DOCUMENTS OFFICIELS 855
Le pavillon français tient le premier rang: 106 navires sur
194 navires ayant fait leur entrée dans la colonie.
Ensuite vient le pavillon anglais avec 53 navires.
Le pavillon hollandais 11 unités
Le — américain 10 navires
Le — portugais 4 -
Le — belge. , , ,. 3 —
Le — danois, , ., 2 —
Ceux suédois-norvégien, brésilien chacun pour une unité.
Conclusions.
De la comparaison des valeurs du mouvement commercial de
la colonie en 1920, importations et exportations, de celles de
1919 on ne peut que déduire qu'une progression des plus sensi-
bles s'est effectuée en faveur de 1920.
L'exposé qui précède fait ressortir d'une part qu'une augmen-
tation de quantités s'est produite dans les importations de plu-
sieurs articles, que par contre des diminutions de quantités ont eu
Heu sur certains, que dans un cas comme dans l'autre il y a eu
augmentation de valeurs. Qu'en outre certaines régressions
de quantités ont entraîné une moins-value. A l'exportation
les mêmes faits se constatent.
La cause de l'augmentation des valeurs est due donc à la
hausse sans précédent de toutes les marchandises manufactu-
rées, matières premières, comme des produits du sol.
Elle est due à des circonstances nées des suites de la guerre
contre lesquelles aucune influence, aucune force ne peut rien.
C'est une évolution mondiale, dont il faut attendre la fin, la
baisse devant se produire par la force des choses, comme la
hausse s'est produite et accentuee.
! a véritable progression du mouvement commercial d'un
pays s'établit sur les quantités importées et exportées, qui
déterminent d'ordinaire une augmentation de valeur.
Il y a augmentation de quantités sur certaines marchan-
dises importées entraînant une plus-value, que les diminutions
de quantités sur d'autres articles ue contrebalancent point. Mais ie
faitcaracléristique c'est la diminution de quantités entraînant une
augmentation de valeur. Il en est de même aux exportations.
Bien que l'augmentation de valeurs est celle qui doit être
retenue, il ne semble point ressoitir néanmoins qu'il y a eu
Progression dans le sens propre du mot, du mouvement commer-
Le pavillon français tient le premier rang: 106 navires sur
194 navires ayant fait leur entrée dans la colonie.
Ensuite vient le pavillon anglais avec 53 navires.
Le pavillon hollandais 11 unités
Le — américain 10 navires
Le — portugais 4 -
Le — belge. , , ,. 3 —
Le — danois, , ., 2 —
Ceux suédois-norvégien, brésilien chacun pour une unité.
Conclusions.
De la comparaison des valeurs du mouvement commercial de
la colonie en 1920, importations et exportations, de celles de
1919 on ne peut que déduire qu'une progression des plus sensi-
bles s'est effectuée en faveur de 1920.
L'exposé qui précède fait ressortir d'une part qu'une augmen-
tation de quantités s'est produite dans les importations de plu-
sieurs articles, que par contre des diminutions de quantités ont eu
Heu sur certains, que dans un cas comme dans l'autre il y a eu
augmentation de valeurs. Qu'en outre certaines régressions
de quantités ont entraîné une moins-value. A l'exportation
les mêmes faits se constatent.
La cause de l'augmentation des valeurs est due donc à la
hausse sans précédent de toutes les marchandises manufactu-
rées, matières premières, comme des produits du sol.
Elle est due à des circonstances nées des suites de la guerre
contre lesquelles aucune influence, aucune force ne peut rien.
C'est une évolution mondiale, dont il faut attendre la fin, la
baisse devant se produire par la force des choses, comme la
hausse s'est produite et accentuee.
! a véritable progression du mouvement commercial d'un
pays s'établit sur les quantités importées et exportées, qui
déterminent d'ordinaire une augmentation de valeur.
Il y a augmentation de quantités sur certaines marchan-
dises importées entraînant une plus-value, que les diminutions
de quantités sur d'autres articles ue contrebalancent point. Mais ie
faitcaracléristique c'est la diminution de quantités entraînant une
augmentation de valeur. Il en est de même aux exportations.
Bien que l'augmentation de valeurs est celle qui doit être
retenue, il ne semble point ressoitir néanmoins qu'il y a eu
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