Revue internationale des produits coloniaux

1934
1935
1936
1937

Jan.
Fev.
Mars
Avr.
Mai
Juin
Juil.
Août
Sept.
Oct.
Nov.
Dec.

Presse et revues

44 pages

Titre : Revue internationale des produits coloniaux

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1937-04-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343784169

Type : texte texte

Type : publication en série imprimée publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 7259 Nombre total de vues : 7259

Description : 01 avril 1937 01 avril 1937

Description : 1937/04/01 (A12,N136)-1937/04/30. 1937/04/01 (A12,N136)-1937/04/30.

Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad

Droits : Consultable en ligne

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6413831p

Source : CIRAD, 2012-231858

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 12/08/2013

Aller à la page de la table des matièresNP
SOMMAIRE
- Bananes - Oléagineux - Riz
  - Les cultures fruitières au Congo Belge
    L. PYNAERT Directeur du Jardin Colonial de Laeken.
    .......... Page(s) .......... 121
  - La culture de la Banane en Guyane Française
    D. ADAM
    .......... Page(s) .......... 125
  - Les Oléagineux de l'Inde et de l'Extrême Asie
    X
    .......... Page(s) .......... 133
  - Une technique moderne en huilerie
    R. G
    .......... Page(s) .......... 138
  - L'Electricité au service des exploitations coloniales
    G. ADAMFI Ingénieur en Chef.
    .......... Page(s) .......... 140
  - Le Riziculture à Madagascar
    M. FRANÇOIS Inspecteur Général d'Agriculture.
    .......... Page(s) .......... 145

REVUE INTERNATIONALE DES PRODUITS COLONIAUX 121

Les cultures fruitières
au Congo belge *
par L. PYNAERT,
Directeur du Jardin Colonial de Laeken (Belgique)

L'intérêt que l'on prête actuellement aux cultures fruitières au Congo Belge,
très justifié d'ailleurs, résulte incontestablement de la propagande exercée, en
vue des plantations de l'espèce, dans les publications du Ministère des Colonies,
éditées à Bruxelles et en ordre principal par la voie du Bulletin Agricole du
Congo Belge.

On a insisté sur les soins qu'ont pris les premiers explorateurs du Congo pour
introduire des plantes utiles dans toutes les stations qu'ils fondaient. Avec l'ins-
tallation du Jardin d'Essais de Kisantu (Bas-Congo) en 1893 et celle du Jardin
botanique d'Eala (district de l'Equateur) en 1900, on voit l'établissement de
cultures durables, la propagation et la dispersion des variétés les meilleures et
les mieux adaptées au climat.

En 1910, on assiste au développement du service technique de l'Agriculture.

M. le Directeur Général Leplae prescrit à ses subordonnés de pousser à la
plantation, au Congo, des essences fruitières et de publier des études tendant
à faire valoir l'intérêt économique de ces cultures.

En 1914, paraît une monographie de l'Avocatier dans laquelle déjà on insiste
sur l'importance du choix des variétés et sur la possibilité d'exporter ce fruit
au Congo.

En 1919, paraît sur le même thème l'étude du Manguier; en 1920 celle
des Bananiers. Peu après, les Sociétés agricoles du Mayumbe (Congo Belge)
établirent quelques hectares de bananiers et exportèrent des fruits, mais les
vapeurs faisant le service Belgique-Congo manquaient d'installations destinées
au transport de cette marchandise périssable et le pourcentage de pertes fut
assez élevé.

La brochure intitulée « La Culture de l'Ananas en Floride » et publiée en
1925, faisait connaître les ressources pouvant être tirées de la culture et de
l'exportation de ce fruit quand il est cultivé d'une façon aussi perfectionnée
qu'aux Etats-Unis.

Le « Bulletin Agricole du Congo Belge » de 1930, pp. 1354 à 1357, dans
une note ayant pour titre « L'Arboriculture Fruitière des Régions tropicales »
rappelait les introductions de plantes à fruits nouvelles pour l'Afrique centrale
qui avaient été faites, la prospérité acquise par des Colonies exportant des fruits
et recommandait une même industrie pour le Congo Belge.

Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.

Page

chiffre de pagination vue 3/44