'idée est
intéressante, mais ne paraît pas devoir être appli-
cable à toutes les régions. Le système a été conçu
en vue de l'exploitation des forêls de la Guyane, et
pourrait probablement-aussi être essayé dans cer-
taines contrées de l'Afrique. Mais il aurait le grave
inconvénient, du reste prévu par les auteurs, de
pousser au déboisement des rives, et de plus, il
nécessite des cours d'eau navigables pour un cha-
land ayant un tirant d'eau nun négligeable. Eu fin,
les dimensions du chaland nous paraissent malgré
tout un peu exiguës pour pouvoir y grouper tout
le matériel qu'on a en vue. Malgré ces objections,
discutables d'ailleurs, te projet de MM. Darchicourt
et Renard n'est pas sans intérêt. — F. M.J.
2507. Guillochon (L.) : Le Cotonnier en Afrique
du Nord. — In-16, 8 p. (Extrait du Journal de
la Société Nationale d'Horticulture, avril 1912.)
Paris, 1912. [La question du cotonnier en Tunisie
est plus nouvelle qu'en Algérie. Bien que déjà con-
seillée et essayée il y a une douzaine d'années, elle
ne fit l'objet d'une tentative sérieuse qu'en 1906.
En 1911, on peut compter qu'une soixantaine
d'hectares étaient cultivés en coton, mais il ne
s'agissait en réalité que d'essais répartis entre une
vingtaine d'agriculteurs, ayant ensemencé chacun
de 1/2 à 10 hectares. Il est probable que la super-
ficie de 1912 est sensiblement plus importante.
Dans sa brochure, M. Guillochon expose ce que
doit être la culture du cotonnier en Tunisie, où les
variétés à employer sont les variétés Egyptiennes
ou le Mississipi. Il estime que cette culture doit
être encouragée en Tunisie, surtout si l'on consi-
dère qu'il s'agit d'une culture annuelle, qui, comme
telle n'exige pas de mise de fonds importante
devant être abandonnée si les cours venaient à
baisser outre mesure, comme cela s'est présenté
parfois pour la vigne, sans compter que l'on n'est
pas près de voir baisser les cours du coton, si l'on
en juge par l'état du marché depuis quelques
années. ]
2508. Allen (W. J.) : Fruit-drying. —In-8°, 22 p.,
18 fig. Publié comme Farmer's Bulletin n° 52 du
Département of Agriculture of New South Wales.
Sydney, 1911. [Il n'est pas question en réalité du
séchage dans cette intéressante brochure, mais des
précautions à prendre dans la récolte et la prépa-
ration des fruits destinés au séchage pour la con-
servation. Bien qu'il ne s'agisse que de fruits de
régions tempérées, abricots, pêches, raisins,
prunes, etc., nous y trouvons des conseils pré-
cieux ; le matériel dont on doit disposer pour la
récolte et le transport est exposé en détail, puis
on examine les soins qu'on doit apporter au décou-
page des fruits qui ne doivent pas être séchés en
entier. Pour les fruits durs, poires et pommes, on
se sert de machines à peler, qui, aujourd'hui, fonc-
tionnent dans la perfection, et enlèvent la peau et
les pépins, en même temps qu'elles découpeut le
fruit en tranches minces, qui favorisent un séchage
uniforme. Les trempages dans diverses solutions
avant le séchage, qui s'imposent dans certains cas,
sont également mentionnés.]
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pears. — In-8°, 20 p., 4 fig. Publié comme
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Agriculture. Washington, 1912. [La signature seule
suffirait à attirer l'attention sur cette brochure,
qui expose qu'il n'y a pas à proprement parler
d'espèce sans épines, mais que les individus sans
épines appartiennent plus ou moins à quatre
ou cinq espèces épineuses, dont ils ne sont que
des formes tératologiques, bien qu'à caractère
permanent. Au point de vue de la valeur nu-
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entre ces formes et les cactus épineux, ce qui
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