Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 février 1929 01 février 1929
Description : 1929/02/01 (A22,N241)-1929/02/28. 1929/02/01 (A22,N241)-1929/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64370732
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/12/2012
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
pages- Études générales (Voir couverture).
- Informations:
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- .......... Page(s) .......... 155
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- .......... Page(s) .......... 157
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- .......... Page(s) .......... 163
- Statistiques. Rapports commerciaux:
- .......... Page(s) .......... 173
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 205
- .......... Page(s) .......... 207
100 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
plus une haute portée morale et sociale. Son effet des plus
heureux, esquissé déjà, est fort intéressant ; le nombre des
mariages est en augmentation et, partant, celui des enfants
légitimes comme celui des enfants reconnue. D'après les calculs
établis par les mairies, plus de 15.000 enfants de moins de 13 ans
seront susceptibles de bénéficier de l'allocation annuelle que
nous avons dans nos prévisions calculée sur la base légale la
plus élevée.
PENSIONNAT COLONIAL
Une simple inscription au plan de campagne d'un crédit de
500.000 francs amorce ma seconde proposition de dépense
nouvelle : la construction d'un pensionnat colonial avec internat.
C'est encore, Messieurs, une œuvre de haute portée sociale et
qui depuis longtemps se trouve au premier plan de vos préoccu-
pations. La situation actuelle de nos établissements d'enseigne-
ment secondaire ne répond pas aux désirs des familles et
l'absence d'internat pose un grave problème de moralité. Le
provisoire qui, pour le lycée 8chœlcher, date du lendemain de la
catastrophe de Saint-Pierre a assez duré. Il ne peut plus être
question de remettre, c'est aujourd'hui même qu'il faut agir. Après
une étude approfondie des terrains, très limités d'ailleurs qui
s'offraient à notre choix, je vous suggère, pour y édifier le
pensionnat colonial, de disposer des trois hectares environ qui
complètent le jardin Desclieux et forment une partie de l'ancien
polygone d'artillerie. Cette acquisition consentie en principe par
l'État peut être rapidement effectuée. Les travaux pourraient
être entrepris tout aussitôt. Poursuivis les années suivantes,
l'établissement :pourrait être terminé au plus tard en 1931.
Immédiatement suivrait la construction du lycée de garçons,
nécessité impérieuse elle aussi, que nos ressources budgétaires
et nogmoyens locaux ne nous permettent pas de mener parallè-
lement aux travaux, plus urgents, à mon avis, du pensionnat.
La dépense totale n'a pu être évaluée encore. Elle peut
s'élever environ à 9 ou 10 millions pour le pensionnat. Un projet
de délibération vous est soumis qui vous permettra d'assurer à
cette tâche la continuité et la sécurité.;
Dans les budgets à ven^ les dépenses pour la construction
d'établissements secondajçrâ jytfev interïiàt,, feraient partie du
chapitrer 10 et seraient friaii'âécret rangée^ d^fts les dépenses
obligatoires.
plus une haute portée morale et sociale. Son effet des plus
heureux, esquissé déjà, est fort intéressant ; le nombre des
mariages est en augmentation et, partant, celui des enfants
légitimes comme celui des enfants reconnue. D'après les calculs
établis par les mairies, plus de 15.000 enfants de moins de 13 ans
seront susceptibles de bénéficier de l'allocation annuelle que
nous avons dans nos prévisions calculée sur la base légale la
plus élevée.
PENSIONNAT COLONIAL
Une simple inscription au plan de campagne d'un crédit de
500.000 francs amorce ma seconde proposition de dépense
nouvelle : la construction d'un pensionnat colonial avec internat.
C'est encore, Messieurs, une œuvre de haute portée sociale et
qui depuis longtemps se trouve au premier plan de vos préoccu-
pations. La situation actuelle de nos établissements d'enseigne-
ment secondaire ne répond pas aux désirs des familles et
l'absence d'internat pose un grave problème de moralité. Le
provisoire qui, pour le lycée 8chœlcher, date du lendemain de la
catastrophe de Saint-Pierre a assez duré. Il ne peut plus être
question de remettre, c'est aujourd'hui même qu'il faut agir. Après
une étude approfondie des terrains, très limités d'ailleurs qui
s'offraient à notre choix, je vous suggère, pour y édifier le
pensionnat colonial, de disposer des trois hectares environ qui
complètent le jardin Desclieux et forment une partie de l'ancien
polygone d'artillerie. Cette acquisition consentie en principe par
l'État peut être rapidement effectuée. Les travaux pourraient
être entrepris tout aussitôt. Poursuivis les années suivantes,
l'établissement :pourrait être terminé au plus tard en 1931.
Immédiatement suivrait la construction du lycée de garçons,
nécessité impérieuse elle aussi, que nos ressources budgétaires
et nogmoyens locaux ne nous permettent pas de mener parallè-
lement aux travaux, plus urgents, à mon avis, du pensionnat.
La dépense totale n'a pu être évaluée encore. Elle peut
s'élever environ à 9 ou 10 millions pour le pensionnat. Un projet
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cette tâche la continuité et la sécurité.;
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