Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1925-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 septembre 1925 01 septembre 1925
Description : 1925/09/01 (A13,N93)-1925/09/30. 1925/09/01 (A13,N93)-1925/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6433212t
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
La Maladie des taches brunes de l'Arachide
en Afrique occidentale
par
A. MAUBLANC
Ingénieur agronome
Chargé de cours et Attaché phytopathologique
à l'Institut d'Agronomie Coloniale
Dans le numéro 86 de VAgronomie Coloniale (février 1925),
nous avons signalé l'existence, dans le cercle de Casamance
(Ziguinchor), de la maladie des taches brunes de l'Arachide,
due à Cercospora personata, sans pouvoir donner de renseigne-
ments sur son extension, ni sur les dégâts causés.
Depuis lors, M. Claveau, chef du Service de l'Agriculture,
des Forêts et de l'Elevage du Sénégal et de la Mauritanie, a
communiqué un rapport renfermant des renseignements
intéressants sur cette question et dont nous extrayons les
passages suivants :
« La maladie des taches brunes des feuilles de l'Arachide
n'avait pas encore été signalée au Sénégal ; elle vient d'être
décelée, cette année, en plusieurs points de la colonie.
« En septembre 1924, ces taches avaient attiré mon atten-
tion au Jardin de Sor, près de Saint-Louis, où, tous les ans,
certains sols sont cultivés en arachides pour la production
du fourrage. Les plantes atteintes étaient rares et les quelques
touffes contaminées présentaient au plus deux ou trois feuilles
malades.
« A la même date, un inspecteur d'agriculture affecté à
Tivaouane (cercle de Cayor), M. Fourneau, frappé du nombre
considérable de feuilles recouvertes de taches brunes, étudia
la maladie, qu'il attribua à Cercospora personata. Son diagnostic
a été confirmé par le Muséum d'Histoire naturelle et par
l'Institut National d'Agronomie Coloniale, auxquels des échan-
tillons avaient été envoyés.
en Afrique occidentale
par
A. MAUBLANC
Ingénieur agronome
Chargé de cours et Attaché phytopathologique
à l'Institut d'Agronomie Coloniale
Dans le numéro 86 de VAgronomie Coloniale (février 1925),
nous avons signalé l'existence, dans le cercle de Casamance
(Ziguinchor), de la maladie des taches brunes de l'Arachide,
due à Cercospora personata, sans pouvoir donner de renseigne-
ments sur son extension, ni sur les dégâts causés.
Depuis lors, M. Claveau, chef du Service de l'Agriculture,
des Forêts et de l'Elevage du Sénégal et de la Mauritanie, a
communiqué un rapport renfermant des renseignements
intéressants sur cette question et dont nous extrayons les
passages suivants :
« La maladie des taches brunes des feuilles de l'Arachide
n'avait pas encore été signalée au Sénégal ; elle vient d'être
décelée, cette année, en plusieurs points de la colonie.
« En septembre 1924, ces taches avaient attiré mon atten-
tion au Jardin de Sor, près de Saint-Louis, où, tous les ans,
certains sols sont cultivés en arachides pour la production
du fourrage. Les plantes atteintes étaient rares et les quelques
touffes contaminées présentaient au plus deux ou trois feuilles
malades.
« A la même date, un inspecteur d'agriculture affecté à
Tivaouane (cercle de Cayor), M. Fourneau, frappé du nombre
considérable de feuilles recouvertes de taches brunes, étudia
la maladie, qu'il attribua à Cercospora personata. Son diagnostic
a été confirmé par le Muséum d'Histoire naturelle et par
l'Institut National d'Agronomie Coloniale, auxquels des échan-
tillons avaient été envoyés.
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