Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1928-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 avril 1928 01 avril 1928
Description : 1928/04/01 (A21,N232)-1928/04/30. 1928/04/01 (A21,N232)-1928/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6410644p
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
- Aller à la page de la table des matières397
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
Pages.- .......... Page(s) .......... 399
- Informations:
- .......... Page(s) .......... 499
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- .......... Page(s) .......... 500
- .......... Page(s) .......... 508
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- .......... Page(s) .......... 509
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- .......... Page(s) .......... 521
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- .......... Page(s) .......... 524
- .......... Page(s) .......... 524
- .......... Page(s) .......... 526
- .......... Page(s) .......... 529
- Statistiques - Rapports commerciaux:
- .......... Page(s) .......... 534
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 565
- .......... Page(s) .......... 566
INFORMATIONS 509
Calos les plus rémunératrices. Le Journal Officiel de la Martinique
Signale en effet que :
« Un syndicat ayant pour but l'extension, dans la colonie,
des cultures secondaires, principalement l'extension de la
Culture du bananier, des ananas et autres fruits de la Martinique,
en vue de leur exportation en France et, s'il y a lieu, en Amé-
tique, a été fondé à Fort-de-France.
Toutes les personnes désirant adhérer à ce syndicat sont
Priées de vouloir bien en informer M. DOLÉ, propriétaire-
agriculteur, président du syndicat, ou M. BORDAZ, à Fort-
de-France. Une assemblée générale sera convoquée aussitôt
qUe le chiffre des adhérents sera suffisamment élevé. »
Si l'on considère que, dans l'exportation des bananes, la
gestion de l'embarquement à bord des navires est l'une des plus
délicates à bien résoudre, on se rendra immédiatement compte
qUe la Martinique, tout aussi bien que la Guadeloupe, qui, l'une
et l'autre possèdent de bonnes rades, bien connues et fréquentés
assidûment par de nombreux vapeurs et voiliers, et dont
hydrographie et le balisage ont été faits depuis longtemps, sont
considérablement plus avantagées que toutes nos possessio: s de
la Côte occidentale d'Afrique.
G.P.
Ennemis et maladies des plantes cultivées à la Guadeloupe
et dans ses dépendances.
Le correspondant officiel de l'Institut international d'agricul-
1 de Rome, M. A. BUFFON, chef du service de l'agriculture
du gouvernement de la Guadeloupe et dépendants, en rési-
dence à Basse-Terre, a noté le résultat de ses observations sur
les ennemis et maladies qui, à la Guadeloupe et dans les petites
llos ses voisines et satellites, peuvent atteindre les plantes
cUltivées, et il en fait l'objet d'une fort intéressante communi-
Cation à cet organisme scientifique. La Revue de l'Institut inter-
nctilnal d'agriculture en a publié une partie, dont nous extrayons
les Passages suivants :
I. - ENNEMIS
« -V point de vue paraitologiquc, les cultures guadelou-
Peennps n'ont pas, en général, d'ennemis assez dangereux pour
, rcei l'attention des agriculteurs. Nos cultures n'ont jamais eu
a subir de ces épidémies massives qui réduisent à néant les
Calos les plus rémunératrices. Le Journal Officiel de la Martinique
Signale en effet que :
« Un syndicat ayant pour but l'extension, dans la colonie,
des cultures secondaires, principalement l'extension de la
Culture du bananier, des ananas et autres fruits de la Martinique,
en vue de leur exportation en France et, s'il y a lieu, en Amé-
tique, a été fondé à Fort-de-France.
Toutes les personnes désirant adhérer à ce syndicat sont
Priées de vouloir bien en informer M. DOLÉ, propriétaire-
agriculteur, président du syndicat, ou M. BORDAZ, à Fort-
de-France. Une assemblée générale sera convoquée aussitôt
qUe le chiffre des adhérents sera suffisamment élevé. »
Si l'on considère que, dans l'exportation des bananes, la
gestion de l'embarquement à bord des navires est l'une des plus
délicates à bien résoudre, on se rendra immédiatement compte
qUe la Martinique, tout aussi bien que la Guadeloupe, qui, l'une
et l'autre possèdent de bonnes rades, bien connues et fréquentés
assidûment par de nombreux vapeurs et voiliers, et dont
hydrographie et le balisage ont été faits depuis longtemps, sont
considérablement plus avantagées que toutes nos possessio: s de
la Côte occidentale d'Afrique.
G.P.
Ennemis et maladies des plantes cultivées à la Guadeloupe
et dans ses dépendances.
Le correspondant officiel de l'Institut international d'agricul-
1 de Rome, M. A. BUFFON, chef du service de l'agriculture
du gouvernement de la Guadeloupe et dépendants, en rési-
dence à Basse-Terre, a noté le résultat de ses observations sur
les ennemis et maladies qui, à la Guadeloupe et dans les petites
llos ses voisines et satellites, peuvent atteindre les plantes
cUltivées, et il en fait l'objet d'une fort intéressante communi-
Cation à cet organisme scientifique. La Revue de l'Institut inter-
nctilnal d'agriculture en a publié une partie, dont nous extrayons
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I. - ENNEMIS
« -V point de vue paraitologiquc, les cultures guadelou-
Peennps n'ont pas, en général, d'ennemis assez dangereux pour
, rcei l'attention des agriculteurs. Nos cultures n'ont jamais eu
a subir de ces épidémies massives qui réduisent à néant les
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