736 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
de l'huile à un point ne permettant plus de l'employer en
peinture.
Voici, d'après M. Henry-A. GARDNER (Papers on Paint
and Varnish), divers procédés brevetés pour la désodorisation
des huiles de poisson.
Traitement par l'azone (A. de NEMPTINNE) ; chauffage dans
le vide à 350-400° (E. BOEHM) ; par la vapeur surchauffée,
craie et charbon (E. PETERSON et II. HOLSTEIN) ; traitement
par l'acide sulfurique concentré (SANHERG); par les acides
sulfurique et nitrique (POTOLOWSKI); obtention d'acides gras
inodores par saponification de l'huile de poisson par la chaux,
et décomposition du savon de chaux par l'acide sulfureux
(BOTTARO); émulsion de l'huile avec l'alcool,lavage à l'eau chaude
après séparation de l'alcool et traitement par la terre à foulon
ou le.charbon animal (0. H. J. MELFLING) ; traitement par 6 à
8 volumes d'alcool à 70°, lavage à l'eau chaude et traitement
par la terre à foulon à 75°-80° (HEYDEN) ; traitement de
l'acide sébacique des huiles de baleine et de poisson par
l'hypochlorite de sodium contenant le moins de soude caustique
possible (S. H. GOLDSCHMIDT et C. JOLGENSEN) ; chauffage à
270°-300° pendant plusieurs heures (F. BERGINS) ; chauffage à
200°, puis traitement par la vapeur en présence de subtances
basiques, notamment des oxydes ou hydroxyde-s alcalins,
alcalino-terreux ou d'autres métaux.
M.Henry A. GARDNER observe que dans un autre ordre,
on peut masquer l'odeur désagréable de l'huile de poisson
en y ajoutant, par exemple, 10 p. 100 d'huile de pin.
(La Nature.)
Nouvelle horloge florale.
Depuis LINNE, on sait qu'on peut composer dans les jardins
une horloge de Flore dont les heures sont indiquées par l'épa-
nouissement successif de différentes fleurs. Cette curiosité
horticole a été fréquemment réalisée. La seule difficulté est
de choisir des plantes fleurissant toutes dans la même saison,
en même temps..
Le Journal of Américan Pharmaceutical Association propose
la série des plantes suivantes fleurissant toutes en juin
et juillet :
Épervière jaune (Hieracium aurantiaca), qui s'ouvre à 6 heures
du matin; ,
•
de l'huile à un point ne permettant plus de l'employer en
peinture.
Voici, d'après M. Henry-A. GARDNER (Papers on Paint
and Varnish), divers procédés brevetés pour la désodorisation
des huiles de poisson.
Traitement par l'azone (A. de NEMPTINNE) ; chauffage dans
le vide à 350-400° (E. BOEHM) ; par la vapeur surchauffée,
craie et charbon (E. PETERSON et II. HOLSTEIN) ; traitement
par l'acide sulfurique concentré (SANHERG); par les acides
sulfurique et nitrique (POTOLOWSKI); obtention d'acides gras
inodores par saponification de l'huile de poisson par la chaux,
et décomposition du savon de chaux par l'acide sulfureux
(BOTTARO); émulsion de l'huile avec l'alcool,lavage à l'eau chaude
après séparation de l'alcool et traitement par la terre à foulon
ou le.charbon animal (0. H. J. MELFLING) ; traitement par 6 à
8 volumes d'alcool à 70°, lavage à l'eau chaude et traitement
par la terre à foulon à 75°-80° (HEYDEN) ; traitement de
l'acide sébacique des huiles de baleine et de poisson par
l'hypochlorite de sodium contenant le moins de soude caustique
possible (S. H. GOLDSCHMIDT et C. JOLGENSEN) ; chauffage à
270°-300° pendant plusieurs heures (F. BERGINS) ; chauffage à
200°, puis traitement par la vapeur en présence de subtances
basiques, notamment des oxydes ou hydroxyde-s alcalins,
alcalino-terreux ou d'autres métaux.
M.Henry A. GARDNER observe que dans un autre ordre,
on peut masquer l'odeur désagréable de l'huile de poisson
en y ajoutant, par exemple, 10 p. 100 d'huile de pin.
(La Nature.)
Nouvelle horloge florale.
Depuis LINNE, on sait qu'on peut composer dans les jardins
une horloge de Flore dont les heures sont indiquées par l'épa-
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et juillet :
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