Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1925-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 septembre 1925 01 septembre 1925
Description : 1925/09/01 (A13,N93)-1925/09/30. 1925/09/01 (A13,N93)-1925/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6433212t
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
SUR QUELQUES INSECTES NUISIBLES AU COTONNIER 115
et subtronquée postérieurement. Sa couleur est plutôt d'un jaune
foncé tirant sur le brun. La plaque thoracique est jaune pâle,
bien tranchée à la suture et presque uniforme de couleur, tan-
dis qu'elle est un peu plus foncée sur la marge extérieure. La
plaque anale est très pâle, à peine plus foncée que les mem-
branes intersegmentaires. Les trois paires de pattes sont plutôt
longues et proéminentes. Observés à la loupe, les stigmates et
les tubercules pilifères sont très petits mais distincts et la pubes-
cence, quoique clairsemée et de fine texture, est plutôt longue,
quelques poils sont presque aussi longs que la largeur du corps.
La longueur approximative est d'environ 13 millimètres, la plus
grande largeur, 1 millimètre et demi.
Chrysalide. — Elle a l'apparence générale et ressemble à celle
des autres Papillons se nourrissant de céréales. Sa couleur géné-
rale est jaune pâle et son aspect est robuste. Dans les spécimens
frais, les yeux apparaissent simplement comme des aires circu-
laires, mais à l'approche de la transformation ils deviennent
noirs. Les étuis des antennes recouvrent légèrement la marge
postérieure. Les meilleurs caractères apparaissent sur le dos : les
parallèles médianes sont presque noires et assez bien marquées.
Les stigmates sont petits mais distincts ; le segment anal porte
à l'apex quatre apophyses dont l'antérieure a l'aspect d'une
courte épine.
Naturellement il y a la même différence dans les proportions
des chrysalides que dans les adultes : la longueur variant de
7 1/2 à 9 millimètres. Sur le point de se transformer, la chenille
prépare un cocon en réunissant entre elles, avec des fils de soie,
de nombreuses matières alimentaires aux dépens desquelles elle
se nourrit.
Biologie. Evolution. — L'accouplement a généralement lieu
la nuit même de l'éclosion ; la ponte commence la nuit suivante.
Une femelle dépose de 120 à 160 œufs (quantité maximum
observée a été 164) en trois ou quatre jours; chaque ponte com-
prend un nombre variable d'œufs groupés et fixés sur les grai-
nes ou contre les parois des locaux.
La chenille chrysalide dans un cocon feutré, soyeux, gris,
et subtronquée postérieurement. Sa couleur est plutôt d'un jaune
foncé tirant sur le brun. La plaque thoracique est jaune pâle,
bien tranchée à la suture et presque uniforme de couleur, tan-
dis qu'elle est un peu plus foncée sur la marge extérieure. La
plaque anale est très pâle, à peine plus foncée que les mem-
branes intersegmentaires. Les trois paires de pattes sont plutôt
longues et proéminentes. Observés à la loupe, les stigmates et
les tubercules pilifères sont très petits mais distincts et la pubes-
cence, quoique clairsemée et de fine texture, est plutôt longue,
quelques poils sont presque aussi longs que la largeur du corps.
La longueur approximative est d'environ 13 millimètres, la plus
grande largeur, 1 millimètre et demi.
Chrysalide. — Elle a l'apparence générale et ressemble à celle
des autres Papillons se nourrissant de céréales. Sa couleur géné-
rale est jaune pâle et son aspect est robuste. Dans les spécimens
frais, les yeux apparaissent simplement comme des aires circu-
laires, mais à l'approche de la transformation ils deviennent
noirs. Les étuis des antennes recouvrent légèrement la marge
postérieure. Les meilleurs caractères apparaissent sur le dos : les
parallèles médianes sont presque noires et assez bien marquées.
Les stigmates sont petits mais distincts ; le segment anal porte
à l'apex quatre apophyses dont l'antérieure a l'aspect d'une
courte épine.
Naturellement il y a la même différence dans les proportions
des chrysalides que dans les adultes : la longueur variant de
7 1/2 à 9 millimètres. Sur le point de se transformer, la chenille
prépare un cocon en réunissant entre elles, avec des fils de soie,
de nombreuses matières alimentaires aux dépens desquelles elle
se nourrit.
Biologie. Evolution. — L'accouplement a généralement lieu
la nuit même de l'éclosion ; la ponte commence la nuit suivante.
Une femelle dépose de 120 à 160 œufs (quantité maximum
observée a été 164) en trois ou quatre jours; chaque ponte com-
prend un nombre variable d'œufs groupés et fixés sur les grai-
nes ou contre les parois des locaux.
La chenille chrysalide dans un cocon feutré, soyeux, gris,
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