QUESTIONS SCIENTIFIQUES ET GÉOGRAPHIQUES 1249
A. CHEVALIER. — Les végétaux utiles de l'Afrique tropicale
française, Fasc. V : Bois de la Côte d'Ivoire, pp. 76 et 230-231, (Paris,
Challamel 1909). — Fasc. IX : La forêt et les bois du Gabon, p. 222,
(Paris, Challamel, 1917).
Dr CORRE. — Flore et Faune du Rio-Nunez, Arch., de Médecine
navale, t. XXVI, juillet 1876, p. 25.
DE CANDOLLE. - Prod., t. IV, p. 367.
ENGLER et PRANTL. — Naturl. Pflanzenfam., IV Teil, 4 Abt. p. 59.
FERIS. — Diction. encyclop. Se. Méd., art. « Doundaké » (1884).
HECKEL et SCHLAGDENHAUFFEN. — Du « Doundaké » et de son écorce
dite « Quinquina africain » ou « Kina du Rio-Nunez », au point de vue
botanique, chimique et thérapeutique. — Journ. de Pharmacie et
de Chimie, t. XI, 1885, p. 409 et 468.
HECKEL et SCHLAGDENHAUFFEN. - Du « Doundaké » et de son écorce
dite « Quinquina africain » au point de vue botanique, chimique et
thérapeutique, Arch. de Méd. nav., t. XXXXIV, 1885, p. 447 et
t. XXXX. 1886, p. 38.
OLIVER. - Flora of Tropical Africa, Vol. III, 1877, p. 38.
SABINE. — Trans. Hort. Soc., V., (1824), 442, t. 18. (Sarcocephalus
AFZELIUS, mss. in Herb. Banks.).
R. SADEBECK. — Die Kultur gewàchse der deutsch. Kolonien und
ihre Erzengnisse, p. 343, (Gustav. Fischer, Iéna, 1899).
SCHWEINFÜRTH. — Au cœur de l'Afrique, traduc. française, I, p. 190.
ETUDE CHIMIQUE
DE POIVRES DE L'OUBANGUI
M. LAMBLIN, Gouverneur de l'Oubangui-Chari, a fait par-
venir à l'Agence générale des Colonies, des échantillons d'un
poivre spontané, recueilli et préparé par les soins de M. GUILBAUD
Chef de la subdivision d'Ippy (circonscription de la Ouaka), qui
donne sur la plante productrice, les renseignements suivants :
Liane ligneuse, s'enroulant autour des arbres et atteignant
parfois une grande hauteur. Feuilles alternes, acuminées, palmi-
nervées, vert foncé. Les fruits sont de petites baies rassemblées,
au nombre de 30 à 150, en grappes pendantes, de 5 à 10 cm.
Les indigènes nomment cette plante « Djiou » et distin-
guent des pieds mâles, plus grêles, à feuilles plus développées
et plus allongées, et des pieds femelles, à ramifications nombreuses
et à feuillage plus abondant.
A. CHEVALIER. — Les végétaux utiles de l'Afrique tropicale
française, Fasc. V : Bois de la Côte d'Ivoire, pp. 76 et 230-231, (Paris,
Challamel 1909). — Fasc. IX : La forêt et les bois du Gabon, p. 222,
(Paris, Challamel, 1917).
Dr CORRE. — Flore et Faune du Rio-Nunez, Arch., de Médecine
navale, t. XXVI, juillet 1876, p. 25.
DE CANDOLLE. - Prod., t. IV, p. 367.
ENGLER et PRANTL. — Naturl. Pflanzenfam., IV Teil, 4 Abt. p. 59.
FERIS. — Diction. encyclop. Se. Méd., art. « Doundaké » (1884).
HECKEL et SCHLAGDENHAUFFEN. — Du « Doundaké » et de son écorce
dite « Quinquina africain » ou « Kina du Rio-Nunez », au point de vue
botanique, chimique et thérapeutique. — Journ. de Pharmacie et
de Chimie, t. XI, 1885, p. 409 et 468.
HECKEL et SCHLAGDENHAUFFEN. - Du « Doundaké » et de son écorce
dite « Quinquina africain » au point de vue botanique, chimique et
thérapeutique, Arch. de Méd. nav., t. XXXXIV, 1885, p. 447 et
t. XXXX. 1886, p. 38.
OLIVER. - Flora of Tropical Africa, Vol. III, 1877, p. 38.
SABINE. — Trans. Hort. Soc., V., (1824), 442, t. 18. (Sarcocephalus
AFZELIUS, mss. in Herb. Banks.).
R. SADEBECK. — Die Kultur gewàchse der deutsch. Kolonien und
ihre Erzengnisse, p. 343, (Gustav. Fischer, Iéna, 1899).
SCHWEINFÜRTH. — Au cœur de l'Afrique, traduc. française, I, p. 190.
ETUDE CHIMIQUE
DE POIVRES DE L'OUBANGUI
M. LAMBLIN, Gouverneur de l'Oubangui-Chari, a fait par-
venir à l'Agence générale des Colonies, des échantillons d'un
poivre spontané, recueilli et préparé par les soins de M. GUILBAUD
Chef de la subdivision d'Ippy (circonscription de la Ouaka), qui
donne sur la plante productrice, les renseignements suivants :
Liane ligneuse, s'enroulant autour des arbres et atteignant
parfois une grande hauteur. Feuilles alternes, acuminées, palmi-
nervées, vert foncé. Les fruits sont de petites baies rassemblées,
au nombre de 30 à 150, en grappes pendantes, de 5 à 10 cm.
Les indigènes nomment cette plante « Djiou » et distin-
guent des pieds mâles, plus grêles, à feuilles plus développées
et plus allongées, et des pieds femelles, à ramifications nombreuses
et à feuillage plus abondant.
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