Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 janvier 1929 01 janvier 1929
Description : 1929/01/01 (A22,N240)-1929/01/31. 1929/01/01 (A22,N240)-1929/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437072n
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/12/2012
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
- pages
- Etudes générales (Voir couverture).
- Informations:
- .......... Page(s) .......... 55
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- .......... Page(s) .......... 56
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- .......... Page(s) .......... 59
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- .......... Page(s) .......... 62
- .......... Page(s) .......... 62
- .......... Page(s) .......... 65
- .......... Page(s) .......... 65
- .......... Page(s) .......... 68
- Statistiques. Rapports commerciaux:
- .......... Page(s) .......... 78
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 86
t
38 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
L'élevage avait commencé à se développer à la fin du
XVIIIe siècle; l'effort n'a pas été poursuivi. La Guyane ne possède
pas de races indigènes, mais, d'après BASSIÈRES, toutes les sortes
de bétail sont capables d'y prospérer, avec des soins convenables.
Vers 1900, la Colonie exportait en moyenne 1.500 à
2.000 peaux de bœuf par an ; en 1926, il y en eut
76.167 kilos d'expédiées, ce qui représente un nombre de peaux
sensiblement du même ordre qu'en 1900. Les peaux d'autres
animaux ne sont pas l'objet de commerce avec l'extérieur.
La reviviscence de l'industrie pastorale pourrait entraîner la
création d'une industrie de tannage, industrie tout au moins
rudimentaire, se bornant à préparer des peaux demi-tannées
pour l'exportation.
ETUDE TECHNOLOGIQUE DES ÉCORCES TANNANTES
DE LA GUYANE FRANÇAISE
La plupart des écorces étudiées ci-après ont fait antérieure-
ment l'objet des recherches de F. lIEIM (l. c.) et plus récemment
de JALADE (E. JALADE — Quelques écorces tannantes de la
Guyane française, Bull. Sciences pharmacol., VXVI, Mars 1919,
p. 115). Nous en avons repris l'étude, conformément au plan
établi au Laboratoire des Productions coloniales (F. HEIM,
L. MEUNIER, E, SCHELL et L. MATROD — Plan d'études sur les
matières tannantes coloniales, Bull. Oft. Col, N° 131-132, Nov.-
Déc. 1918, pp. 569-583 ; — Études sur les plantes tannifères et
matières tannantes coloniales, fasc. I, 1920, pp. 1-18).
Les anàlyses tanniques ont été effectuées suivant la méthode
à la poudre de peau, de la Société des Chimistes des Industries
du Cuir.
ÉCORCE D'« ACACIA MALE »
(Parlria pendula BENTH. Légum.-Mimosées.)
Cet arbre porte aussi, à la Colonie, le nom de « Grignon Fou ».
Il a une hauteur, sous les branches, de 20 à 25 mètres et un
diamètre de tronc d( 0 m. 80 à 0 m.90. Les branches sont
ascendantes, le feuillage assez léger ; son abondance relative
dans les régions explorées par la Mission BERTIN (Section Guyane
— Reconnaissances de M. BETTENFELD) est de 0,38 ; ce chiffre
ne constitue d'ailleurs qu'une première indication, comme
tous ceux que nous donnons à ce sujet.
38 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
L'élevage avait commencé à se développer à la fin du
XVIIIe siècle; l'effort n'a pas été poursuivi. La Guyane ne possède
pas de races indigènes, mais, d'après BASSIÈRES, toutes les sortes
de bétail sont capables d'y prospérer, avec des soins convenables.
Vers 1900, la Colonie exportait en moyenne 1.500 à
2.000 peaux de bœuf par an ; en 1926, il y en eut
76.167 kilos d'expédiées, ce qui représente un nombre de peaux
sensiblement du même ordre qu'en 1900. Les peaux d'autres
animaux ne sont pas l'objet de commerce avec l'extérieur.
La reviviscence de l'industrie pastorale pourrait entraîner la
création d'une industrie de tannage, industrie tout au moins
rudimentaire, se bornant à préparer des peaux demi-tannées
pour l'exportation.
ETUDE TECHNOLOGIQUE DES ÉCORCES TANNANTES
DE LA GUYANE FRANÇAISE
La plupart des écorces étudiées ci-après ont fait antérieure-
ment l'objet des recherches de F. lIEIM (l. c.) et plus récemment
de JALADE (E. JALADE — Quelques écorces tannantes de la
Guyane française, Bull. Sciences pharmacol., VXVI, Mars 1919,
p. 115). Nous en avons repris l'étude, conformément au plan
établi au Laboratoire des Productions coloniales (F. HEIM,
L. MEUNIER, E, SCHELL et L. MATROD — Plan d'études sur les
matières tannantes coloniales, Bull. Oft. Col, N° 131-132, Nov.-
Déc. 1918, pp. 569-583 ; — Études sur les plantes tannifères et
matières tannantes coloniales, fasc. I, 1920, pp. 1-18).
Les anàlyses tanniques ont été effectuées suivant la méthode
à la poudre de peau, de la Société des Chimistes des Industries
du Cuir.
ÉCORCE D'« ACACIA MALE »
(Parlria pendula BENTH. Légum.-Mimosées.)
Cet arbre porte aussi, à la Colonie, le nom de « Grignon Fou ».
Il a une hauteur, sous les branches, de 20 à 25 mètres et un
diamètre de tronc d( 0 m. 80 à 0 m.90. Les branches sont
ascendantes, le feuillage assez léger ; son abondance relative
dans les régions explorées par la Mission BERTIN (Section Guyane
— Reconnaissances de M. BETTENFELD) est de 0,38 ; ce chiffre
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