Titre : Revue des cultures coloniales
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1899-04-05
Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134
Description : 05 avril 1899 05 avril 1899
Description : 1899/04/05 (A3,N26,T4). 1899/04/05 (A3,N26,T4).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64182938
Source : CIRAD, 2012-231823
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
3° ANNÉE. TOME IV. N° 26. 5 AVRIL 1899.
REVUE
DES
CULTURES COLONIALES
SOMMAIRE : Les plantes utiles du Sénégal (fin) : A. SÉBIRE.
Variétés. Le café et le cacao à Madagascar: DE SARDELYS. La culture du café au Brésil
(fin). Rapport du Président de la Chambre d'agriculture de la Pointe-à-Pitre : SERGENT-
ALLÉAUME. Le café dans l'Etat de Saô-Paulo (fin) : A.-R. CONTY.
Revue Commerciale.
MONSIEUR CH. NAUDIN.
Nous avons la douleur d'apprendre la mort de M. Naudin, membre de l'Institut,
qui avait bien voulu accepter de faire partie du comité de patronage de la Revue
des Cultures Coloniales.
- Nous ne saurions manquer de rendre hommage à la mémoire de l'homme
éminent par l'esprit et le cœur qui méritait l'affection de tous ceux qui l'ont
connu et la haute estime du monde scientifique.
M. Naudin était né en 1815 ; sa longue vie a été ennoblie par le travail, par
l'amour désintéressé de la vérité scientifique. Il lutta durant sa jeunesse avec
un admirable courage, non pas pour acquérir la fortune, mais pour conquérir
ses grades, pour achever ses premières recherches botaniques, et multiplier
les services qu'il rendit à la science en multipliant ses travaux.
A peine nommé membre de l'Académie des Scienées (1863), sa santé l'obligea
à quitter Paris et le Muséum où depuis vingt-deux ans il avait poursuivi ses
recherches.
Après 15 ans d'une retraite studieuse à Collioure, M. Naudin était appelé à la
Direction de la villa Thuret à Antibes. Pendant vingt ans il consacra tout son
talent et toutes ses forces au développement, de ce véritable jardin colonial et
d'acclimatation. C'est là que la mort est venue le surprendre.
Nous prions sa famille de bien vouloir agréer l'hommage de nos complimente
de condoléance.
D. ZOLLA.
REVUE
DES
CULTURES COLONIALES
SOMMAIRE : Les plantes utiles du Sénégal (fin) : A. SÉBIRE.
Variétés. Le café et le cacao à Madagascar: DE SARDELYS. La culture du café au Brésil
(fin). Rapport du Président de la Chambre d'agriculture de la Pointe-à-Pitre : SERGENT-
ALLÉAUME. Le café dans l'Etat de Saô-Paulo (fin) : A.-R. CONTY.
Revue Commerciale.
MONSIEUR CH. NAUDIN.
Nous avons la douleur d'apprendre la mort de M. Naudin, membre de l'Institut,
qui avait bien voulu accepter de faire partie du comité de patronage de la Revue
des Cultures Coloniales.
- Nous ne saurions manquer de rendre hommage à la mémoire de l'homme
éminent par l'esprit et le cœur qui méritait l'affection de tous ceux qui l'ont
connu et la haute estime du monde scientifique.
M. Naudin était né en 1815 ; sa longue vie a été ennoblie par le travail, par
l'amour désintéressé de la vérité scientifique. Il lutta durant sa jeunesse avec
un admirable courage, non pas pour acquérir la fortune, mais pour conquérir
ses grades, pour achever ses premières recherches botaniques, et multiplier
les services qu'il rendit à la science en multipliant ses travaux.
A peine nommé membre de l'Académie des Scienées (1863), sa santé l'obligea
à quitter Paris et le Muséum où depuis vingt-deux ans il avait poursuivi ses
recherches.
Après 15 ans d'une retraite studieuse à Collioure, M. Naudin était appelé à la
Direction de la villa Thuret à Antibes. Pendant vingt ans il consacra tout son
talent et toutes ses forces au développement, de ce véritable jardin colonial et
d'acclimatation. C'est là que la mort est venue le surprendre.
Nous prions sa famille de bien vouloir agréer l'hommage de nos complimente
de condoléance.
D. ZOLLA.
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