Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1912-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 décembre 1912 31 décembre 1912
Description : 1912/12/31 (A12,N138). 1912/12/31 (A12,N138).
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6446837x
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
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Iso 137 - Nov. 1912 JOURNAL D'AGRICULTURE. TROPICALE 163 -
2500. Fullon (II. R-), Wright (W. J.)etGregg
(J. W.) : The Control of Insects and Diseases
affecting horticultural crops. — In-8°, 44 p. Cen-
ter County, 1911. Publié comme Bulletin n° 110 de
la Pennsylvania State College Agricultural Expe-
riment Station. [Le but de ce bulletin est de pré-
senter, sous une forme concise, aux agriculteurs
de l'Etat de Pennsylvanie, des descriptions som-
maires et des indications sur les méthodes de
lutte, en ce qui concerne chacun des principaux
insectes ou cryptogames nuisibles aux arbres frui-
tiers et aux plantes potagères. La place étant res-
treinte pour l'exposé d'un sujet aussi vaste, les
auteurs ont cru devoir réduire au minimum les
descriptions de parasites pour développer davan-
tage l'exposé des traitements. Ils insistent sur ce
fait que les pulvérisations insecticides ou anti-
cryptogamiques fréquemment indiquées onf, en
général, surtout une action préventive et par suite
doivent être pratiquées avant l'apparition du
parasite ou, tout au moins, avant qu'il ait donné
lieu à des dégâts importants. Ces traitements
doivent être complétés, dans beaucoup de cas, par
l'application de méthodes culturales rationnelles
dont l'importance, au point de vue phytopatholo-
liique, doit toujours être présente à l'esprit. A. V.]
2501. Nanot (J.): Almanach des Jardiniers au
xX" siècle. — In-O de 128 pages. Plon-Nourrit,
éditeur. Paris, 1913. [L'éloge de ce manuel d'horti-
culture, qui en est à sa onzième année, n'est plus
à faire. Publié sous la direction d'un de nos maîtres
éminents qui connaissent le mieux les choses de
l'horticulture, il est tous les ans plus intéressant,
tenant ses lecteurs au courant de tous les progrès
de cette branche. Citons en particulier les articles
très documentés sur « le séchage des Pêches pour
les conserves » aux Etats-Unis. — Le Maïs cultivé
cumme légume pour l'alimentation. Comme on le
sait, l'épi de maïs sucré contient une forte propor-
tion de substance assimilable, et les indigènes des
pays chauds le font entrer comme base de leur
nourriture en maintes contrées. M. de Mazières,
Agent commercial de la Cie P.-L.-M. a introduit
des graines d'Amérique qu'il a fait cultiver avec
buccès à Alger. Les épis de maïs se vendent à
Paris 0 fr. 40 à 0 fr. 50. Ce serait donc là une
source de revenus fort appréciables, et il serait à
souhaiter que cette culture prenne de l'extension.
Enfin, nous avons été très heureux de trouver
une bonne étude sur les roses a parfum et la
fabrication de l'essence. Maintes fois des lecteurs
nous ont demandé des renseignements sur ce
sujet, et à notre connaissance, c'est une des rares
études qui aûnt été publiées avec celle parue
dans le « Journal of Agriculture » de Victoria du
10 août 1912. Avec l'auteur, M. Rossière, nous
regretterons que cette culture ne s'étende pas en
France sur une plus grande échelle (elle est con-
finée en effet dans la région de Grasse), « quand
du songe que notre pays est le plus gros ronsom-
.mateur d'essence de rose, et qnl' la Bulgarie à
îlle seule en introduit chez nous annuellement
pour une valeur moyenne de 3 millions de francs ».]
2502, Despeissis (A.) : The Nor-West and Tro- -
pical North. In-8°, 102 p. Nombr. fig., planches et
diagr. 1 carte. Publié comme Bulletin n° 13 du
Department of Agriculture of Western Australia.
[L'Australie Occidentale, qui occupe à peu près
: le tigrs du Continent Australien, appartient
presque entièrement à la zone tropicale. M. A.
