Titre : Revue des cultures coloniales
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1904-05-05
Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134
Description : 05 mai 1904 05 mai 1904
Description : 1904/05/05 (A8,N148,T14). 1904/05/05 (A8,N148,T14).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64321800
Source : CIRAD, 2012-231823
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
VARIÉ TÉS' 277.
contesta fixe, porté par une traverse t solidaire d'une des parois de la trémie ; -ce
couteau peut être réglé en hauteur et en largeur. En D, lui faisant face, se trouve
le totiteau mobile, porté par deux bielles moulées sur les vilebrequins de
l'arbre moteur m. La distance entre le rouleau -et le couteau mobile D est-réglée
par DU certain nombre de tirants métalliques n .munis d'écrous. En modifiant,
d'autre part, la longueur des bielles b par les tiges k, c'est-à-dire à l'extrémité
de la course du couteau D, on arrive à un réglage parfait dans les deux sens.
'La machine est complétée par un poussoir F, gui amène au contact du rou-
LaoM -C les capsules placées dans la trémie d'alimentation A; lepoussoir reçoit
son mouvement d'un arbre m', auquel il est relié par la bielle B. Notons enfin que
le rouleau C est débarrassé de la fibre non pas par un débarrasseur à parchemin,,
FIG. 7. Coupe de l'égreneusc à simple effet,
type Mac Carthy (Platt-Uros).
FIG. 8. Égreneuse à bras de Platt Brothers et Cio.
mais par une barre d'acier G, qui est plus simple et fait un aussi bon travail. En
se reportant à la figure le cylindre tourne dans le sens des aiguilles d'une
montre.
Cette égreneuse donne un très bon résultat, à condition d'être bien réglée, ce
qui est assez délicat ; il y a en effet à considérer la course du couteau mobile
(35 à 40 millimètres) qui doit, au plus haut de sa course, recouvrir le couteau
fixe de 10 à 12 millimètres suivant les qualités de coton travaillées ; le cylindre,
qui doit être ajusté de telle sorte que son axe soit à la hautenr de l'arête du
couteau fixe; le couteau fixe, qui doit être rigoureusement horizontal et, de
plus, parfaitement plan, malgré son peu d'épaisseur et la pression du cylindre
qui tend à le faire gondoler; le couteau mobile qui doit être à 1 ou 2 milli-
mètres du couteau fixe dans un plan horizontal; enfin Le-poussoir qui ne doit
contesta fixe, porté par une traverse t solidaire d'une des parois de la trémie ; -ce
couteau peut être réglé en hauteur et en largeur. En D, lui faisant face, se trouve
le totiteau mobile, porté par deux bielles moulées sur les vilebrequins de
l'arbre moteur m. La distance entre le rouleau -et le couteau mobile D est-réglée
par DU certain nombre de tirants métalliques n .munis d'écrous. En modifiant,
d'autre part, la longueur des bielles b par les tiges k, c'est-à-dire à l'extrémité
de la course du couteau D, on arrive à un réglage parfait dans les deux sens.
'La machine est complétée par un poussoir F, gui amène au contact du rou-
LaoM -C les capsules placées dans la trémie d'alimentation A; lepoussoir reçoit
son mouvement d'un arbre m', auquel il est relié par la bielle B. Notons enfin que
le rouleau C est débarrassé de la fibre non pas par un débarrasseur à parchemin,,
FIG. 7. Coupe de l'égreneusc à simple effet,
type Mac Carthy (Platt-Uros).
FIG. 8. Égreneuse à bras de Platt Brothers et Cio.
mais par une barre d'acier G, qui est plus simple et fait un aussi bon travail. En
se reportant à la figure le cylindre tourne dans le sens des aiguilles d'une
montre.
Cette égreneuse donne un très bon résultat, à condition d'être bien réglée, ce
qui est assez délicat ; il y a en effet à considérer la course du couteau mobile
(35 à 40 millimètres) qui doit, au plus haut de sa course, recouvrir le couteau
fixe de 10 à 12 millimètres suivant les qualités de coton travaillées ; le cylindre,
qui doit être ajusté de telle sorte que son axe soit à la hautenr de l'arête du
couteau fixe; le couteau fixe, qui doit être rigoureusement horizontal et, de
plus, parfaitement plan, malgré son peu d'épaisseur et la pression du cylindre
qui tend à le faire gondoler; le couteau mobile qui doit être à 1 ou 2 milli-
mètres du couteau fixe dans un plan horizontal; enfin Le-poussoir qui ne doit
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