Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/11/2012
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BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
III. — Bois d'un poids inférieur à celui du chêne.
Ul Ul o S w g g« H M g w - g E-< 00 > O d g Õ 1 NOM LOCAL 00 - 03 S 3 H 3 eu ? J J P* - fn z 'M fs M W lZ1 O S En W s g 8 0 00 Angélique. 0.746 ¡ 0.351 215 » 207 Ragasse. 0.7^5 1.130 215 » 151 Bois cruzeau.:. 0.611 1.077 142 2,51 192 Bois encens 0.662 0.856 186 » 158 Bois sucré. 0.565 0.792 169 2,48 173 Bois violet. 0.771 0.967 231 » 182 Carapa 0.659 0.830 171 2,15 177 Cèdre noir. 0.648 0.806 184 » 141 Cèdre blanc.,. 0.331 0.401 63 5,10 122 Grignon franc. 0.714 0.936 172 » 150 1.039 146 2,79 183 Grignon fou. 0.577 1.039 146 2,79 183 Mouchigot. 0.730 0.871 178» 166 Palétuvier blanc. 0.768 1.104 146 2,62 181 Sassafras. , 0.577 0.763 156 » 153 Simarouba 0.403 0.548 96 3,74 156 Yayarnadou ., 0.364 0.656 73 3,97 98
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Un point reste donc bien acquis : les forêts guyanaises pourront livrer à la consommation en toutes proportions et pour des temps presque illimités des bois de toutes catégories et de tous usages, depuis les bois d'ébénisterie de luxe dit « bois des Iles » tels que les satinés (amourettes) bois de letters (abeilles) bois violet (amaranthe ) etc. jusqu'aux bois de caissage (cèdres, simarouba) en passant par les bois de constiuction, les traverses de chemins de fer et les planches.
L'objection qu'on adresse à ceux qui proposent l'emploi des bois guyanais sur le marché français peut se résumer ainsi : les bois de la Guyane ne sont pas connus, ou peu connus, en
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