766 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
une grande influence sur celle-ci en même temps que l'exposition
exgérée des capsules ouvertes au soleil, qui fait perdre le lustre
du coton.
3° Les impuretés et défaut d'égrenage. Nous examinerons
méthodiquement les impuretés les plus fréquentes dans le lot :
débris de feuilles, de capsules, graines entières, graines brisées,
extrémités de graines portant de petites soies colorées, sables,
poussières, graines avortées ; fibres coupées emmêlées, en mèches,
nœuds, boutons, fibres tachées et collées par l'huile provenant
de graines écrasées ; paquets de fibres aberrantes provenant de
capsules atteintes de maladies, etc.
A la suite de cette analyse nous comparerons la surface du
lot avec celle du type étalon et nous donnerons un classement
commercial.
Il va sans dire que nous choisissons notre étalon parmi les
upland, les égyptiens ou les Sea Island, suivant le genre de coton
étudié.
4° L'appréciation du coton devra se terminer par une indication
assez approchée du genre de coton courant que le type étudié
rappelie, et qu'il pourra concurrencer sur le marché. Les tableaux
ci-après fournissent déjà une base précise de comparaison. On
donne, en général, les numéros des filés qu'il est possible d'at-
teindre avec un coton déterminé uniquement en raison de la
longueur de fibre.
mm.
Ainsi à un coton de 28-33.correspondrait les n° 60- 80
— — 33-35 — — 80-100
— — 35-38 — — 100-120
— — 38-40 — — 120-150
— — 40-45 — — 150-200
— — 45-50 — plus de 200
En réalité, il faut tenir compte également de la finesse.
L'examen des tableaux publiés par la Liverpool Cotton Associatiol"
nous a montré qu'on peut considérer les données précédentes
comme justes, à condition qu'il s'agisse de fibres de 18 fi- d'épais-
seur. A chaque fi- d'épaisseur en plus, on perd à peu près 10 nu-
méros ; mais à chaque fi- d'épaisseur en moins, on en gagne 20.
Par exemple, un coton de 38 millimètres, donnera du n° 120, s'il
une grande influence sur celle-ci en même temps que l'exposition
exgérée des capsules ouvertes au soleil, qui fait perdre le lustre
du coton.
3° Les impuretés et défaut d'égrenage. Nous examinerons
méthodiquement les impuretés les plus fréquentes dans le lot :
débris de feuilles, de capsules, graines entières, graines brisées,
extrémités de graines portant de petites soies colorées, sables,
poussières, graines avortées ; fibres coupées emmêlées, en mèches,
nœuds, boutons, fibres tachées et collées par l'huile provenant
de graines écrasées ; paquets de fibres aberrantes provenant de
capsules atteintes de maladies, etc.
A la suite de cette analyse nous comparerons la surface du
lot avec celle du type étalon et nous donnerons un classement
commercial.
Il va sans dire que nous choisissons notre étalon parmi les
upland, les égyptiens ou les Sea Island, suivant le genre de coton
étudié.
4° L'appréciation du coton devra se terminer par une indication
assez approchée du genre de coton courant que le type étudié
rappelie, et qu'il pourra concurrencer sur le marché. Les tableaux
ci-après fournissent déjà une base précise de comparaison. On
donne, en général, les numéros des filés qu'il est possible d'at-
teindre avec un coton déterminé uniquement en raison de la
longueur de fibre.
mm.
Ainsi à un coton de 28-33.correspondrait les n° 60- 80
— — 33-35 — — 80-100
— — 35-38 — — 100-120
— — 38-40 — — 120-150
— — 40-45 — — 150-200
— — 45-50 — plus de 200
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seur. A chaque fi- d'épaisseur en plus, on perd à peu près 10 nu-
méros ; mais à chaque fi- d'épaisseur en moins, on en gagne 20.
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