quelques-unes de ces variations dont les dessins ci-contre mon- treront l'ampleur (1).
La feuille peut être simplement palmatifide (fig. 8), avec sinus arrondis entre les lobes, sauf l'un d'entre eux qui atteint le pétiole de sorte que la feuille n'est plus peltée. Elle peut être à la fois palmatilobée, palmatipartite et pal-
matiséquée (fig. 9), certains des lobes étant à peine séparés.
Fig. 10. — Segment foliaire (face infé- rieure). [Même exsiccatum que fig. 8 et 9. - Grosst lin. 1/1].
(1) Le polymorphisme foliaire est un fait bien connu en physiologie; pour les raisons qui précèdent, il ne paraît cependant pas inutile d'y insister, le cas échéant. Ces considérations n'excluent d'ailleurs nullement la possibilité d'existence de deux ou plusieurs types (races, variétés ou sous-espèces) et des produits de leurs croisements. [Cf. terminaison des lobes foliaires, pilosité plus ou moins accentuée, plus ou moins persistante, notamment des stipules, cf. aussi formes de l'infrutescence, voir plus loin].
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