Titre : Revue internationale des produits coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1937-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343784169
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7259 Nombre total de vues : 7259
Description : 01 août 1937 01 août 1937
Description : 1937/08/01 (A12,N140)-1937/09/30 (A12,N141). 1937/08/01 (A12,N140)-1937/09/30 (A12,N141).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6413834x
Source : CIRAD, 2012-231858
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
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- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 249
- .......... Page(s) .......... 260
- .......... Page(s) .......... 263
- .......... Page(s) .......... 266
Nos produits coloniaux: La Banane- .......... Page(s) .......... 271
- .......... Page(s) .......... 277
- .......... Page(s) .......... 280
Chronique douanière:- .......... Page(s) .......... 282
2é4 REVUE INTERNATIONALE DES PRODUITS COLONIAUX
L'analyse d'un grand nombre de périodiques et d'ouvrages traitant de techno-
phytologie, d'une part, et l'examen détaillé des périodiques de références biblio-
graphiques, d'autre part, montrent tous les jours qu'actuellement encore, on ne
peut très souvent pas obtenir les références bibliographiques désirables, ni même
être amené après de laborieuses recherches, à connaître la simple existence de
publications intéressantes dans un court délai.
Tous les chercheurs savent combien fréquemment il en résulte des retards,
des omissions, des erreurs même, et l'intervention de facteurs défavorables simi-
laires tant dans le travail scientifique expérimental que dans l'élaboration de
documents descriptifs préliminaires ou finaux.
En s'appliquant, cependant, à observer rigoureusement d'une manière géné-
rale un certain nombre de principes fondamentaux dans leurs études et publica-
tions phytographiques, les auteurs peuvent certainement arriver à réduire les
probabilités d'intervention de ces facteurs défavorables.
C'est là un des buts immédiats que doivent inlassablement poursuivre tous
ceux qui sont convaincus des possibilités illimitées d'utilisation des produits
végétaux dans toutes les industries. La nature organique de l'homme, en effet,
lui impose rationnellement l'emploi de ces matières premières organiques.
Soulignons immédiatement que les principes en question, énoncés plus loin,
sont d'ailleurs d'application relativement aisée et tendent à être universellement
admis, en théorie, sinon observés en pratique.
Ces principes sont basés notamment sur les règles et conventions internatio-
nales proposées et perfectionnées au cours des sessions des grands Congrès
internationaux de Botanique (1900, 1905, 1910, 1928, 1930, 1935).
Le Congrès International de Botanique de 1935, tenu à Amsterdam, réalisa,
il faut le noter, un accord tout à fait remarquable entre les botanistes des
Etats-Unis d'Amérique et tous les autres, ceux-ci n'ayant pu jusqu'alors obtenir
l'adhésion des premiers à un certain nombre de règles de nomenclature et de
phytographie.
On sait que le principe de la diagnose latine, notamment, fut, enfin, en 1935,
adopté à l'unanimité.
Ce principe doit naturellement assurer l'internationalisation de la terminologie
phytographique pour les éléments phytographiques essentiels.
Le Système décimal aussi, a été adopté pour les données numériques de la
phytographie et ce n'est pas un des moindres résultats !
Tous les auteurs semblent actuellement avoir reconnu l'impossibilité de doter
une science appliquée de principes fondamentalement différents de ceux qui se
trouvent à la base de la science pure respective.
La théorie et la pratique, bien plus, dans la recherche scientifique, sont
inséparables et la science appliquée est, en somme, l'extension dimensionnelle
progressive des expériences de laboratoire à l'échelle industrielle.
Rien ne peut justifier un dualisme terminologique, une pluralité de systèmes
métrologiques dans les études de science pure et dans celles de ses applications.
L'unité terminologique, métrologique, doit être l'objectif.
Ainsi donc, la phytographie générale et les phytographies spéciales, tel!e la
techncphytographie, ont à faire usage d'une seule et même terminologie (mé-
trologique, y comprise).
Les phytomorphologistes ont montré, depuis longtemps, toute la valeur poten-
L'analyse d'un grand nombre de périodiques et d'ouvrages traitant de techno-
phytologie, d'une part, et l'examen détaillé des périodiques de références biblio-
graphiques, d'autre part, montrent tous les jours qu'actuellement encore, on ne
peut très souvent pas obtenir les références bibliographiques désirables, ni même
être amené après de laborieuses recherches, à connaître la simple existence de
publications intéressantes dans un court délai.
Tous les chercheurs savent combien fréquemment il en résulte des retards,
des omissions, des erreurs même, et l'intervention de facteurs défavorables simi-
laires tant dans le travail scientifique expérimental que dans l'élaboration de
documents descriptifs préliminaires ou finaux.
En s'appliquant, cependant, à observer rigoureusement d'une manière géné-
rale un certain nombre de principes fondamentaux dans leurs études et publica-
tions phytographiques, les auteurs peuvent certainement arriver à réduire les
probabilités d'intervention de ces facteurs défavorables.
C'est là un des buts immédiats que doivent inlassablement poursuivre tous
ceux qui sont convaincus des possibilités illimitées d'utilisation des produits
végétaux dans toutes les industries. La nature organique de l'homme, en effet,
lui impose rationnellement l'emploi de ces matières premières organiques.
Soulignons immédiatement que les principes en question, énoncés plus loin,
sont d'ailleurs d'application relativement aisée et tendent à être universellement
admis, en théorie, sinon observés en pratique.
Ces principes sont basés notamment sur les règles et conventions internatio-
nales proposées et perfectionnées au cours des sessions des grands Congrès
internationaux de Botanique (1900, 1905, 1910, 1928, 1930, 1935).
Le Congrès International de Botanique de 1935, tenu à Amsterdam, réalisa,
il faut le noter, un accord tout à fait remarquable entre les botanistes des
Etats-Unis d'Amérique et tous les autres, ceux-ci n'ayant pu jusqu'alors obtenir
l'adhésion des premiers à un certain nombre de règles de nomenclature et de
phytographie.
On sait que le principe de la diagnose latine, notamment, fut, enfin, en 1935,
adopté à l'unanimité.
Ce principe doit naturellement assurer l'internationalisation de la terminologie
phytographique pour les éléments phytographiques essentiels.
Le Système décimal aussi, a été adopté pour les données numériques de la
phytographie et ce n'est pas un des moindres résultats !
Tous les auteurs semblent actuellement avoir reconnu l'impossibilité de doter
une science appliquée de principes fondamentalement différents de ceux qui se
trouvent à la base de la science pure respective.
La théorie et la pratique, bien plus, dans la recherche scientifique, sont
inséparables et la science appliquée est, en somme, l'extension dimensionnelle
progressive des expériences de laboratoire à l'échelle industrielle.
Rien ne peut justifier un dualisme terminologique, une pluralité de systèmes
métrologiques dans les études de science pure et dans celles de ses applications.
L'unité terminologique, métrologique, doit être l'objectif.
Ainsi donc, la phytographie générale et les phytographies spéciales, tel!e la
techncphytographie, ont à faire usage d'une seule et même terminologie (mé-
trologique, y comprise).
Les phytomorphologistes ont montré, depuis longtemps, toute la valeur poten-
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