INFORMATIONS 1399
A la demande de l'expéditeur, des essais de cette laque eu-
rent lieu en présence de connaisseurs. Les objets laqués avec le
son nhat furent reconnus comparables, comme aspect, à ceux
vernis et colorés avec la laque japonaise. A partir de ce moment,
l'opinion changea sur la qualité de la laque du Tonkin, qui est
maintenant très appréciée.
Il peut être bon de rappeler que la Société de laque indo-
chinoise est installée à Paris et qu'elle est en mesure de faire
connaître l'admirable parti que l'on peut tirer de ces merveilleux
vernis d'Extrême-Orient. La laque peut, en effet, non seulement
embellir, mais protéger au maximum de nombreux objets d'uti-
lité courante et, par conséquent, prolonger considérablement,
leur durée. Cette industrie d'Extrême-Orient, introduite en
France, est appelée à un avenir dont on ne peut prévoir le déve-
loppement, tellement il apparaît sans limite.
(Annales de l'Institut colonial de Bordeaux.)
Les bananes et les ananas de Guinée.
La Guinée française est, comme on le sait, enclavée à
l'Est par la Guinée portugaise à peine mise en valeur, et au
Sud par le Sierra-Leone dont la prospérité n'atteint pas et de
beaucoup celle de notre Guinée. La production des bananes
est en plein essor et une seule raison empêchait que cette
culture prit un très grand développement; le manque de
Moyens de transport. Il faut à la banane des soins spéciaux,
des cales à température basse et des transports rapides. Les
ananas, autre fruit naturel, commencent eux aussi à faire l'objet
d'une culture rationnelle et sont de plus en plus demandés en
Europe. Déjà huit grandes exploitations françaises font la
banane et l'ananas et ont formé un syndicat qui a acheté un
vapeur spécialement aménagé pour le transport des fruits exo-
tiques. C'est la première fois dans les colonies françaises que
des producteurs se font transporteurs.
(Correspondance universelle.)
La culture du bananier nain en Guinée française.
Nous extrayons d'un intéressant rapport de M. l'ingénieur
d'agriculture CHILLIOU, les renseignements suivants sur la culture
bananier nain en Guinée française.
A la demande de l'expéditeur, des essais de cette laque eu-
rent lieu en présence de connaisseurs. Les objets laqués avec le
son nhat furent reconnus comparables, comme aspect, à ceux
vernis et colorés avec la laque japonaise. A partir de ce moment,
l'opinion changea sur la qualité de la laque du Tonkin, qui est
maintenant très appréciée.
Il peut être bon de rappeler que la Société de laque indo-
chinoise est installée à Paris et qu'elle est en mesure de faire
connaître l'admirable parti que l'on peut tirer de ces merveilleux
vernis d'Extrême-Orient. La laque peut, en effet, non seulement
embellir, mais protéger au maximum de nombreux objets d'uti-
lité courante et, par conséquent, prolonger considérablement,
leur durée. Cette industrie d'Extrême-Orient, introduite en
France, est appelée à un avenir dont on ne peut prévoir le déve-
loppement, tellement il apparaît sans limite.
(Annales de l'Institut colonial de Bordeaux.)
Les bananes et les ananas de Guinée.
La Guinée française est, comme on le sait, enclavée à
l'Est par la Guinée portugaise à peine mise en valeur, et au
Sud par le Sierra-Leone dont la prospérité n'atteint pas et de
beaucoup celle de notre Guinée. La production des bananes
est en plein essor et une seule raison empêchait que cette
culture prit un très grand développement; le manque de
Moyens de transport. Il faut à la banane des soins spéciaux,
des cales à température basse et des transports rapides. Les
ananas, autre fruit naturel, commencent eux aussi à faire l'objet
d'une culture rationnelle et sont de plus en plus demandés en
Europe. Déjà huit grandes exploitations françaises font la
banane et l'ananas et ont formé un syndicat qui a acheté un
vapeur spécialement aménagé pour le transport des fruits exo-
tiques. C'est la première fois dans les colonies françaises que
des producteurs se font transporteurs.
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La culture du bananier nain en Guinée française.
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