Titre : Revue internationale des produits coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1933-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343784169
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7259 Nombre total de vues : 7259
Description : 01 janvier 1933 01 janvier 1933
Description : 1933/01/01 (A8,N85)-1933/01/31. 1933/01/01 (A8,N85)-1933/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64321711
Source : CIRAD, 2012-231858
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/11/2012
REVUE INTERNATIONALE DES PRODUITS COLONIAUX 29
La maison coloniale et l'hygiène
La Maison Coloniale devra toujours être tenue en parfait état de propreté
et de désinfection.
Les Hygiénistes modernes se sont appliqués avant tout à supprimer toutes les
causes de contamination en adoptant des lignes sobres et des matériaux impu-
trécibles, qui ne peuvent donner asile aux parasites.
Les plafonds et les planchers seront parfaitement étanches et sans angles
droits, ce qui permettra de fréquents lavages au moyen d'émulsions antiseptiques,
la maison sera protégée du soleil par de larges vérandas et orientée de façon à
recevpir une vaste aération par les vents régnants.
Le soleil est avec les insectes et l'excès d'humidité une des causes des mala-
dies régnant aux colonies, c'est pourquoi il faut pouvoir aérer assez fréquemment
après la désinfection indispensable que l'on pratiquera le plus souvent possible,
des grillages métalliques de 1 m/m 1/2 de maille seront très utiles en outre
pour obturer portes et fenêtres sans empêcher l'air de circuler.
Les- fosses d'aisance seront surveillées de très près, il faudra veiller avec
soin à l'évacuation des immondices et à leur désinfection. N'oubliez pas que
toutes les causes de maladies çontagieuses sont la malpropreté, le manque d'hy-
giène et les insectes ; les moustiques, les mouches et la saleté, sont les grands
pourvoyeurs des hôpitaux et de la mort.
A défaut des fenêtres grillagées, on emploiera les moustiquaires, il faudra
supprimer de l'habitation toutes les eaux stagnantes quelles qu' elles soient,
répandre sur ces eaux une émulsion désinfectante dont l'efficacité ait fait ses
preuves.
*
* *
Nous ne saurions trop insister auprès de nos lecteurs et leur signalons à nouveau un
désinfectant qui a fait ses preuves depuis 45 ans dans toutes les Administrations de
France et des Colonies , ce produit bien connu des Colons et des Agriculteurs par ton
efficacité hors pair a remporté à l'Exposition Coloniale de 1931, la plus haute distinc-
tion « le Grand Prix ». C'est le plus puissant des désinfectants microbicides, il est
complètement exempt de danger pour les hommes et les animaux.
Mais méfiez-vous, chers lecteurs, car du fait de 9a notoriété même, le Crêiyl-J&yeA,
puisqu'il faut le nommer, a été imité, mais jamais égalé. Ne vous contentez pas de
nombreuses imitations qui se trouvent partout. Pour votre sécurité, exigez le « Jeyes »
de la Société Française de Produits Sanitaires et Antiseptiques et dont les. usiné* sont
à Fontenay-sous-Bois (Seine). Demandez à cette Société, qui s'empressera de vous
satisfaire, toutes ses références scientifiques officielles et même un échantillon gratuit
qui vous sera immédiatement envoyé. Avant de terminer cette petits disscctation, nous
ne saurions faire mieux que de citer un petit article qui a paru dans le journal
d'Hygiène Sociale de Juillet 1932, et qui résume ce que nous venons de dire sur le
désinfectant qui s'impose aux Colonies comme ailleurs.
LE CRESYL-JEYES.
La maison coloniale et l'hygiène
La Maison Coloniale devra toujours être tenue en parfait état de propreté
et de désinfection.
Les Hygiénistes modernes se sont appliqués avant tout à supprimer toutes les
causes de contamination en adoptant des lignes sobres et des matériaux impu-
trécibles, qui ne peuvent donner asile aux parasites.
Les plafonds et les planchers seront parfaitement étanches et sans angles
droits, ce qui permettra de fréquents lavages au moyen d'émulsions antiseptiques,
la maison sera protégée du soleil par de larges vérandas et orientée de façon à
recevpir une vaste aération par les vents régnants.
Le soleil est avec les insectes et l'excès d'humidité une des causes des mala-
dies régnant aux colonies, c'est pourquoi il faut pouvoir aérer assez fréquemment
après la désinfection indispensable que l'on pratiquera le plus souvent possible,
des grillages métalliques de 1 m/m 1/2 de maille seront très utiles en outre
pour obturer portes et fenêtres sans empêcher l'air de circuler.
Les- fosses d'aisance seront surveillées de très près, il faudra veiller avec
soin à l'évacuation des immondices et à leur désinfection. N'oubliez pas que
toutes les causes de maladies çontagieuses sont la malpropreté, le manque d'hy-
giène et les insectes ; les moustiques, les mouches et la saleté, sont les grands
pourvoyeurs des hôpitaux et de la mort.
A défaut des fenêtres grillagées, on emploiera les moustiquaires, il faudra
supprimer de l'habitation toutes les eaux stagnantes quelles qu' elles soient,
répandre sur ces eaux une émulsion désinfectante dont l'efficacité ait fait ses
preuves.
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Nous ne saurions trop insister auprès de nos lecteurs et leur signalons à nouveau un
désinfectant qui a fait ses preuves depuis 45 ans dans toutes les Administrations de
France et des Colonies , ce produit bien connu des Colons et des Agriculteurs par ton
efficacité hors pair a remporté à l'Exposition Coloniale de 1931, la plus haute distinc-
tion « le Grand Prix ». C'est le plus puissant des désinfectants microbicides, il est
complètement exempt de danger pour les hommes et les animaux.
Mais méfiez-vous, chers lecteurs, car du fait de 9a notoriété même, le Crêiyl-J&yeA,
puisqu'il faut le nommer, a été imité, mais jamais égalé. Ne vous contentez pas de
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