Titre : L'Agriculture pratique des pays chauds : bulletin du Jardin colonial et des jardins d'essai des colonies françaises
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : France. Inspection générale de l'agriculture coloniale. Auteur du texte
Éditeur : A. Challamel (Paris)
Éditeur : Société d'éditions géographiques, maritimes et colonialesSociété d'éditions géographiques, maritimes et coloniales (Paris)
Date d'édition : 1906-02-01
Contributeur : Perrier, Edmond (1844-1921). Directeur de publication
Contributeur : Wery, Georges Eugène (1861-1936). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34427633b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 14345 Nombre total de vues : 14345
Description : 01 février 1906 01 février 1906
Description : 1906/02/01 (A6,N35)-1906/02/28. 1906/02/01 (A6,N35)-1906/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6419680b
Source : CIRAD, 2012-231834
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
LES KOLATIERS ET LES KOLAS
I. - ZONE NATURELLE. NOIS VULGAIRES. DESCRIPTION.
ESPÈCES ET VARIÉTÉS.
Les kolatiers appartiennent au genre Cola de la famille, des Ster-
culiacées, très voisine de celle des Malvacées, avec laquelle certains
auteurs la réunissent.
Ce sont de beaux arbres qui se rencontrent en Afrique occiden-
tale, à l'état spontané ou cultivés par les noirs, entre le 90 latitude
nord et le 90 latitude sud.
Les Européens en ont fait des plantations, non seulement dans
leurs colonies africaines situées dans la zone naturelle de ces arbres,
mais aussi dans les autres pays tropicaux, et particulièrement dans
quelques colonies des Antilles.
Voici quelques noms vulgaires de leurs fruits :
Noix de kola, kola, ou cola, en français;
Kolanüsse, en allemand ;
Kola nuts ou kola, en anglais ; •
Kolanoot, en hollandais ;
N'gourou, en ouolof (Sénégal) ;
Onoro, en bambara (Haut-Sénégal et Niger) ;
Goro, en saracolet (Haut-Sénégal et Niger);
Gorro, en songhaï (Moyen-Niger) ;
Goroyé, en foulbé (Haut-Sénégal et Niger) ;
Go, en dionla (Côte d'Ivoire), d'après l'explorateur Wœlffel;
Touré, en guéyé (Côté d'Ivoire), d'après Wœlffel ;
Ombene (Gabon).
Les kolatiers ont une racine pivotante. Leur tronc est assez élancé
et leur feuillage épais. Leurs fleurs, pourvues d'un calice à cinq
lobes, dépourvues de corolle, sont diclines par avortement, c'est-
à-dire manquent, soit d'étamines normalement développées, soit de
pistil ; des fleurs mâles et des fleurs femelles sont réunies sur le même
pied ; dans les fleurs mâles, les étamines sont disposées en cercles.
I. - ZONE NATURELLE. NOIS VULGAIRES. DESCRIPTION.
ESPÈCES ET VARIÉTÉS.
Les kolatiers appartiennent au genre Cola de la famille, des Ster-
culiacées, très voisine de celle des Malvacées, avec laquelle certains
auteurs la réunissent.
Ce sont de beaux arbres qui se rencontrent en Afrique occiden-
tale, à l'état spontané ou cultivés par les noirs, entre le 90 latitude
nord et le 90 latitude sud.
Les Européens en ont fait des plantations, non seulement dans
leurs colonies africaines situées dans la zone naturelle de ces arbres,
mais aussi dans les autres pays tropicaux, et particulièrement dans
quelques colonies des Antilles.
Voici quelques noms vulgaires de leurs fruits :
Noix de kola, kola, ou cola, en français;
Kolanüsse, en allemand ;
Kola nuts ou kola, en anglais ; •
Kolanoot, en hollandais ;
N'gourou, en ouolof (Sénégal) ;
Onoro, en bambara (Haut-Sénégal et Niger) ;
Goro, en saracolet (Haut-Sénégal et Niger);
Gorro, en songhaï (Moyen-Niger) ;
Goroyé, en foulbé (Haut-Sénégal et Niger) ;
Go, en dionla (Côte d'Ivoire), d'après l'explorateur Wœlffel;
Touré, en guéyé (Côté d'Ivoire), d'après Wœlffel ;
Ombene (Gabon).
Les kolatiers ont une racine pivotante. Leur tronc est assez élancé
et leur feuillage épais. Leurs fleurs, pourvues d'un calice à cinq
lobes, dépourvues de corolle, sont diclines par avortement, c'est-
à-dire manquent, soit d'étamines normalement développées, soit de
pistil ; des fleurs mâles et des fleurs femelles sont réunies sur le même
pied ; dans les fleurs mâles, les étamines sont disposées en cercles.
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