Despeissis a été chargé par le Gouvernement
Australien d'une mission d'études à la suite de
laquelle il a présenté le rapport que nous analy-
sons. Il a parcouru en tous sens le pays qu'il de-
vait étudier, retenant spécialement ce qui a trait
aux possibilités culturales de la zone chaude,
assez comparable à la Caroline au point dé vue
climatérique, bien qu'un peu plus chaude. La
région Nord-Ouest comporte des étendues consi-
dérables desséchées, et d'une végétation médiocre
en raison du manque d'eau. Le vent est également
un obstacle à une végétation normale dans des
plaines ouvertes du Nord. Les cours d'eau sont
généralement rares, l'eau étant surtout de l'eau
de précipitation. Au point de vue agricole, le
Nord-Ouest est avant tout une région d'élevage ;
cependant, pour diverses raisons, on a été amené
à substituer les chameaux aux bœufs et aux
mulets, dans une grande partie du Nord Ouest, le
travail fourni étant plus considérable. Comme
cultures, on rencontre la plupart des cultures
tropicales, café, coton, ananas, banane, caout-
chouc, etc. Une photographie intéressante montre
une partie de la plantation d'agaves de M. Wells,
dont nous avons autrefois signalé dans ces colonnes
une intéressante brochure sur cette plante. On
sait que la canne à sucre et le tabac-sont cultivés
sur une grande échelle au (Jueensland, et l'auteur
nous fen parle avec détails. Enfin, les bois ne
sont pas une des moindres richesses de l'Australie,
qui compte, parmi ses forêts, un certain nombre.
de géants de la flore forestière. Le rapport con-
tient un nombre considérable de photographiis,
toutes fort intéressantes, dont quelques-unes ont
été prises en Malaisie, dans le court séjour qu'y
fit l'auteur entre les deux parties de son voyage.
Le nombre de plantes économiques sur lesquelles
nous avons trouvé des renseignements précis est
considérable, et ce rapport constitue une mono-
graphie très complète des richesses de l'Australie
du Nord et de l'Ouest. — F. M.]
2503. Sampaio (A. J. de) : Consideraçoes sobre
A Flora Braziliensis de Martius. Gr. in-G°, 30 p.
Rio de Janeiro, 1912. [Commencée en 1840, la
llore de Martius constitue aujourd'hui le monu-
ment le plus important sur la flore du Brésil.
Toutefois, elle se ressent de la longue période qui
a été nécpssaire à son élaboration, et pendant la-
quelle les systèmes de classification ont subi des
modifications. Une revision s'imposerait donc, et
c'est sur le mode à employer pour y arriver en la
transformant le moins possible que M. de Sampaio
détend dans cette brochure. Nous ne le suivions
pas dans ses déductions, impossibles à résumer.
Voir la suite page 173
Iso 137 - Nov. 1912 JOURNAL D'AGRICULTURE. TROPICALE 163 -
2500. Fullon (II. R-), Wright (W. J.)etGregg
(J. W.) : The Control of Insects and Diseases
affecting horticultural crops. — In-8°, 44 p. Cen-
ter County, 1911. Publié comme Bulletin n° 110 de
la Pennsylvania State College Agricultural Expe-
riment Station. [Le but de ce bulletin est de pré-
senter, sous une forme concise, aux agriculteurs
de l'Etat de Pennsylvanie, des descriptions som-
maires et des indications sur les méthodes de
lutte, en ce qui concerne chacun des principaux
insectes ou cryptogames nuisibles aux arbres frui-
tiers et aux plantes potagères. La place étant res-
treinte pour l'exposé d'un sujet aussi vaste, les
auteurs ont cru devoir réduire au minimum les
descriptions de parasites pour développer davan-
tage l'exposé des traitements. Ils insistent sur ce
fait que les pulvérisations insecticides ou anti-
cryptogamiques fréquemment indiquées onf, en
général, surtout une action préventive et par suite
doivent être pratiquées avant l'apparition du
parasite ou, tout au moins, avant qu'il ait donné
lieu à des dégâts importants. Ces traitements
doivent être complétés, dans beaucoup de cas, par
l'application de méthodes culturales rationnelles
dont l'importance, au point de vue phytopatholo-
liique, doit toujours être présente à l'esprit. A. V.]
