1256 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
hôtel à Angkor, installé sur le modèle des bungalows de l'Inde,
et où l'on trouve une nourriture suffisante et le confort néces-
saire. Jadis, il fallait tout apporter avec soi, sa tente, son lit,
sa nourriture, jusqu'à l'eau.
Les ruines d'Angkor sont aujourd'hui confiées à un conser'
vateur nommé par l'École française d'Extrême-Orient, dont les
recherches ont singulièrement éclairci le mystère qui a long"
temps enveloppé les origines et la signification de ces merveil-
leux monuments.
Jacques EVRARD.
(La Gazette Coloniale.)
Renseignements sur quelques routes.
GIA-HOI
On a commencé cette année une rectification de la route aDl}
d'éviter la montée très pénible du col de Ta-leng. Le ilot, "tu
tracé constitue une amélioration considérable. Plus de ceS des' II
centes à pic; le gué du Nam-Leng est moins large que t'and I
moins profond, moins encombré de gros cailloux et surtout: I
proximité d'un hameau ce qui peut permettre à l'époque e5
hautes eaux, l'installation d'un radeau. Le niveau de la penl"
est tel qu'un cavalier peut faire la montée à cheval, sans fatl
pour sa monture. I
Le travail fait sans surveillance sérieuse, manque I
sonnel, suppose une ignorance totale des remblais. De là de
nombreuses courbes qui allongent inutilement la route et 4 I
re
nous voulons l'espérer, on supprimera plus tard. ]Ma!he I
sement ce travail n'est pas achevé. Commencé par lcs. et |
bouts, plusieurs morceaux du milieu ne sont pas tcrali"és et
celui qui s'y engage, sur la foi de renseignements obtcnus¡lble I
nhaqués, éprouve de désagréables surprises. Il est reg I
que l'on ait dû relever les gens de Son-A avant d'avoir a eO |
leur part, mais il y a plusieurs autres passages, dont ble
particulier de plus d'un kilomètre, ou rien n'a été fait. Il seise
qu'à ces endroits là, il y ait eu négligence coupable ou ,n
volonté de la part de certains habitants. De sorte que p° ,r
année, ceux qui ne sont pas amateurs d'aventures et
feront mieux de suivre encore l'ancienne route.
(L'Avenir du Tonkin. « II
hôtel à Angkor, installé sur le modèle des bungalows de l'Inde,
et où l'on trouve une nourriture suffisante et le confort néces-
saire. Jadis, il fallait tout apporter avec soi, sa tente, son lit,
sa nourriture, jusqu'à l'eau.
Les ruines d'Angkor sont aujourd'hui confiées à un conser'
vateur nommé par l'École française d'Extrême-Orient, dont les
recherches ont singulièrement éclairci le mystère qui a long"
temps enveloppé les origines et la signification de ces merveil-
leux monuments.
Jacques EVRARD.
(La Gazette Coloniale.)
Renseignements sur quelques routes.
GIA-HOI
On a commencé cette année une rectification de la route aDl}
d'éviter la montée très pénible du col de Ta-leng. Le ilot, "tu
tracé constitue une amélioration considérable. Plus de ceS des' II
centes à pic; le gué du Nam-Leng est moins large que t'and I
moins profond, moins encombré de gros cailloux et surtout: I
proximité d'un hameau ce qui peut permettre à l'époque e5
hautes eaux, l'installation d'un radeau. Le niveau de la penl"
est tel qu'un cavalier peut faire la montée à cheval, sans fatl
pour sa monture. I
Le travail fait sans surveillance sérieuse, manque I
sonnel, suppose une ignorance totale des remblais. De là de
nombreuses courbes qui allongent inutilement la route et 4 I
re
nous voulons l'espérer, on supprimera plus tard. ]Ma!he I
sement ce travail n'est pas achevé. Commencé par lcs. et |
bouts, plusieurs morceaux du milieu ne sont pas tcrali"és et
celui qui s'y engage, sur la foi de renseignements obtcnus¡lble I
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que l'on ait dû relever les gens de Son-A avant d'avoir a eO |
leur part, mais il y a plusieurs autres passages, dont ble
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qu'à ces endroits là, il y ait eu négligence coupable ou ,n
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feront mieux de suivre encore l'ancienne route.
(L'Avenir du Tonkin. « II
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