Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1932-04-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 avril 1932 01 avril 1932
Description : 1932/04/01 (FASC1,VOL7)-1932/04/30. 1932/04/01 (FASC1,VOL7)-1932/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64102004
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 1
- .......... Page(s) .......... 17
- TRAVAUX DE LA SECTION DES COTONS
- EXTRAITS ET ANALYSES
- .......... Page(s) .......... 37
- .......... Page(s) .......... 39
- .......... Page(s) .......... 43
- .......... Page(s) .......... 44
- .......... Page(s) .......... 45
- .......... Page(s) .......... 52
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 59
- .......... Page(s) .......... 61
- .......... Page(s) .......... 62
EXTRAITS ET ANALYSES 51
cordons. Le fait que les cordons poussent à travers de longs tubes de
sable, trois fois de suite, sans stérilisation nouvelle du sable, indique
que le mycélium n'a pas laissé de substances toxiques dans le sol.
Dans un tube de verre de 0 m. 60, les cordons mycéliens avancent
de 5 1 1 millimètres en 31 jours et développent des sclérotes en grande
quantité sur une longueur de 250 millimètres. Quelques cordons se
différencient des autres par la vigueur de leur croissance et la facilité
de développement à leur surface de sclérote.
Il est possible que les différences de comportement du parasite dans
ls localités infestées s'expliquent par de telles variations. Dans d'an-
ciennes cultures sur milieux artificiels, le parasite se maintient vivant
Pendant de longues périodes.
S. SuNDARARAMAN. — Administration report of the mycologist,
Coimbatore, 1929-30. (Rapport administratif du mycotogiste, Coim-
batore, 1929-30.) Rev. App. MycoL, X, 6, 1931, p. 360.
Maladies du cotonnier. — La pourriture de la capsule et la flé-
trissure des plantules de cotonnier (Gossypium herbaceum) causées
Par Colletotrichum (Vermicularia), causent une perte moyenne de
Poids de 48,4 de la graine de cotonnier et une réduction au pour-
centage à l'égrenage de 9,8
Les pourcentages de plantules infestées venant de deux lots de
capsules malades étaient respectivement de 29 et 34, tandis que celles
venant de capsules saines étaient presque entièrement indemnes de
rouille. Le parasite, cause de la maladie, vivait sur une plante herbacée
sauvage : Aristolochia bracteata; des essais d'inoculation à G. herba-
Ceum du parasite végétant sur Aristoloche ont donné des résultats
Positifs.
G. LINDEGG. — Marciume del Colleto di Piantine di Cotone
Append Germinanti. (Pourriture du collet de jeunes plantules de
cotonnier.) Riv. Pat. Veg., XX, 1-2, 1930, pp. 9-17.
Description d'une pourriture annulaire de jeunes plantules de co-
tonnier poussant dans un châssis où des tomates, quelques semaines au-
paravant, avaient été détruites dans les mêmes conditions. La racine
et une partie de l'axe hypocotylé étaient pourris, flasques et décolorés,
les cotylédons devenaient jaunes et mous, roulés aux bords, et les plan-
cordons. Le fait que les cordons poussent à travers de longs tubes de
sable, trois fois de suite, sans stérilisation nouvelle du sable, indique
que le mycélium n'a pas laissé de substances toxiques dans le sol.
Dans un tube de verre de 0 m. 60, les cordons mycéliens avancent
de 5 1 1 millimètres en 31 jours et développent des sclérotes en grande
quantité sur une longueur de 250 millimètres. Quelques cordons se
différencient des autres par la vigueur de leur croissance et la facilité
de développement à leur surface de sclérote.
Il est possible que les différences de comportement du parasite dans
ls localités infestées s'expliquent par de telles variations. Dans d'an-
ciennes cultures sur milieux artificiels, le parasite se maintient vivant
Pendant de longues périodes.
S. SuNDARARAMAN. — Administration report of the mycologist,
Coimbatore, 1929-30. (Rapport administratif du mycotogiste, Coim-
batore, 1929-30.) Rev. App. MycoL, X, 6, 1931, p. 360.
Maladies du cotonnier. — La pourriture de la capsule et la flé-
trissure des plantules de cotonnier (Gossypium herbaceum) causées
Par Colletotrichum (Vermicularia), causent une perte moyenne de
Poids de 48,4 de la graine de cotonnier et une réduction au pour-
centage à l'égrenage de 9,8
Les pourcentages de plantules infestées venant de deux lots de
capsules malades étaient respectivement de 29 et 34, tandis que celles
venant de capsules saines étaient presque entièrement indemnes de
rouille. Le parasite, cause de la maladie, vivait sur une plante herbacée
sauvage : Aristolochia bracteata; des essais d'inoculation à G. herba-
Ceum du parasite végétant sur Aristoloche ont donné des résultats
Positifs.
G. LINDEGG. — Marciume del Colleto di Piantine di Cotone
Append Germinanti. (Pourriture du collet de jeunes plantules de
cotonnier.) Riv. Pat. Veg., XX, 1-2, 1930, pp. 9-17.
Description d'une pourriture annulaire de jeunes plantules de co-
tonnier poussant dans un châssis où des tomates, quelques semaines au-
paravant, avaient été détruites dans les mêmes conditions. La racine
et une partie de l'axe hypocotylé étaient pourris, flasques et décolorés,
les cotylédons devenaient jaunes et mous, roulés aux bords, et les plan-
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