ÉTRANGER 1373
tion et sa culture, etc. traite de la cueillette, de l'emballage et du
mode de vente de ces fruits; enfin, il signale et décrit les prin-
cipaux fléaux qui s'attaquent à cette culture.
Le Bulletin des renseignements frigorifiques, qui analyse ce
travail, indique que dans son résumé l'auteur a tenu â rappeler
que :
A Porto-Rico, l'avocatier pousse à l'état sauvage dans les
vallées, les angles de haies, les cours de ferme et partout où la
graine germe. Les arbres indigènes sont vigoureux et prolifiques.
Le recensement de 1922 constate l'existence de 96.000 avocatiers
en production et de 65.000 jeunes arbres.
Il y a trois espèces ou types d'avocatiers qui poussent à Porto-
Rico, aux Indes occidentales, au Guatemala et au Mexique. Les
arbres indigènes de semences sont tous type West Indian. Les
avocatiers sont d'introduction récente au Guatemala et au
Mexique. Six variétés de Guatemala ont fructifié à Porto-Rico.
Le dernier type d'avocat pour l'exploitation de Porto-Rico sera
probablement un hybride résultant du croisement entre l'indi-
gène et l'avocatier du Guatemala.
En fait, la presque totalité de la production d'avocats de
Porto-Rico se vend actuellement sur les marchés locaux, où les
prix sont généralement de 2 à 10 cents pièce. Des essais d'expé-
dition des avocats indigènes aux marchés du nord n'ont pas eu
de succès pour la plupart.
L'introduction de nouveaux types, particulièrement de celui
de Guatemala, qui est un bon fruit d'exportation, permettra à
Porto-Rico de développer son commerce à ce point de vue.
Vente d'ivoire à Anvers.
La quatrième et dernière vente de l'année a commencé le
31 octobre et s'est terminée le 2 novembre.
Le catalogue comprenait tout d'abord 74.643 kilos. A cette
quantité, vinrent s'ajouter 19.674 kilos, arrivés par le vapeur
Elisabethville, au total 94.317 kilos. Mais lorsque les vendeurs
apprirent qu'une baisse de 20 p. 100 environ s'était produite à
la vente de Londres, ils décidèrent de réduire la quantité offerte
et retirèrent : 18.550 kilos.
Finalement 75.767 kilos passèrent aux enchères sur lesquels
69.154 kilos trouvèrent acquéreurs.
tion et sa culture, etc. traite de la cueillette, de l'emballage et du
mode de vente de ces fruits; enfin, il signale et décrit les prin-
cipaux fléaux qui s'attaquent à cette culture.
Le Bulletin des renseignements frigorifiques, qui analyse ce
travail, indique que dans son résumé l'auteur a tenu â rappeler
que :
A Porto-Rico, l'avocatier pousse à l'état sauvage dans les
vallées, les angles de haies, les cours de ferme et partout où la
graine germe. Les arbres indigènes sont vigoureux et prolifiques.
Le recensement de 1922 constate l'existence de 96.000 avocatiers
en production et de 65.000 jeunes arbres.
Il y a trois espèces ou types d'avocatiers qui poussent à Porto-
Rico, aux Indes occidentales, au Guatemala et au Mexique. Les
arbres indigènes de semences sont tous type West Indian. Les
avocatiers sont d'introduction récente au Guatemala et au
Mexique. Six variétés de Guatemala ont fructifié à Porto-Rico.
Le dernier type d'avocat pour l'exploitation de Porto-Rico sera
probablement un hybride résultant du croisement entre l'indi-
gène et l'avocatier du Guatemala.
En fait, la presque totalité de la production d'avocats de
Porto-Rico se vend actuellement sur les marchés locaux, où les
prix sont généralement de 2 à 10 cents pièce. Des essais d'expé-
dition des avocats indigènes aux marchés du nord n'ont pas eu
de succès pour la plupart.
L'introduction de nouveaux types, particulièrement de celui
de Guatemala, qui est un bon fruit d'exportation, permettra à
Porto-Rico de développer son commerce à ce point de vue.
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La quatrième et dernière vente de l'année a commencé le
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apprirent qu'une baisse de 20 p. 100 environ s'était produite à
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