Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-05-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 mai 1903 31 mai 1903
Description : 1903/05/31 (A3,N23). 1903/05/31 (A3,N23).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437462n
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières129
- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS.
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 154
- .......... Page(s) .......... 155
- .......... Page(s) .......... 156
- .......... Page(s) .......... 157
- .......... Page(s) .......... 158
- .......... Page(s) .......... 159
- .......... Page(s) .......... 159
- .......... Page(s) .......... 160
- .......... Page(s) .......... 160
- .......... Page(s) .......... 160
- LIVRES NOUVEAUX
- Annonces bibliographiques, 373-396 sur papier bleu
- FIGURES
- FIG. 8: Levier monté sur roues. - Fig. 9: Machine Lamblin. - Fig. 10: Fardier.
132 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 23 - MAI tgo3.
On peut remplacer l'essieu qui sert de
de point d'appui au levier AB (fig. 8) par un
petit tréteau ou par un chevalet à trois pieds.
Lorsqu'il 4
s'agitde jeunes
arbustes, dont
la tige, assez
longue, a jus-
qu'à une di-
zaine de cen-
timètres de
diamètre, on
peut employer
la DÉPLANTEUSE
HENRI CHATE-
NAY. L'appareil
se compose
d'un manchon
formé de deux
de mi-cyli n-
dres en fonte
réunis par des
charnières; le
Fig. 9.
Machine à arracher les souches, de F. LAMBLIN.
manchon, qui a o m. 3o environ de lon-
gueur, est placé à la hauteur voulue, et un
étrier à vis de pression
le serre fortement sur
la tige de l'arbuste à
enlever; sur le côté,
suivant une génératrice
le manchon porte, ve-
nus de fonte, trois
ergots qui servent à le
soulever à l'aide d'un
levier ferré, dont on fait
prendre un des crans
inférieurs contre un fer
posé de champ sur un
chevalet portatif de
o m. 60 de hauteur; le
levier, en bois dur, a
de 2 mètres à 2 m. 50
de longueur. M. CAR-
RIÈRE rapporte avoir
Fig. 10
constaté que, dans les Emploi du fardier pour
pépinières de M. CHATENAY, à Doué-la-Fon-
taine (Indre-et-Loire), trois hommes (dont
l'un posait le manchon) avec deux manchons,
ont enlevé, en 1 heure, 5o arbustes dont la
tige avait de o m. 04 à o m. o5 de diamètre.
On peut employer un levier horizontal
dont le centre de rotation est maintenu à
une certaine hauteur au-dessus de la souche
par une chèvre
formée de trois
perchesdebois;
réunies à leur
partie su p é-
rieure. On a
cherché à ren-
dre cet appa-
reil locomo-
bile, et un de
ses modèles,.
présenté par
M. FRÉDÉRIC
LAMBLIN, figu-
rait à l'Expo-
sition Univer-
selle de Paris,
en 1878 (fig.9).
La machine
LAMBLIN, des-
tinée à l'arrachage des vignes, des palmiers
nains, des genêts, des !ajoncs, consiste en
une chèvre qu'on peut
déplacer en la faisant
rouler sur ses deux
roues antérieures; il'
n'y a pas d'essieu et le
bâti est ouvert en avant
afin qu'on puisse facile-
ment placer la ma-
chine au-dessus de la
souche à extraire. A la
partie supérieure de la
chèvre est articulé un
levier mobile dans le
plan vertical ; au petit
bras decelevierestfixée
la chaîne terminée par
une griffe, l'autre bras
recevant les efforts des
hommes qui agissent
l'arrachage des souches. de haut en bas sur une
corde.
L'essoucheuse imaginée en 1860, par
SCHUSTER, garde-forestier saxon, renferme
dans un bâti en bois, un treuil dont le tam-
bour, solidaire d'une roue dentée, est mis en
On peut remplacer l'essieu qui sert de
de point d'appui au levier AB (fig. 8) par un
petit tréteau ou par un chevalet à trois pieds.
Lorsqu'il 4
s'agitde jeunes
arbustes, dont
la tige, assez
longue, a jus-
qu'à une di-
zaine de cen-
timètres de
diamètre, on
peut employer
la DÉPLANTEUSE
HENRI CHATE-
NAY. L'appareil
se compose
d'un manchon
formé de deux
de mi-cyli n-
dres en fonte
réunis par des
charnières; le
Fig. 9.
Machine à arracher les souches, de F. LAMBLIN.
manchon, qui a o m. 3o environ de lon-
gueur, est placé à la hauteur voulue, et un
étrier à vis de pression
le serre fortement sur
la tige de l'arbuste à
enlever; sur le côté,
suivant une génératrice
le manchon porte, ve-
nus de fonte, trois
ergots qui servent à le
soulever à l'aide d'un
levier ferré, dont on fait
prendre un des crans
inférieurs contre un fer
posé de champ sur un
chevalet portatif de
o m. 60 de hauteur; le
levier, en bois dur, a
de 2 mètres à 2 m. 50
de longueur. M. CAR-
RIÈRE rapporte avoir
Fig. 10
constaté que, dans les Emploi du fardier pour
pépinières de M. CHATENAY, à Doué-la-Fon-
taine (Indre-et-Loire), trois hommes (dont
l'un posait le manchon) avec deux manchons,
ont enlevé, en 1 heure, 5o arbustes dont la
tige avait de o m. 04 à o m. o5 de diamètre.
On peut employer un levier horizontal
dont le centre de rotation est maintenu à
une certaine hauteur au-dessus de la souche
par une chèvre
formée de trois
perchesdebois;
réunies à leur
partie su p é-
rieure. On a
cherché à ren-
dre cet appa-
reil locomo-
bile, et un de
ses modèles,.
présenté par
M. FRÉDÉRIC
LAMBLIN, figu-
rait à l'Expo-
sition Univer-
selle de Paris,
en 1878 (fig.9).
La machine
LAMBLIN, des-
tinée à l'arrachage des vignes, des palmiers
nains, des genêts, des !ajoncs, consiste en
une chèvre qu'on peut
déplacer en la faisant
rouler sur ses deux
roues antérieures; il'
n'y a pas d'essieu et le
bâti est ouvert en avant
afin qu'on puisse facile-
ment placer la ma-
chine au-dessus de la
souche à extraire. A la
partie supérieure de la
chèvre est articulé un
levier mobile dans le
plan vertical ; au petit
bras decelevierestfixée
la chaîne terminée par
une griffe, l'autre bras
recevant les efforts des
hommes qui agissent
l'arrachage des souches. de haut en bas sur une
corde.
L'essoucheuse imaginée en 1860, par
SCHUSTER, garde-forestier saxon, renferme
dans un bâti en bois, un treuil dont le tam-
bour, solidaire d'une roue dentée, est mis en
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