2501. Nanot (J.): Almanach des Jardiniers au
xX" siècle. — In-O de 128 pages. Plon-Nourrit,
éditeur. Paris, 1913. [L'éloge de ce manuel d'horti-
culture, qui en est à sa onzième année, n'est plus
à faire. Publié sous la direction d'un de nos maîtres
éminents qui connaissent le mieux les choses de
l'horticulture, il est tous les ans plus intéressant,
tenant ses lecteurs au courant de tous les progrès
de cette branche. Citons en particulier les articles
très documentés sur « le séchage des Pêches pour
les conserves » aux Etats-Unis. — Le Maïs cultivé
cumme légume pour l'alimentation. Comme on le
sait, l'épi de maïs sucré contient une forte propor-
tion de substance assimilable, et les indigènes des
pays chauds le font entrer comme base de leur
nourriture en maintes contrées. M. de Mazières,
Agent commercial de la Cie P.-L.-M. a introduit
des graines d'Amérique qu'il a fait cultiver avec
buccès à Alger. Les épis de maïs se vendent à
Paris 0 fr. 40 à 0 fr. 50. Ce serait donc là une
source de revenus fort appréciables, et il serait à
souhaiter que cette culture prenne de l'extension.
Enfin, nous avons été très heureux de trouver
une bonne étude sur les roses a parfum et la
fabrication de l'essence. Maintes fois des lecteurs
nous ont demandé des renseignements sur ce
sujet, et à notre connaissance, c'est une des rares
études qui aûnt été publiées avec celle parue
dans le « Journal of Agriculture » de Victoria du
10 août 1912. Avec l'auteur, M. Rossière, nous
regretterons que cette culture ne s'étende pas en
France sur une plus grande échelle (elle est con-
finée en effet dans la région de Grasse), « quand
du songe que notre pays est le plus gros ronsom-
.mateur d'essence de rose, et qnl' la Bulgarie à
îlle seule en introduit chez nous annuellement
pour une valeur moyenne de 3 millions de francs ».]
2502, Despeissis (A.) : The Nor-West and Tro- -
pical North. In-8°, 102 p. Nombr. fig., planches et
diagr. 1 carte. Publié comme Bulletin n° 13 du
Department of Agriculture of Western Australia.
[L'Australie Occidentale, qui occupe à peu près
: le tigrs du Continent Australien, appartient
presque entièrement à la zone tropicale. M. A.
Despeissis a été chargé par le Gouvernement
Australien d'une mission d'études à la suite de
laquelle il a présenté le rapport que nous analy-
sons. Il a parcouru en tous sens le pays qu'il de-
vait étudier, retenant spécialement ce qui a trait
aux possibilités culturales de la zone chaude,
assez comparable à la Caroline au point dé vue
climatérique, bien qu'un peu plus chaude. La
région Nord-Ouest comporte des étendues consi-
dérables desséchées, et d'une végétation médiocre
en raison du manque d'eau. Le vent est également
un obstacle à une végétation normale dans des
plaines ouvertes du Nord. Les cours d'eau sont
généralement rares, l'eau étant surtout de l'eau
de précipitation. Au point de vue agricole, le
Nord-Ouest est avant tout une région d'élevage ;
cependant, pour diverses raisons, on a été amené
à substituer les chameaux aux bœufs et aux
mulets, dans une grande partie du Nord Ouest, le
travail fourni étant plus considérable. Comme
cultures, on rencontre la plupart des cultures
tropicales, café, coton, ananas, banane, caout-
chouc, etc. Une photographie intéressante montre
une partie de la plantation d'agaves de M. Wells,
dont nous avons autrefois signalé dans ces colonnes
une intéressante brochure sur cette plante. On
sait que la canne à sucre et le tabac-sont cultivés
sur une grande échelle au (Jueensland, et l'auteur
nous fen parle avec détails. Enfin, les bois ne
sont pas une des moindres richesses de l'Australie,
qui compte, parmi ses forêts, un certain nombre.
de géants de la flore forestière. Le rapport con-
tient un nombre considérable de photographiis,
toutes fort intéressantes, dont quelques-unes ont
été prises en Malaisie, dans le court séjour qu'y
fit l'auteur entre les deux parties de son voyage.
Le nombre de plantes économiques sur lesquelles
nous avons trouvé des renseignements précis est
considérable, et ce rapport constitue une mono-
graphie très complète des richesses de l'Australie
du Nord et de l'Ouest. — F. M.]
2503. Sampaio (A. J. de) : Consideraçoes sobre
A Flora Braziliensis de Martius. Gr. in-G°, 30 p.
Rio de Janeiro, 1912. [Commencée en 1840, la
llore de Martius constitue aujourd'hui le monu-
ment le plus important sur la flore du Brésil.
Toutefois, elle se ressent de la longue période qui
a été nécpssaire à son élaboration, et pendant la-
quelle les systèmes de classification ont subi des
modifications. Une revision s'imposerait donc, et
c'est sur le mode à employer pour y arriver en la
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